Quadrilatère articulé AB fixe dans la suite
AD est la branche la plus courte Si AD fait un tour complet, CB fait des oscillations (mécanisme d’essuie glace par exemple)
BC est fixe. L’oscillation de la longue branche CD se transforme en rotation continue de la branche la plus courte AB
L’oscillation de la branche CB se transforme en rotation continue de la branche la plus courte AD
fonctionnement d'une draisine à bras ayant servi pendant la guerre de 14-18
Frein à sabot
Mécanisme de transformation du mouvement
L’oscillation de la pédale AB se transforme en rotation continue de la roue. La remontée de la pédale se fait soit par l’inertie due à la rotation de la roue, soit avec un ressort
Rouet pour filer la laine (Gandhi préconisait de filer sa propre laine avec ce genre d’appareil, pour éviter d’importer des vêtements)
filage de la laine à l'ancienne
On appuie sur la pédale 1 pour faire tourner la roue, la pédale remonte grâce à l’inertie de la roue 2
Essuie glace 3D, une rotation continue de la petite barre 1 entraîne une oscillation de la barre 2
CD est la branche la plus courte AD et CB ne peuvent faire que des oscilllations
AB est la branche la plus courte Quand AD fait un tour complet, CB fait un tour complet aussi
Quand les branches opposées sont de longueur égale, le système devient un parallèlogramme articulé. Les « caisses » restent ici horizontales dans leur mouvement.
Balance à un plateau, on lit le poids sur la graduation
Le plancher de la nacelle reste horizontal Elévateur Pour avoir plus de possibilités de mouvement, on peut adopter un double parallèlogramme (mécanisme à deux degrés de liberté)
Mécanisme à 2 DDL (double parallèlogramme) Mécanisme à 2 DDL (double parallèlogramme). Si on fixe la rondelle lourde 3, on n’a plus qu’un DDL de translation curviligne pour la règle 1
Courbes de bielle Si on rajoute 2 barres DE et EC, on peut obtenir des trajectoires très différentes de E suivant la position de ce point (trajectoires appelées courbes de bielle)
Propriété utilisée autrefois dans les mécanismes d’avance de pellicule Propriété utilisée autrefois dans les mécanismes d’avance de pellicule. Dans la partie quasi rectiligne de la trajectoire, la pellicule avance, puis la griffe se dégage de la pellicule dans la partie courbe (la pellicule est à l’alors à l’arrêt), puis elle s’enclenche à nouveau dans une partie perforée de la pellicule
Quand 1 tourne, E décrit une droite
Quand 1 tourne autour de A, E décrit une trajectoire contenant deux partie a1 b1 et b1 c1 presque perpendiculaires
P 581 Quand 1 tourne, a décrit une courbe de bielle P 581 Quand 1 tourne, a décrit une courbe de bielle. Sur une partie de courbe, la dent a fait avancer la pellicule, sur l’autre la dent a s’en dégage
Quand la roue tourne, 1 tourne aussi (chaîne) et le point E décrit une courbe qui servira à remuer le foin
Quand 1 tourne, E décrit une trajectoire aa (courbe de bielle ?)
1 entraine 2. En faisant varier les distances A et B, on peut obtenir des courbes de bielle de différentes formes
la roue dentée 1 engrène avec 3 et 4 => ABCD parallélogramme => le point K du bras b décrit un cercle de rayon AB
Manivelle 1 fait 2 tours pour une course complète du piston Manivelle 1 fait 2 tours pour une course complète du piston. Mécanisme un peu différent du précédent, mais comprenant quand même un quadrilatère articulé
Quand 1 tourne D décrit courbe Quand 1 tourne D décrit courbe. Sur cette partie, piston presque immobile Quadrilatère articulé ABDE (avec E mobile)