Le fusain (et la sanguine): Son utilité 1 Rapidité d’exécution 2 Son effacement 3 Ses dégradés 4 Sa profondeur 5 Sa souplesse d’adaptation Sa pratique 1 Les outils 2 Tenir le fusain 3 Fixer le fusain 4 Les différentes approches : Le trait et les aplats
Le fusain : son utilité 1 rapidité d’exécution Modèle vivant pour les poses très rapides Une pose en mouvement 2 mn maxi
Le « repentir » pour tous 2 Son effacement Le « repentir » pour tous Le dessin fantôme et le tâtonnement La préparation pour la toile Qui a réalisé ce nu, selon vous ? Edward Munch 1889
3 Ses dégradés Rapidement (5 mn) indiquer des ombres différentes
3 Ses dégradés Longue pose pour fouiller toutes les nuances d’ombres différentes
4 Sa profondeur Pablo Picasso à l’âge de 15 ans en 1896 Qui a réalisé ce nu, selon vous ?
Sa souplesse d’adaptation aux techniques personnelles Robert Longo http://www.robertlongo.com/
Différentes tailles de fusain Différentes duretés Sa pratique Les outils : Différentes tailles de fusain Différentes duretés Mais toujours un papier adapté. En atelier pour le modèle vivant, on utilise du papier « Ingres » résistant, fin 50 à 80 gr, rugueux, avec du grain. Pas de papier brillant ou lisse. Une gomme mie de pain. Gomme plastique. Estompes en carton, pinceaux. Cutter pour tailler le fusain. Fixatif en bombe ou fabriqué « maison ».
Sa pratique Tenir le fusain Manuel Pratique du pastel, sanguine et fusain Ettore Maiotti éditions CELIV
Sa pratique Tenir le fusain Manuel Pratique du pastel, sanguine et fusain Ettore Maiotti éditions CELIV
Sa pratique Essuyer le fusain 1 Souffler très fort et très près du papier (avantage pas de frottements. 2 Un coup de chiffon comme pour donner une claque au dessin (en plus ça défoule !) 3 Effacement au chiffon en frottant (pas trop fort) de façon à conserver le squelette antérieur. 4 Le pinceau pour créer des dégradés souples 5 La gomme mie de pain. Elle ne sert pas à effacer mais à créer des lumières en fin de dessin. A trop l’utiliser, on encrasse le dessin et la gomme.
Sa pratique Fixer le fusain ? 1 Pour le préserver et le conserver. 2 Pour le reprendre après un premier jet 3 Pour amplifier les noirs et ne pas salir le dessin précédent. 4 Pour que d’autres médiums puissent s’ajouter : pastel, craie blanche et pourquoi pas peinture.
Sa pratique Fixer le fusain Le fixatif doit être une sorte d’encollage pas trop agressif mais suffisamment résistant On dilue une gomme ou une résine dans de l’alcool qui s’évapore rapidement sans tacher le dessin. Deux produits sont faciles à utiliser A l'origine, les fixatifs étaient fabriqués à partir de résines naturelles : gomme laque, gomme dammar ou laque de Chios. Les versions modernes emploient des résines synthétiques (acryliques ou acrylo-cétoniques). On peut fabriquer un fixatif pour pastel en mélangeant un litre de méthanol et cent grammes de gomme laque. On peut également et avantageusement utiliser de la gomme dammar ou de la laque de Chios. (article Wikipedia) La gomme laque La résine de Dammar
Un site plein de conseils et de recettes http://www.dotapea.com/hitech.htm
Les différentes approches : Le trait et son estompage Manuel Pratique du pastel, sanguine et fusain Ettore Maiotti éditions CELIV Sa pratique Les différentes approches : Le trait et son estompage
Sa pratique Les différentes approches : Le trait et son estompage
Les différentes approches : Sa pratique Les différentes approches : Le trait et son estompage On remarquera sur ces deux exemples que le trait ne sert pas à simplement délimiter, mais qu’il est source de mouvement. Giovanni Boldini
Les différentes approches : Les hachures Manuel Pratique du pastel, sanguine et fusain Ettore Maiotti éditions CELIV Sa pratique Les différentes approches : Les hachures
Les aplats