Présentation du Groupe NRJ Fondation en 1981 par Jean Paul Beaudecroux, suite à l’autorisation de la libre antenne Diversification à partir de 1987 avec la création de Chérie FM, puis de Rires et Chansons en 1990 Rachat de Nostalgie en 1998 Positionnement sur le créneau de la programmation musicale
Structure du groupe Décomposition en 4 activités majeures Radios (4 en France et présence dans 7 pays) La radio diffusion (Towercast) Les régies publicitaires (Nationale et Locale) La production musicale Activités annexes: La gestion mobilière et immobilière Atmosphere designer
Stratégie de Développement Diversification des propositions publicitaires Diversification des activités Développement géographique Etablissement de deux régies pour la démarchage local et national Mis en place du programme commun « 75-15 » avec d’autres régies Programme complémentaire entre les différentes radios Positionnement fort sur le marché de la radio diffusion avec Towercast, qui va bénéficier de la fin du monopole de TDF avec Radiofrance Production de show télévisuel tels que NRJ Music Awards, se plaçant à terme comme des RDV incontournables Production musicale qui permet de créer une chaîne de valeur complètement contrôlée Tentative d’implantation à l’étranger Fortunes diverses: Échecs et retrait depuis dans certains pays nordiques Succès en Allemagne et en Autriche Les échecs ont refroidi la direction du groupe
Les values drivers Temps de publicités (local et national) autorisé par heure, définis par le CSA Audience cumulée gérée par les régies
SWOT Opportunités Menaces Forces Faiblesses Passage de la catégorie D à C Développement de la TNT Fin du monopole de TDF Modification de la législation pour la GMS Pression des concurrents reste élevée Cannibalisation des publicités locales et nationales Forces Faiblesses Croissance relative du secteur Croissance régulière de l’audience radio Segmentation claire et précise Média compétitif et flexible Exposition la plus importante Secteur très sensible aux variations des entreprises Règles contraignantes imposées par le CSA Difficultés pour un annonceur de cibler ses clients
Méthode SOP (Sum-of-Parts) Secteur Technique employée Valo Activités Radio en France Tx de conversion de l’EBIT en FCF : 99% WACC : 10,2% Croissance lg terme : 2,75% 18,2€ Passage des fréquences de catégorie D à C Multiple du secteur (Radio en France) => P/E : 20,8 Estimation des revenus supplémentaires : 7m€ 0,7€ Activités Radio à l’étranger Multiple du Revenu calculé en prenant la médiane du secteur dans chaque pays 1,3€ Autres activités en France Multimédia : multiple du secteur : 1,5x revenu TowerCast :Valo des actifs existants + estimation du potentiel NRJ TV : Valeur symbolique 10m€ 0,2€ 0,6€ 0,1€ Autres Net Cash Associés Intérêts Minoritaires -0,3€ TOTAL 21€ Tx conversion EBIT to FCF justifié par la faible intensité capitalistique du secteur Utilise Gordon Shapiro avant impôts Confond la plupart du temps EBIT et EBITDA Variations du BFE nulle alors qu’il y a augmentation de l’activité Traitement du Goodwill obscur Valoriser l’entreprise parties par parties contribue a augmenter la valeur (Activité à l’étranger contribuent positivement à la valorisation alors qu’elles détruisent de la valeur et que les perspectives sont peu claires Dès lors les sources de croissances (D to C, Towercasts, NRG TV) sont valorisées séparément, mais même ainsi les activités traditionnelles sont valorisées à près de 6 fois leur CA.