LA FORMATION CONTINUE Colloque national des cadres techniques 1 er décembre 2015
Participants Béatrice Palierne Jean-Luc Cherrier C. Martin Jacques Mommessin Fabrice Davis Laure Lemallet Alain Coupet Isabelle Thibault
Les formations existantes Baby Ping (en sommeil) Préparation physique (en sommeil) Le Haut Niveau (en sommeil) Fit Ping Tonic Ping santé cancer Formation de Formateur Educ’ Ping? (à voir dans la nouvelle stratégie) Handisport (gérée par FFH) Les jeunes joueuses DOIT ON CONTINUER TOUTES CES FORMATIONS ?
Constat Constat annulation: Trop long Trop cher et prise en charge difficile au niveau administratif. En semaine, ou en vacances scolaires…. Exemple formation vers le HN: à la FFTT ou en région, le tour de France a été fait, le module s’est donc arrêté car il y a eu « épuisement » des candidats. Maintenant, doit on la relancer, quels thèmes, la durée? Un module 2 (la suite) ? Plus la durée est importante, plus c’est difficile de trouver des intervenants ou de leur permettre de tenir la durée (garder la concentration des stagiaires).
Adéquation avec les attentes du terrain 1.Quelle formule efficace et pertinente? Adapter la formation en fonction des besoins: professionnels, bénévoles. Exemple: les CTD, CTF, CTL devraient avoir une formation annuelle comme la formation initiale des professeurs de sport. Décentralisation des modules dans les régions Entre 2 et 3 jours selon la thématique si animation. Sauf formation HN: identifier les entraîneurs qui pourraient avoir le profil. Répondre aux attentes des gens au niveau local. Formation raquette en main. Aide au remboursement des formations: aide aux secrétaires professionnelles ou bénévoles dans les clubs, comités et ligues. S’appuyer sur les partenaires locaux: CROS, autres fédérations.
Adéquation avec les attentes du terrain Objectif général de la formation continue: développer la compétence. Il faut qu’il y ait une vraie demande préalable, un besoin de terrain. Attention aux thématiques si les stagiaires sont surtout des bénévoles (formation initiale sur le Ping ou le sport santé): Ping santé ou Fit Ping Tonic par exemple. Il faut une adéquation entre la volonté de permettre aux gens de venir en formation mais sans dévaloriser le module de formation. Relancer un module sur la technique par exemple car beaucoup se posent des questions dessus. Il faut que les stagiaires aient l’impression d’avoir des choses à réinvestir dès le lendemain.
Adéquation avec les attentes du terrain 1.Quelle formule efficace et pertinente? Validation, reconnaissance des formations. Des vidéos en appui des formations. Profiter d’un stage assez conséquent avec beaucoup d‘entraîneurs qui encadrent ce stage pour faire passer des messages et de la formation continue. Mais il faut une équipe de formateurs disponibles!
Adéquation avec les attentes du terrain 2.Quel timing ? (Annonce, inscription, organisation) Une saison sur l’autre Relancer via un réseau différent selon le type de formation. Construire ou reconstruire les équipes de formation et communiquer dessus. Relancer via la communication de la FFTT avec plusieurs supports pour éviter la redondance.
Le contenu Du superflu ? Selon formation trop de jours ou pas assez A réfléchir pour chaque module et prendre le temps en fonction des modules et de leur responsable. Des manques ? Selon formation également. Surement, il faut identifier les besoins.
Quel suivi des formations existe ? Ne serait-il pas possible d’organiser une formation dans chaque zone géographique chaque année ? Une année Fit Ping Tonic, HN, Formateur de formateur… Pour la formation vers le HN, une évolution des modules, une graduation serait la bienvenue. Pas de compte-rendu connu: pas envoyé par mail. Exemple: une vidéo qui a beaucoup fonctionné est celle de Li Samson sur le Pivot.
Conclusion Pas de formation idéale même après les retours sur la formation. Personne n’est réellement d’accord sur ce qu’ils souhaitent. La problématique est de pouvoir répondre aux attentes des entraîneurs, bénévoles et employeurs dans le cadre de la politique publique. “Un compromis fait un bon parapluie, mais un mauvais toit.” De Robert Lowell