PARTIE 2 : Paramètres UV-VIS 1 Bande passante spectrale (BPS) BPS large BPS étroit Plus la fente de sortie est mince, plus l’intervalle de λ sélectionné est étroit.
1 Bande passante spectrale (BPS) Faisceau retenu par la fente de sortie et envoyé sur l’échantillon. BPS : intervalle de λ à mi-hauteur du faisceau.
1 Bande passante spectrale (BPS)
1 Bande passante spectrale (BPS) Valeurs de A plus élevées au lamda max.
1 Bande passante spectrale (BPS) Plus la BPS est petite, plus les valeurs d’absorbance sont grandes.
2 Résolution spectrale LBN : Largeur de bande naturelle déterminée à mi-hauteur. Les valeurs d’absorbance sont considérées précises à 99,5% ou plus si la LBN est au moins 10 fois plus grande que la BPS.
2 Résolution spectrale Deux bandes sont considérées résolues si le creux entre les 2 ne dépasse pas 80% de la hauteur du pic le plus bas. Liée à BPS sortant du monochromateur (normalement 1 ou 2 nm, parfois réglable), dépend de la largeur des fentes d’entrée et de sortie. Dépend aussi du réseau et du nombre de photodiodes.
2 Résolution spectrale
3 Vitesse d’acquisition BPS de 0,5 nm Vitesse “survey” BPS de 0,5 nm Vitesse “slow” BPS de 2 nm Vitesse “survey”
4 Temps d’acquisition Lecture à une seule λ. Plus le temps d’acquisition est long, plus l’appareil prend des valeurs pour faire sa moyenne, donc le signal paraît plus stable d’une lecture à l’autre.
5 Bruit Variation ALÉATOIRE de l’intensité de la radiation mesurée, deux sources : - Bruit photonique Provient de la source dont l’intensité varie dans le temps de façon aléatoire. Augmente avec l’intensité de la source. Problématique avec des valeurs de A faibles. - Bruit non-photonique Le détecteur interprète comme un signal lumineux de l’énergie provenant des composantes électroniques de l’appareil. Indépendant de l’intensité du faisceau. Problématique avec des valeurs de A élevées.
5 Bruit Trois façons de mesurer le bruit Bruit maximum pic-à-pic Bruit moyen Bruit RMS
5 Bruit Comment minimiser le bruit ? Augmenter le temps d’acquisition. Augmenter le nombre de balayages (IR et Raman). Travailler avec des valeurs de A entre 0,1 et 1. Bonne conception de l’instrument.
6 Lumière parasite (stray light) Radiation de toute nature qui est mesurée/détectée et qui ne devrait pas l’être. - Lumière d’une autre λ qui parvient au détecteur (s’ajoute sur le parcours). - Lumière extérieure qui entre dans l’appareil. Idéalement : En pratique :
6 Lumière parasite (stray light) Plus l’absorbance est élevée, plus la lumière parasite influencera le signal. Exemple avec 1% de lumière parasite : Si T = 0,50 Si T = 0,10 Si T = 0,05 Si T = 0,01
6 Lumière parasite (stray light) Limite le domaine de linéarité (1% plafonne à A=2,0, 0,1% plafonne à 3,0 …).
6 Lumière parasite (stray light)
6 Lumière parasite (stray light)
7 Dérive (drift) Autre cause potentielle d’erreur photométrique. Elle résulte normalement des variations d’intensité de la lampe entre les mesures. Dans changements dans l’électronique de l’instrument peuvent aussi la provoquer. Double faisceau avec 2 portes cuvettes contourne ce problème Indiquée par le fabricant comme: Baseline stability: < 0,0003 A /heure à 700 nm (1h après l’allumage de la lampe)