7.2 Continuer

La niche écologique d'une espèce Les espèces consacrent l'essentiel de leur temps en faisant deux choses: – survivre et se reproduire Ils n'ont pas d'obligations ni responsabilités envers leur écosystème.

Les ressources qu'un organisme utilise (les facteurs abiotiques de l'environnement, ainsi que ses relations biotiques avec d'autres espèces) constituent la niche écologique d’un organisme (la place qu'il occupe dans un écosystème)

ex. les éléments de la niche écologique de la petite chauvesouris brune Biotiques: – les insectes qu’elles mangent – ses compétiteurs – ses prédateurs Abiotiques: – lieux de se percher – lieux de s’hiberner – l'heure qu'elle chasse – l'espace aérien qu'elle parcourt – la température qui la supporte

Chaque espèce rend divers services à son écosystème en y occupant sa niche écologique – ex. Elle peut réguler la taille d'une autre population ou jouer un rôle dans la circulation de la matière ou de l'énergie Chaque espèce occupe une niche écologique particulière et joue un rôle distinct dans son écosystème.

La niche écologique de l'être humain L‘être humain n’est pas le meilleur à tous les choses mais nous avons un cerveau qui nous permettent de quitter l'étroite niche écologique occupées par nos ancêtres. L'être humain a appris à fabriquer les outils complexes, à utiliser des formes d'énergie externes et à exploiter les ressources.

Tout cela nous permettent de nous établissons dans de nombreuses écosystèmes. (Créer notre propre niche écologique) Pour continuer de s'occuper d’une niche écologique aussi étendue, nous devons utiliser les écosystèmes et leurs ressources de manière durable.

L'exploitation durable - l'exploitation d'une ressource qui ne cause pas son épuisement à longe échéance et qui ne nuit pas à la diversité de l'écosystème d'où elle provient. L'exploitation durable d'une ressource permet de répondre aux besoins des générations actuelles et futures

Si nous n'utilisons pas les ressources de manière durable, notre niche risque de se rétrécir avec le temps.

La capacité limite de l'être humain Les populations sont régulées par la capacité limite. Le même est vrai pour les humains. Cependant, nos habilités intellectuelles nous ont permis de créer notre propre niche écologique et d’augmenter la capacité limite pour notre population. (Fig. 7.13)

Fig.7.13

L’empreinte écologique et la capacité limite 2 façons d’augmenter la capacité limite: – Modifiant un écosystème pour en tirer plus d’énergie et ressources – Modifiant nos comportements Empreinte écologique – une mesure de l’impact d’une personne ou d’une population humaine sur l’environnement

L’exploitation des ressources naturelles nous a fait faire des progrès en santé publique, en éducation, en agriculture, en médecines et en technologie. Capacité limite = ~12 milliards (aussi la population prévue à la fin du siècle)

On évalue l’empreinte écologique par – La consommation de l’énergie – L’utilisation des terres – La production des déchets

Fig.7.14

Canada  pas bons  plus haut que le moyen Les empreintes écologique de cette taille dans un monde dont les ressources sont limites et qui s’appuie sur l’exploitation de combustibles fossiles non renouvelables sont probablement non-viable.

Non-viable – Se dit d’un modèle d’activité qui mène au déclin d’un écosystème. L’augmentation de la population mondiale = une augmentation de stress sur les systèmes écologiques

Les sociétés moderne doivent chercher à établir des empreintes écologiques en accord avec le concept de la durabilité, c’est- a-dire l’utilisation des ressources d’une manière à les préserver pour les générations futures.

On peut réduire notre empreinte écologique en consommant moins de ressources, ou en utilisant des ressources existantes plus efficacement grâce à l’innovation technologique, à l’efficacité énergétique et au recyclage.

Tâche Empreinte écologique