Olympiades Santé Sécurité CONSIGNES : Sur chaque diapositive, il y 4 propositions de réponses. Vous répondez aux 4 propositions. Il peut y avoir plusieurs bonnes réponses par diapositive Vous devez entourer la(les) bonne(s) réponse(s) sur la grille papier qui vous est fournie. Remerciements à l’INRS pour la quasi totalité des photos illustrant ces diapositives
1 Contexte Sauvetage secourisme du travail (SST) A – Les trousses de secours sont obligatoirement rouges. B – L’accès aux trousses de secours est réservé aux personnes formées à donner les soins. C – Seuls les sauveteurs secouristes du travail peuvent intervenir suite à un accident de travail. D – C’est l’employeur qui gère le regarnissage des trousses de secours.
Manutentions manuelles Déchargement d’un camion 2 Contexte Manutentions manuelles Déchargement d’un camion A – Il existe un tableau de maladie professionnelle concernant le port de charges lourdes. B – Les salariés portent la caisse à deux. Il n’y a pas de risque d’accident de travail. C – Le poids du colis doit être obligatoirement noté sur l’étiquette collée sur le colis. D – Il existe une norme française relative à la limite acceptable de port manuel de charge.
3 Contexte Soudage A – L’opérateur porte un casque, il ne craint donc pas d’accident. B – Le soudage à l’arc génère des risques de maladies professionnelles. C – Un permis de feu est obligatoire pour pouvoir souder dans toutes les entreprises. D – Un masque à adduction d’air est obligatoire pour réaliser des travaux de soudage.
Engins de travaux publics 4 Contexte Engins de travaux publics A – Il faut être titulaire d’un certificat d’aptitude à la conduite des engins en sécurité (CACES) pour manœuvrer la pelle hydraulique. B – Il faut être titulaire d’un certificat d’aptitude à la conduite des engins en sécurité (CACES) pour conduire le tracteur. C – En plus de la formation CACES, l’opérateur doit avoir une autorisation interne de conduite délivrée par son employeur. D – Le tracteur, comme tout engin de chantier, doit être contrôlé semestriellement par un organisme de contrôle.
Signalisation sécurité 5 Contexte Signalisation sécurité A – Le rubalise rouge/blanc ne peut être utilisé que sur les chantiers de bâtiment. B – La vraie « couleur du danger » est l’alternance de lignes jaunes et noires. C – Les dimensions des rouleaux de rubalise sont normalisées. D – Un rubalise doit pouvoir résister à un effort de 30kg avant de s’arracher.
6 Contexte Laboratoire Agents chimiques dangereux A – Les protections individuelles portées par l’opérateur lui évitent tout risque d’accident. B – La protection que l’opérateur porte sur la tête s’appelle une « charlotte ». C – Le dispositif d’aspiration s’appelle une « sorbonne ». D – Le dispositif d’aspiration doit être vérifié annuellement.
Etiquetage des produits chimiques 7 Contexte Etiquetage des produits chimiques A – Cet étiquetage de produits est spécifique à la règlementation des transports B – Cet étiquetage correspond à la nouvelle réglementation en vigueur dans les entreprises. C – Les utilisateurs de produits chimiques doivent recevoir une formation à la sécurité en rapport avec les produits utilisés. D – L’entreprise doit détenir l’ensemble des fiches de données de sécurité en rapport avec les produits qu’elle utilise. Ces fiches doivent être rédigées en français.
8 Contexte Coiffure A – Les shampoings utilisés en coiffure peuvent générer des dermatoses. B – Le port de gants en nitrile supprime tous les risques dans un salon de coiffure. C – Il existe des risques de brûlures dans un salon de coiffure. D – L’employeur doit informer ses salariés sur les risques liés aux produits chimiques.
9 Contexte Postures de travail dans les bureaux A – Cet opérateur risque de souffrir de douleurs dorsales. B – Le code du travail interdit des postes de travail de ce type. C – Le travail sur écran doit être intégré au document unique d’évaluation des risques professionnels. D – Une étude ergonomique permettrait de faire un bilan de ce poste de travail.
10 Contexte Risques dans les bureaux A – Il est interdit de porter des charges dans les bureaux. B – Le code du travail donne des obligations de limitation de port de charge pour les femmes. C – Les risques liés au travail de bureau ne doivent pas être évalués dans le document unique d’évaluation des risques professionnels. D – Un chef d’entreprise peut, s’il le justifie, imposer le port de chaussures de sécurité dans un bureau.
Postures de travail dans l’industrie 11 Contexte Postures de travail dans l’industrie A – Il est interdit de travailler en position assise dans l’industrie. B – Le travail avec les bras en l’air, tel que présenté sur la photo, peut générer des risques de TMS (Troubles Musculo-Squelettiques). C – Le code du travail impose un niveau d’éclairement minimum pour les postes de travail. D – Les postures de travail figurent parmi les 10 facteurs de risques de la loi sur la pénibilité au travail.
12 Contexte Stockages A – La charge maximale doit être indiquée sur les racks. B – La hauteur entre deux niveaux de chargement est réglementée par le code du travail. C – Les racks de stockage doivent être vérifiés annuellement. D – La distance entre deux racks est définie par une norme européenne.
13 Contexte Pause déjeuner A – Il est interdit de manger sur le lieu de travail. B – Dans les activités de chantier, il est autorisé de déjeuner sur le lieu de travail. C – Le code du travail interdit formellement la consommation d’alcool même pendant les repas. D – Réglementairement la durée de la pause déjeuner ne peut être inférieure à une heure.
Circulation des chariots automoteurs 14 Contexte Circulation des chariots automoteurs A – Il est interdit aux chariots automoteurs de franchir une allée pour piétons. B – La ceinture de sécurité est obligatoire sur un chariot automoteur à conducteur porté. C – Un chariot automoteur à conducteur porté doit être vérifié semestriellement. D – Le réseau Prévention demande à ce qu’un plan de circulation soit établi dans les entreprises.
15 Contexte Gestes répétitifs A – Les gestes répétitifs peuvent générer des TMS. B – Ce sont les salariées du secteur textile qui déclarent le plus de maladies de type TMS. C – Une norme française précise le poids minimum à manipuler pour être reconnu en maladie professionnelle. D – Cette même norme définit la notion de répétitivité.
Produits chimiques et équipements de protection individuelle 16 Contexte Produits chimiques et équipements de protection individuelle A – Les masques de protection sont obligatoires pour la manipulation des produits chimiques. B – Il existe une réglementation particulière pour les produits cancérigènes. C – Les fiches de données de sécurité précisent le type de protections individuelles à porter par les opérateurs. D – Les valeurs limites d’exposition aux produits chimiques sont internationales.
Utilisation d’un brise-roches 17 Contexte Travaux publics Utilisation d’un brise-roches (marteau-piqueur) A – Un brise-roche génère des vibrations pouvant être nocives pour l’opérateur. B – Un brise-roche anti-vibrations ne génère pas de vibrations nocives. C – Le bruit généré par un brise-roches peut provoquer une surdité professionnelle. D – Il est recommandé d’utiliser l’évaluation des risques professionnels pour rédiger le cahier des charges relatif à l’achat d’un matériel de ce type.
Conduite dans le cadre du travail 18 Contexte Conduite dans le cadre du travail A – Même dans le cadre du travail il est recommandé de faire des pauses toutes les deux heures au maximum. B – Les véhicules d’entreprise sont obligatoirement équipés d’un GPS. C – Tous les véhicules, même les véhicules personnels, utilisés pour des déplacements professionnels doivent être vérifiés annuellement par l’entreprise. D – Les salariés faisant plus de 20000 km/an doivent suivre une formation à la conduite préventive.
19 Contexte Bâtiment et travaux Publics Casque de chantier A – Le port du casque est obligatoire sur les chantiers. B – Un casque a une date limite d’utilisation. C – Depuis janvier 2014 tous les casques de chantier doivent être équipés de lunettes de protection intégrées. D – Une casquette de protection a la même résistance et la même efficacité qu’un casque de chantier.
20 Contexte Risque électrique A – L’opérateur ne porte pas de gant adapté, il risque l’électrisation ou l’électrocution. B – L’opérateur ne risque rien du fait que ses mains sont sèches. C – L’opérateur ne court aucun risque si l’installation électrique est équipée d’un disjoncteur. D – Il existe des habilitations électriques pour les différentes classes de tension.
21 Contexte Incendie A – Toutes les entreprises doivent disposer d’équipiers de première intervention. B – Toutes les entreprises doivent disposer d’un plan d’évacuation. C – En cas d’évacuation du site, le point de rassemblement est obligatoirement situé à l’entrée de l’entreprise. D – Même un pompier volontaire doit suivre la formation au sauvetage secourisme du travail pour être reconnu en tant que sauveteur.
Signalisation de sécurité 22 Contexte Signalisation de sécurité A – Ce pictogramme signifie que le port de lunettes de sécurité est obligatoire. B – Les panneaux à fond bleu sont des recommandations. C – Ce type de pictogramme n’est utilisé qu’en présence de produits chimiques. D – Ce type de pictogramme entre dans le cadre de l’obligation de rappel de consignes aux postes de travail.
Plate-forme de travail 23 Contexte Plate-forme de travail A – Une plate-forme individuelle roulante légère peut être utilisée en tant que poste de travail. B – L’utilisation d’une plate-forme individuelle roulante légère n’est autorisée que pour des hauteurs de travail inférieures à 3 mètres. C – La conception d’une PIRL est définie par des normes. D – L’utilisation d’escabeau n’est autorisée qu’après avoir apporté la preuve que l’utilisation d’un échafaudage, d’une PIRL, ou autres moyens sécurisés est impossible.
Organisation des secours en entreprise 24 Contexte Organisation des secours en entreprise A – Ce macaron indique la présence d’un défibrillateur. B – Ce macaron signale l’infirmerie d’entreprise. C – Ce macaron indique la présence d’un risque d’électrocution. D – La présence d’un défibrillateur est obligatoire dans une entreprise de plus de 50 salariés.
Lutte contre l’incendie 25 Contexte Lutte contre l’incendie A – Les extincteurs de classe B sont destinés à éteindre les feux d’hydrocarbure. B – Les extincteurs de classe B sont destinés à éteindre les feux « secs ». C – Les extincteurs sont obligatoires, quelle que soit la taille de l’entreprise. D – La formation à l’utilisation des extincteurs est obligatoire pour l’ensemble du personnel dans une entreprise.
26 Contexte Echafaudage A – Les opérateurs utilisant des échafaudages doivent avoir reçu une formation spécifique. B – Seuls les opérateurs chargés du montage et du démontage doivent avoir reçu cette formation. C – Il faut une autorisation municipale pour installer un échafaudage de pied sur le trottoir. D – Un échafaudage doit être triangulé pour assurer sa rigidité.
Circulations internes 27 Contexte Circulations internes A – Le marquage des allées piétons en entreprise peut être de couleur rouge. B – Le code du travail précise que la largeur d’une allée piétons doit être égale à 1 mètre. C – Les allées de circulation pour les piétons et celles pour les chariots sont obligatoirement à sens unique de circulation. D – L’implantation des allées de circulation piétons doit être défini dans le plan de circulation interne.
Propreté en entreprise 28 Contexte Propreté en entreprise A – Ce panneau d’avertissement est une protection collective. B – Ce panneau signifie que le sol peut être glissant. C – Ce panneau signifie que la zone est interdite de passage. D – L’intervention d’une société de nettoyage doit faire l’objet d’un plan de prévention.
Hygiène dans l’industrie alimentaire 29 Contexte Hygiène dans l’industrie alimentaire A – Il est obligatoire de se laver les mains avant d’entrer dans une unité de travail dans l’industrie alimentaire. B – Les vêtements de travail dans l’industrie alimentaire sont obligatoirement blancs. C – C’est l’employeur qui fournit les vêtements de travail. D – Le nettoyage des vêtements de travail dans l’industrie alimentaire doit être obligatoirement réalisé par les salariés.
Sauvetage secourisme du travail 30 Contexte Sauvetage secourisme du travail A – La couleur noire du personnage allongé signifie qu’il a été électrocuté. B – Le sauveteur secouriste du travail est représenté en vert dans le plan d’intervention. C – Toutes les entreprises doivent disposer de sauveteurs secouristes du travail. D – L’employeur doit organiser l’évacuation des blessés.
Olympiades Santé Sécurité Question subsidiaire 1 En 2012, selon les chiffres de la Sécurité Sociale, combien y a-t-il eu d’accidents de travail mortels ? Question subsidiaire 2 En 2012, selon les chiffres de la Sécurité Sociale, combien y-a-t’il eu de maladies professionnelles mortelles ?