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Publié parRenée Pagé Modifié depuis plus de 8 années
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Le service d’orthopédagogie en FGA ACCORE-CEAG Une démarche pour accueillir et soutenir la réussite de la clientèle à besoins particuliers Informations présentées ici sont recueillies du sous-comité de la sanction des acquis scolaires et extra-scolaires Montérégie – Estrie Avril 2012
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Plan de la présentation 1. Introduction 2. Mesures d’adaptation et guide de sanction des études (chapitre 5 ) 3. Démarche d’accompagnement de la clientèle à besoins particuliers CEAG- ACCORE. 4. Documentation
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Introduction: considérations sur le service d’orthopédagogie Le service d’orthopédagogie comprend le soutien à l’élève et le soutien à l’enseignement de manière à explorer les différentes ressources pédagogiques à mettre en place afin d’accompagner l’adulte ayant des besoins particuliers. Les considérations légales sur les mesures de soutien à l’évaluation des apprentissages sont régies par la loi sur l’instruction publique (loi 180 & guide de sanction, édition 2011).
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Nos obligations La Loi sur l’instruction publique (loi 180, 96.14) reconnaît à chaque élève le droit de recevoir des services éducatifs qui lui sont adaptés. Dès qu’une difficulté ou qu’un handicap l’empêche, ou bien de poursuivre ses apprentissages tels que visés par le programme de formation ou de progresser dans son insertion sociale, les directions de centres doivent permettre l’établissement d’un plan d’intervention afin de lui fournir les services éducatifs adaptés à ses besoins.
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2. Guide de sanction des études (chapitre 5 ) : Mesures d’adaptation pour l’évaluation des apprentissages.
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Guide (intégré FGJ,FGA,FP) de sanction, édition 2011,MELS. CHAPITRE 1 - Références aux dispositions législatives et réglementaires CHAPITRE 2 - Régimes de sanction CHAPITRE 3 - Règles particulières de sanction CHAPITRE 4 - Épreuves et tests CHAPITRE 5 - Mesures d’adaptation pour l’évaluation des apprentissages CHAPITRE 6 - Reconnaissance des acquis et compétences CHAPITRE 7 - Traitement des résultats CHAPITRE 8 - Documents officiels de sanction
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Chapitre 5 5.1 RECONNAISSANCE ET VALEUR DU DIPLÔME 5.2 MESURES D’ADAPTATION DES CONDITIONS DE PASSATION DES ÉPREUVES MINISTÉRIELLES 5.2.1 FORMATION GÉNÉRALE DES JEUNES 5.2.2 FORMATION GÉNÉRALE DES ADULTES 5.2.3 FORMATION PROFESSIONNELLE 5.3 DEMANDES PARTICULIÈRES D’ADAPTATION EN FORMATION GÉNÉRALE DES JEUNES Observation: Il n’y a pas de section dans le guide pour les demandes particulières d’adaptation en FGA ou en FP Nous pouvons nous inspirer des formulaires en FGJ
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5.1 RECONNAISSANCE ET VALEUR DU DIPLÔME Le Ministère reconnaît, dans la Politique d’évaluation des apprentissages et la Politique de l’adaptation scolaire, qu’il peut être nécessaire d’adapter certaines conditions d’évaluation pour permettre à des élèves ayant des besoins particuliers de faire la démonstration de leurs apprentissages.
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5.1 RECONNAISSANCE ET VALEUR DU DIPLÔME Cependant, les mesures d’adaptation relatives aux conditions de passation des épreuves ministérielles et des épreuves d’établissement, dont la réussite est prise en considération pour la sanction des études, ne doivent en aucune manière abaisser les exigences établies ou modifier ce qui est évalué. Elles doivent permettre de mesurer adéquatement le niveau de maîtrise des apprentissages tout en assurant les conditions de comparabilité des résultats des élèves d’une classe donnée.
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5.1 RECONNAISSANCE ET VALEUR DU DIPLÔME Par ailleurs, il faut demeurer vigilant pour éviter que les mesures mises en place présentent un défi additionnel pour l’élève. Pour cette raison, seules les mesures de soutien appliquées en cours d’apprentissage doivent être envisagées pour l’administration des épreuves ministérielles. Le diplôme obtenu par les élèves ayant des besoins particuliers est de même nature et de même valeur que celui obtenu par l’ensemble des élèves du Québec. Les épreuves et les règles concernant la note de passage et l’attribution d’unités demeurent les mêmes pour tous.
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5.1 RECONNAISSANCE ET VALEUR DU DIPLÔME Il est à noter que les mesures autorisées à la formation générale des jeunes ne le sont pas automatiquement à la formation générale des adultes et à la formation professionnelle. On doit toujours prendre les décisions dans le meilleur intérêt de l’élève appelé à exercer son rôle de citoyen de manière autonome et responsable.
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5.2.2 FORMATION GÉNÉRALE DES ADULTES La direction du centre est autorisée à mettre en place les mesures énumérées ci-dessous pour un élève ayant des besoins particuliers. Un RAPPORT D’ANALYSE de la situation de l’élève doit être présent à son dossier. Le lien entre la mesure et le besoin particulier de l’élève, reconnu par le personnel scolaire, doit être documenté. Cette mesure doit être régulièrement utilisée par l’élève en cours d’apprentissage et d’évaluation et elle doit solliciter la prise de décision de l’élève. En tout temps, la mesure ne doit pas accomplir la tâche à la place de l’élève. Les logiciels de traduction ne peuvent donc pas être utilisés pour l’administration d’une épreuve de langue seconde. Une surveillance continue doit permettre de confirmer sur la copie finale de l’élève que celui-ci a utilisé la mesure autorisée.
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Les mesures possibles sans demande d’autorisation (FGA) Prolongation de la durée prévue de l’épreuve jusqu’à un maximum équivalant au tiers du temps normalement alloué. La passation de l’épreuve doit toutefois se dérouler au cours d’une seule journée et certaines dispositions doivent être prises de façon à ce que la prolongation se fasse sans que l’élève soit en contact avec les autres élèves à l’heure du dîner ou au cours des pauses.
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Les mesures possibles sans demande d’autorisation (FGA) Présence d’une accompagnatrice ou d’un accompagnateur (interprète, surveillante, surveillant, etc.) qui fournit l’aide nécessaire à l’élève en tenant compte de ses besoins particuliers déterminés à son dossier de l’élève. L’accompagnatrice ou l’accompagnateur ne doit pas poser des questions indicatives, clarifier les questions en les expliquant, faire des suggestions qui orientent les réponses, corriger l’orthographe ou la grammaire ni apporter quelque changement que ce soit aux réponses de l’élève. L’accompagnatrice ou l’accompagnateur peut lire des textes d’épreuves à l’élève, sauf dans les cas où la compétence à lire est évaluée, en langue d’enseignement et en langue seconde.
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Les mesures possibles sans demande d’autorisation (FGA) Utilisation d’un outil d’aide à la lecture et à l’écriture (outil d’aide à la correction comme Word Q, Antidote) pour la passation des épreuves ministérielles ( incluant les épreuves de lecture en langue l’enseignement et en langue seconde ). Toute fonction de dictée vocale( Speak Q) doit être désactivée pendant la durée totale de l’épreuve.
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Les mesures possibles sans demande d’autorisation (FGA) Utilisation d’un ordinateur dans le respect de certaines conditions : limitation de l’accès ; présence d’un soutien technique ; l’impression de la copie finale en caractères de 12 points; cette copie doit inclure un pied de page indiquant le nom de l’élève, son code permanent, le nom de la surveillante ou du surveillant, le code de cours des épreuves et la date d’administration.
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Les mesures possibles sans demande d’autorisation (FGA) Utilisation de divers appareils permettant d’écrire (Word Q, Antidote, Médialexie, etc. ). Ils doivent avoir été utilisés avant la passation de l’examen, durant la formation. Utilisation d’un magnétophone permettant à l’élève de donner ses réponses. Utilisation d’un appareil de lecture : visionneuse, loupe, support de lecture (plan incliné). Passation de l’épreuve dans un endroit isolé avec surveillance.
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Mesures d’adaptation devant faire l’objet d’une demande d’autorisation Pour toute mesures d’adaptation autres que celles décrites précédemment, une demande accompagnée du dossier complet de l’adulte doit être adressée à la coordonnatrice de la sanction en formation générale des adultes de la Direction de la sanction des études. Cette demande concerne les épreuves liées aux cours de la formation générale, les tests d’équivalence de niveau de scolarité TENS de même que les tests du General Educational Development Testing Service ( GEDTS ).
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Le dossier de demande Un dossier complet comprend, entre autres: Code permanent de l’adulte; Code de cours pour lequel la demande est faite; Copie du rapport décrivant le handicap ou la difficulté de l’adulte; Mesures de soutien ou adaptation mises en place pendant le cours pour aider l’adulte dans son apprentissage; Dossier scolaire de l‘adulte et toute pièce justifiant la demande.
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3. DÉMARCHE D’ACCOMPAGNEMENT POUR ÉLÈVES AYANT DES BESOINS PARTICULIERS (CEAG-ACCORE) Trois cas possibles
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CAS ( 1 ) L’ÉLÈVE PROVENANT DU SECTEUR JEUNE AVEC UN PLAN D’INTERVENTION ET DIAGNOSTIC DÉPOSÉ AU SARCA OU À LA DIRECTION D’ÉTABLISSEMENT. L’orthopédagogue prend connaissance du dossier et analyse les besoins de l’élève. L’orthopédagogue avise les enseignants sur les mesures à mettre en place, en classe et, s’il y a lieu, en salle d’examen. L’orthopédagogue et les enseignants concernés observent les résultats et révisent au besoin les mesures adaptatives.
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CAS (2) L’ÉLÈVE PROVENANT DU SECTEUR JEUNE AVISE LE SARCA OU SON ENSEIGNANT(E) QU’IL AVAIT UN PLAN D’INTERVENTION SANS DOCUMENTATION À L’APPUI. Rapport d’analyse des besoins de l’adulte (annexe 1) 1. L’enseignant ou les enseignants concernés remplissent les grilles de manifestations observables du trouble ou de la difficulté d’apprentissage identifiée. 2. L’orthopédagogue suggère des approches pédagogiques adaptées, notamment les stratégies d’enseignement, d’apprentissage ou stratégies de lecture reconnues efficaces par la recherche orthopédagogique.
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Rapport d’analyse des besoins de l’adulte (suite) 3Rencontre multidisciplinaire permettant d’établir le besoin prioritaire de l’élève et mise en œuvre des moyens pédagogiques à mettre en place. * L’élève devrait toujours participer à cette rencontre 4 Établissement d’un plan d’intervention détaillant le lien entre le besoin de l’élève et les mesures adaptatives mises en place. Diffusion du PI auprès de tous les intervenants concernés. 4 Suivi régulier et révision du plan d’intervention pour fins de l’évaluation des mesures d’adaptation.
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CAS 3 L’ÉLÈVE, PEU IMPORTE SA PROVENANCE, NE MENTIONNE PAS SA SITUATION, TOUTEFOIS, L’ENSEIGNANT OBSERVE DES MANIFESTATIONS DE DIFFICULTÉS PERSISTANTES. Même démarche qu’au point 2
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Trois niveaux d’intervention ( modèle RAI) Niveau 3 L’intervention de niveau 3 permet à tous les élèves d’atteindre les niveaux attendus ( la plupart des élèves). Niveau 2 Niveau d’intervention ciblée nécessitant l’établissement d’un plan d’intervention répondant aux besoins prioritaires de l’élève ( clientèle à besoins particuliers). Niveau 1 Niveau nécessitant des interventions correctives individuelles ou en groupes restreints en plus de mesures d’évaluation adaptées. ( clientèle à besoins particuliers).
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Où se procurer les grilles et le rapport d’analyse ? Sur Moodle: besoins particuliers ACCORE/CEAG http://moodle.ticfga.ca/http://moodle.ticfga.ca/ Dans des cartables disposés dans tous les pavillons. Prière de remettre toute la documentation pertinente à l’orthopédagogue pour fins d’analyse des dossiers. landry.marc@csdgs.qc.ca landry.marc@csdgs.qc.ca
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