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Publié parSerge Dupuis Modifié depuis plus de 8 années
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CLIN 06/12/2005
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Le point sur les SARM Année 2005 (31/08/05)
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Portage de Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM) chez les patients hospitalisés plus de 24 heures Taux d’incidence annuelle de 1992 à 2005 (août 2005) (31/10/04) %
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Portage de SARM acquis et importés pour 1000 journées (dépistage et clinique) chez les hospitalisés plus de 24 heures Taux d’incidence annuelle 1992-2005 (août 2005) (31/08/05) %
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Taux de SARM acquis et consommations de SHA *31/08/05
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Répartition mensuelle des SARM en 2005
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Portage de Sarm clinique et dépistage (n) en août 2005 tout hôpital Portage de Sarm clinique et dépistage (n) en août 2005 tout hôpital 170 119 (51) porteurs porteurs 90 (41) nouveaux cas 29 (10) anciens cas 58 (32) importés 32 (9) acquis
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Journées d’isolement SARM de 2000 à 2005 Plus de patients isolés sur les résultats du dépistage nasal
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Consommation de Stérillium en 2004 - 2005 (août) *31/08/05
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*31/08/05
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Consommation de Sterillium en 2004 - 2005 (septembre) *30/06/05
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Indicateurs Compaqh
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Indicateur Compaqh : SHA en Hospitalisation
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Indicateurs compaqh : SARM en Hospitalisation
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Enterobactéries BLSE
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BLSE (KP et autres) acquis et importés pour 100 admis en hospitalisation de plus de 24 heures 1998- août 2005 (31/08/05) %
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Enterobactéries BLSE pour 1000 journées d'hospitalisation de plus de 24 heures 1998- août 2005 (31/08/05) %
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Escherichia coli BLSE nombre de porteurs années 2000 à 2005 (31 août)
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Escherichia coli BLSE 18 porteurs Janvier - 31 août 2005
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Acinetobacter baumannii
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Acinetobacter baumannii acquis et importés pour 100 admis en hospitalisation de plus de 24 heures (31/08/05)
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Acinetobacter baumannii acquis et importés pour 1000 journées en hospitalisation de plus de 24 heures 31/08/2005 %
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Enterobactéries déréprimées
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Portage d’entérobactéries sécrétrices de céphalosporinase patients hospitalisés plus de 24 heures Taux d’incidence annuelle de 1994 à août 2005 %
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Pseudomonas aeruginosa
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Portage de Pseudomonas aeruginosa résistants patients hospitalisés plus de 24 heures Taux d’incidence annuelle de 1994 à août 2005 %
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Modèle économique Données Fondation St. Joseph Détection PCR temps réel Miquel Vernet
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Propositions des objectifs pour l’année 2006 1. Relance de l'utilisation des SHA 2. Mise à jour du cahier d'hygiène 3. Formation et information des nouveaux personnels 4. Poursuites des activités d'évaluation (COMPAQH et audits) 5. Poursuite de la collaboration avec notre usager avec en priorité le thème relatif à l'information des patients
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RESULTATS AUDIT PREPARATION DE L’OPERE Questionnaire sur la préparation de l'opéré pour la prévention des infections du site opératoire (ISO)
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Méthodologie de l’audit (1) Groupes de Pilotage et de travail Objectif : évaluer les connaissances relatives à la préparation cutanée de l’opéré avant son arrivée au bloc opératoire Choix de la méthode d’audit : Quick audit Période de l’étude : 3 mai au 30 juin 2005
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Méthodologie de l’audit (2) Référentiels : - Protocole institutionnel - Fiche de liaison péri opératoire - Conférence de consensus 5 mars 2004 Auditeurs : - Choix d’auditeurs internes pour une pédagogie dynamique (Cadres de santé) - Formation relative aux connaissances
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Méthodologie de l’audit (3) - Audités : AS/IDE, jour,nuit, fixe,vacataire,intérimaire de toutes les unités - Enregistrement des données et analyse par l’unité d’hygiène - Retour d’information immédiat dans l’unité par le cadre aux instances et cadres : résultat global après analyses de l’ensemble des données
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Résultats
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Audits réalisés : 158 Auditeurs : 20
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Répartition des audits par type de discipline Médecine : 58% (91/158) Chirurgie : 42% (67/158)
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Répartition des audits selon les unités pôle UR pôle UR réanimation : 9 réanimation : 9 lits urgence : 6 lits urgence : 6 accueil urgences : 3 accueil urgences : 3 pôle BLOCS USI sspi- usi coeur : 0 usi pluri : 3 pôle MIME pneumologie : 5 gériatrie : 11 pôle Uro digestif gastro : 4 chir digestive : 8 urologie : 12 pôle CVM chir cardiaque : 7 chir cardiaque : 7 chir vasculaire : 0 chir vasculaire : 0 diabétologie : 0 diabétologie : 0 méd vasculaire : 11 méd vasculaire : 11 cardiologie : 6 cardiologie : 6 usi cardio : 9 usi cardio : 9
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Répartition des audits selon les unités pôle Locomoteur pôle Locomoteur orthopédie : 20 orthopédie : 20 rhumatologie : 8 rhumatologie : 8 accueil urgences : 3 accueil urgences : 3 hdj : 3 hdj : 3 pôle TCSN pôle TCSN neurologie : 11 neurologie : 11 orl chir plastique : 12 orl chir plastique : 12 hdj TCSN : 3 hdj TCSN : 3 pôle Infectieux pôle Infectieux maladies infectieuses : 7 maladies infectieuses : 7
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Les audités
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Pourcentages des audités selon leur qualification
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Pourcentages des audités selon leur rythme
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Pourcentages des audités selon leur statut
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Répartition des professionnels selon les années d’expérience
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Les connaissances
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Causes des ISO
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La douche (%) majeure modérée tout opéré inutile ambulatoire deux une %
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Dépilation = Prévention des ISO 81 % des audités pensent que la dépilation est une mesure de prévention des ISO alors que 28 % pensent que la meilleure mesure est l’absence de dépilation (9% de réponses incohérentes)
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Meilleure Méthode de Dépilation (%) Meilleure Méthode de Dépilation (%)
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Risque d’ISO (% ) et Classe de Contamination
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Protocole (%) Localisation du protocole %
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Information du patient relative à la douche (%) Raisons de non information (%) 48 expressions
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Vérification de la douche (%) Si non, pourquoi ? (%) 57 expressions
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Signalisation des anomalies A quelles personnes ? %
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Toilette bucco dentaire (%) %
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Capiluve (%)? Si non, pourquoi ? (% ) 98 expressions
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Utilité de la feuille péri opératoire (%)
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Conclusion (1) Audit très utile car beaucoup de connaissances théoriques n’étaient pas acquises lors de l’audit : - pas de rôle de la dépilation dans la prévention des ISO - importance de la toilette bucco dentaire - provenance des infections du site opératoire (flore endogène) - risque d’ISO et classe de contamination des interventions
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Conclusion (2) Problèmes notés sur les connaissances pratiques : - localisation du protocole - signalement des anomalies, à qui ? - utilité de la feuille de soins péri opératoires Problèmes liés à la vérification de la douche : seul 30% vérifie toujours
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Conclusion (3) Les points forts : - la douche est très souvent (91%) perçue comme une mesure importante de prévention des ISO - explications souvent données au patient - le rasage n’est plus perçu comme une bonne méthode de dépilation - les anomalies sont signalées
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Conclusion (4) - Audit bien perçu - Excellente participation des cadres auditeurs, le jour et la nuit Plan d’action à définir, suggestions : - cartographie de dépilation revue à la baisse - insister sur la toilette bucco dentaire et le capiluve - importance de la feuille péri opératoire (document médicolégal)
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Surveillance des infections du site opératoire sur prothèse totale de hanche Travail coordonné par le C-CLIN Paris-nord
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Groupe de travail : Hervé Blanchard : praticien en hygiène, Hôpital Cochin Nicole Desplaces : microbiologiste, Hôpital de la Croix-Saint-Simon Danielle Farret : cadre supérieur hygiéniste, C.CLIN Paris-Nord Olivier Gagey : chirurgie orthopédique, Hôpital Bicêtre Alban Greslé : statisticien, C.CLIN Paris- Nord Samia Lévy : praticien en hygiène, CH de Meaux Ludovic Richard : chirurgie orthopédique, Clinique des Maussins
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- 100 000 prothèses totales de hanche (PTH) sont posées sur 73 millions - principales indications des PTH : arthrose et fracture du col fémoral - complications essentielles : mécaniques et infectieuses - infection du site opératoire sur PTH : bon indicateur de la qualité des soins orthopédiques Contexte
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Etudes réalisées 3 ans0,9 %21371981Hill 5 ans9,9 %12062001Steinitz 4 ans6 % - 1,2 %8731997Fernadez 3-10 ans4,2 %8031983Surin 1 mois1,75 %65852001Raisin 1 mois2,5 %9312001C.CLIN Paris- Nord 1 mois3,1 %24151999C-CLIN Sud- est SuiviTaux ISONb PTHannéeAUTEUR Facteurs de risque : urgence, séjour pré-opératoire>30 j, pas d’antibioprophylaxie, infections superficielles, hospitalisation > 30 jours, transfusion hétérologue
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Etude du C-CLIN Paris-Nord Etude démarrée en 2003, après une phase pilote en 2002
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Origine de l’infection : une des questions de l’étude 2 mécanismes possibles : germe iatrogène introduit pendant l’intervention ou contamination par diffusion hématogène - Infection précoce après l’intervention : en général contamination peropératoire - Infection tardive (plusieurs mois ou années) : origine plus complexe, soit en rapport avec la phase opératoire, soit d’origine hématogène.
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Objectifs de l’étude Etude de cohorte - Taux d’incidence réel des infections post- opératoires précoces et tardives après PTH avec suivi d’un an Etude cas témoins - Identification des facteurs de risque des infections sur PTH, en particulier ceux pouvant déboucher sur une pratique de prévention - Evaluation des conséquences fonctionnelles et socio-économiques de ces infections
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Recueil des données : 1ère étape Items recueillis : Recueil des données sur le patient et l’intervention. (effectué par l’EOH) : - Recueil automatique et informatisé des données du bloc opératoire Nom, prénom, date de naissance, type d’intervention et reprise Score NNIS Nom du chirurgien - Recueil dans les dossiers Adresse et numéro de téléphone du patient Indice de Masse Corporelle (poids et taille) Activité du service sur 2 mois Nom du médecin traitant et numéro de téléphone,
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2ème étape : suivi du patient un an Recueil par le médecin de l’EOH et aide par C.CLIN Paris- Nord : relance par mailing au patient et appel téléphonique, un mailing au chirurgien Si infection, deux types d’informations à recueillir 1. Informations dans le dossier, facteurs de risque avant l’infection : transfusion autologue ou hétérologue infection dentaire et/ou urinaire antibioprophylaxie intervention sous flux laminaire Surpoids et/ou diabète 2. Informations après l’infection : documentation microbiologique reprise chirurgicale antibiothérapie réhospitalisation, durée
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Troisième étape : étude cas-témoins - Chaque patient infecté sera apparié à 3 témoins, pris parmi les non infectés, à la date de l’intervention. - Définition des cas et des témoins : Définition d’un cas : tout patient présentant une infection profonde de l’incision ou du site, survenant dans l’année qui suit l’intervention. Définition d’un témoin : tiré au sort parmi les patients opérés de PTH de la cohorte, sans infection au moment du diagnostic du cas, apparié sur la date de diagnostic du cas et sur l’établissement Un médecin investigateur du C.CLIN Paris-Nord, aidé par le référent INCISO ou le chirurgien, recherchera dans le dossier de la 1ère hospitalisation les mêmes facteurs de risque spécifiques que pour les infectés. La durée de suivi sera d’un an.
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Validation, saisie et analyse des données Elle sera assurée par le C.CLIN Paris-Nord. Nombre de sujets nécessaires : N = 1000
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