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1 Historique La lessiveuse apparaît au XIXème siècle. Lorsque l'eau est en ébullition, elle remonte par une cheminée et arrose le linge. En 1830 apparaissent,

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2 1 Historique La lessiveuse apparaît au XIXème siècle. Lorsque l'eau est en ébullition, elle remonte par une cheminée et arrose le linge. En 1830 apparaissent, en Angleterre, les premières machines à laver mécaniques. Flandria, constructeur Français, crée la barboteuse. C'est une machine en bois en forme de berceau effectuant un mouvement de va-et-vient et commandée par une manivelle.

3 En 1929 apparaissent les premières machines à laver française avec un essorage incorporé. Bendix, société d'aviation américaine, crée en 1937, la première machine à laver tout automatique. En France, l'age d'or des lave-linge commence en 1950. Les modèles en bois disparaissent pour laisser la place au métaux. L'essorage est incorporé dans le même appareil. Les premiers appareils réalisant des cycles complets et automatiques arrivent sur le marché au milieu des années 60. 1977: Première lavante-séchante

4 Fin des années 70: De nouvelles options sont disponibles (Température et essorage variable) Au milieu des années 80, grâce à l'avènement de l'électronique les constructeurs commencent à proposer des appareils peu gourmands en électricité Jusqu'à aujourd'hui le challenge relevé par les constructeurs concerne désormais les consommations en eau et en électricité des appareils, en les diminuant.

5 2 La dureté de l'eau La dureté de l'eau s'exprime en degrés hydrotimétriques (°th). il s'agit des minéraux générant le calcaire sous l'action de la chaleur dans les appareils ménager. Eau douce < 15°th Eau moyenne 15 < °th < 25 Eau dure 25 < °th < 35° Eau très dure > 35°th

6 2.1 Les effets d'une eau dure - Dépôt de calcaire dans l'appareil. - En se combinant avec la lessive les minéraux créent des substances visqueuses blanches se déposant sur le linge. - Diminution de l'efficacité de lavage - Le linge aura tendance à grisailler Solution: Augmenter légèrement le dosage lessiviel 2.2 Les effets d'une eau douce - Débordements de mousses - Vieillissement prématuré de l'appareil - Réduction de l'efficacité de lavage - Mauvais rinçage du linge Solution: Diminuer le dosage lessiviel

7 3 Linge, salissures, et lessives 3.1 Le linge Le linge est composé de fibres. Elle peuvent être de nature différente. -Les fibres animales: Laine et soie. -Les fibres végétales: Coton et lin. -Les fibres minérales: Fibre de verre et amiante. -Les fibres artificielles: Viscose, rayonne, fibranne, acétate etc... -Les fibres synthétiques: Polyesters, polyamides, élasthanne, etc... Le cuvier,ce symbole exprime le lavage. Les chiffres à l'intérieur du cuvier indiquent la température de lavage maximale, en degré Celsius. La main dans le cuvier signifie que l'on peut laver à la main. Le symbole souligné d'un trait indique des précautions particulières à respecter. Température en °C Action mécanique : 1 trait = réduite 2 traits = très réduite LAVAGE : le cuvier 3.2 les symboles d’une étiquette

8 Ce symbole autorise le blanchiment avec tous types de produits, notamment à base de chlore (exemple : eau de Javel) ou d'oxygène. Ce symbole conseille sur le réglage du niveau de température d'un sèche-linge : 1 point pour une température modérée (environ 50° C), 2 points sans restriction. Ce symbole définit, par 1, 2 ou 3 points la température maximale du fer à utiliser. Nettoyage à sec La croix de Saint André placée sur un symbole vierge de toute indication d'entretien signifie que le traitement est interdit. BLANCHIMENT : le triangle SECHAGE le cercle inscrit dans un carré REPASSAGE le fer à repasser NETTOYAGE A SEC le cercle TRAITEMENT INTERDIT la croix de Saint André

9 3.3 Usure du linge 70% : au fait de le porter. 20 % : Le lave-linge 10% : sèche-linge 3.4 Les salissures Les salissures pigmentaires : terre, de poussières, de sable, de suie etc. Les salissures blanchissables : taches de vin, de fruits, d'herbe, de café, etc. Les salissures grasses : Huiles, beurre, graisses diverses Les salissures protéiniques : Ce sont les taches les plus résistantes, le sang, l'oeuf, poissons, etc

10 3.5 Les lessives Les actions de la lessive : L'action mouillante : facilite l'imprégnation de l'eau dans les diverses salissures. L'action émulsionnante Lorsque les salissures sont extraites du linge, elles sont divisées (émulsionnées) en particules plus petites. L'action anti-redéposition Garder les salissures en suspension dans l'eau afin qu'elle ne se redéposent pas sur le linge. L'action détachante élimination des taches colorées, et des salissures à base de protéines (sang, oeuf). L'action anti-calcaire Le calcaire contenu dans l'eau ne doit pas se déposer sur le linge, pour éviter de rendre le linge rêche et grisaillant.

11 3.6 Les formes de lessive La poudre C'est le produit le plus efficace à toutes températures, sur la plupart des salissures Les pastilles ou tablettes Faciles à doser, il faut les mettre directement dans le tambour. Elles ont tendance à se dissoudre plus lentement dans l'eau, ce qui peut engendrer un mauvais résultat de lavage. Les liquides Elles sont adaptées aux lavages à basses températures car leur dissolution est plus rapide, faciles à doser, on peut les préconiser pour les prélavages. Les doses liquides Enrobées d'un film plastique qui a la propriété de se dissoudre au contact de l'eau. Avec un programme court, la dissolution peut être incomplète. Les lessives micros Elles permettent un résultat optimum, avec une dose minimum. Plus concentrées en agents actifs, elles sont très efficace à basse température. Les spécialisés Elles présentent des caractéristiques pour agir dès basses températures, et contiennent des agents spécialisés dans le traitement des linges délicats et des couleurs.

12 3.7 Les additifs L'assouplissant -Facultatif, il se verse dans le bac prévu, et il sera utilisé au moment du dernier rinçage. -Il permet d'obtenir un linge plus doux, souple et supprime les phénomènes d'electricité statique. -Essorage, séchage, et repassage facilité. L' eau de javel (ou Chlore) Elle est utilisée comme agent de blanchiment et désinfectant. -Elle doit être diluée. -Elle est prise au premier rinçage. Les anti-calcaires -Ils se présentent sous la forme de poudres ou de pastilles, et préviennent contre les effets néfastes du calcaire. -Ils permettent au linge de rester souple, et éviter son grisaillement Les produits détachants -Ils existent, en spray, en gel ou même en lingettes, et sont appliqués directement sur le linge avant le lavage. -Ils existent également sous forme de pastilles, à joindre à la lessive avec le cycle de lavage.

13 4 Les poses La pose libre. On peut disposer de ce type d'appareil comme on le veut, salle de bain, cuisine, buanderie. Les appareils en pose libre peuvent être choisis en chargement par dessus (Top), ou frontal (Hublot). Les encastrables. Il s'agit des appareils que l'on va glisser sous un plan de travail par exemple, ils gardent leur aspect d'origine, et l'on peut retirer leur couvercle. C'est généralement le lave-linge à hublot qui est caractérisé ainsi. Les intégrables C'est le lave-linge que l'on va installer dans une cuisine aménagée. On pourra l'habiller d'un revêtement semblable au design de la cuisine de façon à ce qu'ils se confondent complètement. Les lave- linge à hublot sont retenus par les constructeurs pour ce type de pose.

14 5 Les types Le lave-linge top ou chargement par dessus. bandeau de commande et couvercle sur sa face supérieure. Ouverture par le dessus. Généralement d'une longévité mécanique supérieure au frontal (support de la charge de linge sur 2 axes).Faible encombrement (40 cm de large). Capacité de lavage, généralement limité à 5/6 Kg de linge (A quelques exceptions près). Maniable (généralement sur roulettes). Ne peut être installé dans une cuisine intégrable. Intervention technique facilité pour le remplacement des pièces, accès par les flancs (Sauf quelques exceptions). Le lave-linge frontal ou chargement par devant. Meilleures ventes sur le marché français, il a su détrôner sa rivale en chargement par le dessus. Capacités supérieures à 5 Kg (6, 8 ou 10 kg). Plus encombrant (60 cm de large). Couvercle pouvant être retiré pour insertion sous un plan de travail, ou servir de table de travail. Possibilité d'installer un sèche-linge sur son couvercle. Pose encastrable et intégrable (Plus onéreuse). Moins maniable. Accès au organes pour maintenance plus compliqué. Existe également en modèle réduit pour petits espaces.

15 UTILISATEUR ARMOIRE MACHINE A REPASSER RÉSEAU D’ASSAINISSEMENT RÉSEAU D’ADDUCTION SÈCHE-LINGE RÉSEAU EDF LAVE-LINGE CORBEILLE LINGE SALE R 20 R 19 R 14 R 16 R 17 R 15 R 18 R 21 R8R8 R6R6 R7R7 R6R6 R6R6 R 11 R 10 R 13 R 12 R 23 R 22 R3R3 R4R4 R2R2 R5R5 R1R1 R9R9 6 Diagramme sagittal

16 7 Définition des relations R 1 : Produits lessiviels plus additifs dosés par l’utilisateur. R 2, R 10, R 14 : Sélection du programme et mise en marche des objets techniques : Lave-linge, sèche-linge et machine à repasser. R 3 : Linge sale trié par nature de fibre, par couleur et en fonction du degré de salissure. R 4 : Linge propre à taux d’humidité réduit. R 5, R 11, R 16 : Contrôle visuel de la mise en marche et du déroulement du programme. R 6 : Énergie électrique. R 7 : Eau froide sous pression. R 8 : Eaux usées. R 9 : Eau déminéralisée. R 12 : Linge propre et sec mais froissé. R 13 : Linge propre à taux d’humidité réduit. R 15 : Linge propre et sec mais froissé présenté pièce par pièce. R 17 : Linge repassé. R 18 : Air chaud et humide. R 19 : Linge sale. R 20 : Linge repassé. R 21 : Eau condensée. R 22 : Particules de linge(peluches). R 23 : Produit assouplissant.

17 8 Schéma fonctionnel du premier degré R4R4 L4L4 L3L3 L2L2 L1L1 R2R2 R3R3 R8R8 R6R6 ACQUISITION DES CONSIGNES FP1 GESTION ET TRAITEMENT DES DONNÉES FP2 LAVAGE DU LINGE FP5 ALIMENTATION FA CONVERSION É. ÉLECTRIQUE / É. MÉCANIQUE FP3 R5R5 CONVERSION É. ÉLECTRIQUE / É. THERMIQUE FP4 DISTRIBUTION FP6 R1R1 R7R7 L5L5 L6L6 L7L7 L8L8 L9L9 L 10 L 11 L 12 L 13

18 FP1 : ACQUISITION DES CONSIGNES Acquérir les consignes de fonctionnement du lave-linge. entrée :  R2 : consignes de fonctionnement du lave linge saisies par l'utilisateur. sortie :  L1 : signaux électriques représentatifs des consignes de fonctionnement saisies par l’utilisateur. FP2 : GESTION ET TRAITEMENT DES DONNÉES Cette fonction gère l’ensemble du fonctionnement du lave-linge entrées :  L1 : signaux électriques représentatifs de la consigne de fonctionnement saisie par l’utilisateur.  L6 : signal électrique représentatif de la vitesse de rotation du moteur.  L7 : signal électrique représentatif du niveau d’eau dans la cuve.  L10 : signal électrique représentatif de l’état de la porte.  L12 : signal électrique représentatif de la température de l’eau dans la cuve. sorties :  R5: compte rendu de l’état de fonctionnement du lave linge.  L2 : signaux électriques de commande de rotation et de vitesse du moteur.  L5 : signaux électriques de commande de la distribution de produits et d’eau.  L8 : signal électrique de commande du chauffage de l’eau.  L9 : signal électrique de commande du verrouillage de porte.  L11 : signal électrique de commande de l’évacuation des eaux.

19 FP3 : CONVERSION ÉNERGIE ÉLECTRIQUE / ÉNERGIE MÉCANIQUE Cette fonction permet la conversion de l’énergie électrique en énergie mécanique permettant la rotation du tambour. entrée :  L2 : signaux électriques de commande de rotation et de vitesse du moteur. sorties :  L3 : mouvement de rotation du tambour.  L6 : signal électrique représentatif de la vitesse de rotation du moteur. FP4 : CONVERSION ÉNERGIE ÉLECTRIQUE / ÉNERGIE THERMIQUE Cette fonction permet le chauffage de l’eau à l’intérieur de la cuve. entrée :  L8 : signal électrique de commande du chauffage de l’eau. sortie :  L4 : chaleur.

20 FP5 : LAVAGE DU LINGE Cette fonction permet le lavage du linge entrées :  R3 : Linge sale trié par nature de fibre, par couleur et en fonction du degré de salissure.  L3 : mouvement de rotation du tambour.  L4 : chaleur.  L9 : signal électrique de commande du verrouillage de porte.  L11 : signal électrique de commande de l’évacuation des eaux.  L13 : eaux de lavage. sorties :  R4 : Linge propre à taux d’humidité réduit.  R8 : Eaux usées.  L7 : signal électrique représentatif du niveau d’eau dans la cuve.  L10 : signal électrique représentatif de l’état de la porte.  L12 : signal électrique représentatif de la température de l’eau dans la cuve.

21 FP6 : DISTRIBUTION Cette fonction permet d’obtenir de l’eau avec ou sans produit lessiviel. La quantité d’eau distribuée est fonction du mode de lavage sélectionné, de la charge de linge à laver et du type de séquence sélectionné. entrée :  R1 : Produits lessiviels plus additifs dosés par l’utilisateur.  R7 : Eau froide sous pression.  L5 : signaux électriques de commande de la distribution de produits et d’eau. sortie :  L13 : eaux de lavage FA : (Fonction Annexe) ALIMENTATION Cette fonction permet d’obtenir différentes tensions d’alimentation des cartes électroniques. entrée :  R6 : signal électrique 230V / 50Hz(Réseau EDF).

22 9 Constitution de l’appareil Vue d’ensemble

23 Vue coté droit

24 Vue coté gauche

25 Vue coté droit

26 Lave linge frontal 1. Minuteur 2. Boîte à produits 3. Tuyau évent vapeurs 4. Pressostat 5. Ressort suspension cuve 6. Cuve 7. Durit chargement lessive 8. Tuyau électrovanne-bac 9. Électrovanne alimentation en eau 10. Tuyau alimentation eau 11. Lest arrière 12. Poulie tambour 13. Palier 14. Thermostat 15. Élément chauffant 16. Tuyau vidange 17. Poulie moteur 18. Moteur 19. Amortisseur 20. Pompe vidange 21. Cloche prise pression 22. Filtre vidange 23. Tuyau cuve-corps filtre 24. Sécurité porte 25. Hublot 26. Joint de hublot 27. Lest avant 28. Tambour

27 1. Électrovanne alimentation en eau 2. Boîte à produits 3. Durit bac-cuve 4. Cuve 5. Tambour 6. Tuyau vidange 7. Filtre vidange 8. Pompe vidange 9. Durit cuve- corps filtre 10. Tuyau aspiration pompe de cyclage 11. Pompe de cyclage 12. Tuyau de cyclage 13. Élément chauffant

28 10 les différents éléments du lave linge 10.1 Le programmateur Celui-ci est composé de cames entraînées par un moteur synchrone et des contacts actionnés par les cames. 1-Plaque de Connexions 2-Contacts 3-Micro moteur 4-Bloc cames rapides 5-Bloc cames lentes 6-Carter

29 10.2 L’électrovanne Caractéristiques : Tension nominale, ex : 230V – 50Hz Impédance de la bobine, ex : 1950 Ω à 20C Débit, ex : 8l / min Nombre de voix, ex : 1 voie C’est un composant à la fois hydraulique et électromécanique destiné à admettre la quantité d’eau nécessaire dans l’appareil. Symbole : 1. Entrée eau 2. Corps électrovanne 3. Filtre 4. Réducteur débit 5. Bobine 6. Ressort 7. Noyau mobile 8. Caoutchouc 9. Membrane 10. Sortie eau

30 Contrôle de l’efficacité Elle charge toujours de l’eau, même avec l’appareil arrêté : -Electrovanne bloquée mécaniquement, remplacer l’électrovanne. Elle charge toujours de l’eau pendant le cycle de lavage : -Vérifier le circuit hydraulique du pressostat et le pressostat. Elle ne charge pas d’eau : 1. L’électrovanne vibre (ronflement bobine), mais elle ne charge pas d’eau : - Vérifier le circuit hydraulique d’alimentation électrovanne (robinet fermé, pression hydrique insuffisante, tuyau alimentation étranglé); - Electrovanne bloquée mécaniquement: remplacer l’électrovanne. 2. L’électrovanne ne vibre pas: - Mesurer l’enroulement bobine (3500 - 4500 ohms): s’il est défectueux, remplacer l’électrovanne; - Electrovanne bloquée mécaniquement: remplacer l’électrovanne; - Vérifier le circuit hydraulique du pressostat et le pressostat; - Vérifier le fonctionnement correct du minuteur ou de la carte électronique principale.

31 Electrovanne 3 voies :Electrovanne Vapeur (pas dans les lave-linge) Electrovanne avec débitmètre Si l’électrovanne comprend un débitmètre, ce capteur émettra des impulsions électriques de 5 V à l’électronique principale. Ceci se fait par un aimant qui ouvre et qui ferme un contact Reed. L’aimant se trouve sur une turbine tournante. La pression de l’eau fait tourner la turbine et envoie des impulsions à l’électronique principale

32 10.3 : le pressostat C’est un composant qui permet de détecter le niveau d’eau dans la cuve. Pressostat Tuyau pressostat Chambre de compression Tuyau de vidange Cuve Tambour 1. Trou entrée air 2. Diaphragme 3. Chambre interne 4. Lame contact (déclenchement rapide) 5. Vis réglage niveau 6. Vis réglage différentiel

33 Le pressostat joue le rôle d’un interrupteur commandé par la pression. Lors du remplissage, le niveau d’eau monte dans la cuve et dans la chambre de compression. L’air prisonnier dans le circuit étanche (pressostat, tuyau de pressostat et chambre de compression) monte en pression. Sous l’effet de cette pression, la membrane se déforme et le contact change d’état. Le seuil de déclenchement est réglable par une vis.

34 Symbole :

35 Le pressostat analogique Le principe repose sur la mobilité d'un aimant (en contact avec la membrane). Celui-ci en se déplaçant dans une bobine vient modifier la valeur de l’inductance. Cette variation d’inductance modifie la fréquence d’un oscillateur L’information délivrée au programmateur est une fréquence qui varie en fonction du niveau d’eau dans la cuve Fréquence (Hz) Pression (mm CE) 300100200 36 45

36

37 10.4 La sécurité de porte Elle assure le verrouillage et le déverrouillage de la porte par l’intermédiaire d’une CTP et elle rend compte de l’état de la porte par l’intermédiaire d’un contact qui fait office de fin de course. 1. P.T.C. 2. Plaquettes bi-métal 3. Contact en position de repos 4. Contact fermé

38 Le PTC est une résistance en matériau céramique qui a la Caractéristique d’augmenter sa résistance interne en fonction de la température. Dans ce dispositif, le PTC est utilisé comme élément chauffant des plaquettes bi-métal. Par effet de la température, les deux plaquettes Se déforment (de A à B) en déplaçant le levier qui va fermer le contact de l’interrupteur général. En même temps, le cliquet, commandé par la lame du contact, sort en bloquant le curseur. Le tout s’effectue en environ 5 secondes à partir du moment où le dispositif est alimenté. Quand on coupe l’alimentation, le PTC refroidit (1-2 min) et les plaquettes se portent dans la position initiale en ouvrant le contact et en libérant le curseur.

39 Variante avec dispositif pneumatique Un tuyau raccorde le retardateur au corps filtre. Quand la pression sur la membrane dépasse la force du ressort antagoniste (100 ± 30 mm de colonne d’eau), le cliquet sort en bloquant le curseur. Sécurité de porte à ouverture immédiate Certains modèles avec contrôle électronique sont équipés d’un dispositif instantané de sécurité porte; cela signifie qu’il est possible d’ouvrir la porte dès que le tambour s’arrête. 1. PTC de protection du solénoïde 2. Solénoïde 3. Leviers 4. Came 5. PTC-bimétal 6. Contacts électriques (interrupteur général) 7. Cliquet de blocage

40 10.5 Pompe de vidange Les eaux du bac de rétention saturées de salissures, ainsi que les eaux de rinçage et d’essorage, sont évacuées par pompage vers le réseau d’assainissement. Le moteur utilisé et de type synchrone à spires de frager Exemples de caractéristiques: Tension d’alimentation : 230 V / 50 Hz Vitesse de rotation : 3000 tr/min Puissance absorbée : 34 W Courant absorbé : 0.3 A Débit : 16 l/min Valeur ohmique à 20 °C : environ 155  2 1. Roue 2. Rotor 3. Stator

41 Le rotor est formé d’un aimant permanent et la rotation peut s’effectuer aussi bien dans le sens des aiguilles d’une montre que dans le sens contraire. Le rotor peut tourner pendant environ un quart de tour sans faire tourner la roue. C’est pourquoi, si la roue est bloquée par un corps étranger, le rotor peut effectuer des petits mouvements dans le sens des aiguilles d’une montre puis dans le sens contraire jusqu’à débloquer la roue. Le débit de ces pompes est d’environ 22-25 l/min, la hauteur d’élévation maximum est de 90 cm. Contrôle de l’efficacité 1. Vérifier que la roue n’est pas bloquée par des corps étrangers et qu’elle n’est pas usée. 2. Vérifier la résistance de l’enroulement du stator. La mesure doit être d’environ 150/200 Ω. Attention! Dans certains cas, si elles sont alimentées à vide (débranchées du circuit hydraulique), les pompes de type synchrone peuvent ne pas démarrer car, étant donné leurs caractéristiques de fabrication, elles ont besoin d’un couple antagoniste sur la roue pour permettre au rotor de tourner dans un sens ou l’autre. C’est pourquoi les pompes doivent être essayées uniquement montées sur la machine, après qu’un peu d’eau a été chargée.

42 10.6 Les thermoplongeurs : Tension nominale : 230V / 50 Hz Type : avec thermofusible de 128 °C incorporé Puissance : 2000 W ou 2400 W Valeur ohmique à 20 °C : environ 20  Exemples de caractéristiques : Ils permettent de chauffer l’eau à la température sélectionnée par l’utilisateur 1. Fourreau tubulaire 2. Connecteur 3. Élément chauffant à filament 4. Isolant 1. Elément de chauffage 2. Fusible Thermique 3. CTN, sonde de température 4. Raccordement

43 10.7 Le moteur d’entrainement 10.7.1 Le moteur universel Ce type de moteur est désigné par universel car il peut être alimenté indifféremment en courant continu ou en courant alternatif. Il fourni un couple de démarrage et demande un courant d’appel assez important. Cependant l’inversion de son sens de démarrage et la variation de vitesse en courant alternatif sont des opérations basiques.

44 Exemple de Caractéristiques : Tension nominale : 230 V / 50 Hz Nombre de pôles : 2 Sens de rotation : 2 Vitesse de rotation : 1150 tr/min Résistance stator : 1.5   7 % Résistance rotor : 1.7   7 % Résistance tachy : 90   10 % Inversion du sens de rotation Une inversion du sens de rotation pendant la phase lavage entraîne un lavage plus efficace. Pour inverser le sens de rotation du moteur, il suffit de changer le sens du courant soit dans l’induit soit dans l’inducteur.

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46 Réglage de la vitesse du moteur Ce réglage est obtenu en modifiant, à l’aide d’un contrôle électronique, la tension (V) appliquée au moteur. La technique adoptée est la commande par “découpage de phase” du TRIAC. Le TRIAC est un interrupteur électronique bidirectionnel. La fermeture du circuit entre A1-A2 (anodes) s’effectue grâce à des impulsions d’allumage sur la borne (G).

47 Convertisseur CA/CC pour moteur universel Ce composant est utilisé uniquement sur certains modèles avec contrôle électronique, il a pour fonction de convertir le courant alternatif, généré par le triac de la carte électronique principale, en courant “continu” pour l’alimentation du moteur de rotation du tambour. Symbole : Schéma électrique :

48 10.7.1 Le moteur Asynchrone On peut les trouver dans les appareils à essorage variable de grosse capacité (+ de 6 kilos de linge), associés à une électronique spécifique. Moteur asynchrone monophasé Il s’agit de moteurs du même type que ceux utilisés dans les sèche linge ou les pompes de cyclage des lave vaisselle. À la différence que les enroulements utilisés pour le lavages et l’essorage sont différents : Le stator est formé de quatre enroulements: - 2 enroulements de vitesse élevée à deux polarités, pour le fonctionnement en essorage: Un enroulement de fonctionnement et un de démarrage, avec le condensateur en série. La rotation du tambour à vitesse élevée s’effectue toujours dans le même sens (inverse des aiguilles d’une montre). - 2 enroulements de faible vitesse pour le fonctionnement en lavage. Au niveau de la réalisation, ils sont identiques, à 12 ou 16 polarités.

49 Moteur asynchrone triphasé Les bobinages sont toujours en nombre multiple de trois. À l’intérieur du stator, on trouve un rotor solidaire de l’arbre, constitué d’un empilement de tôles magnétiques qui comprend un circuit (généralement en aluminium moulé sous pression) dénommé à cage d’écureuil, car il est constitué d’une série de barres disposées de façon à former un cylindre entre deux anneaux. Quand le stator génère un champ magnétique tournant, des courants électriques se créent par induction dans la cage. En s’opposant au champ générateur, ils produisent un couple moteur sur le rotor. La vitesse de rotation maximum en tours par minute d’un moteur asynchrone est liée à la fréquence d’alimentation et au nombre de paires de pôles. Les moteurs triphasés sont caractérisés par une fiabilité élevée déterminée par l’absence de balais. Ils peuvent également être alimentés par des variateurs, à partir d’une source d’alimentation encourant continu. Les enroulements du stator peuvent être couplés en étoile ou en triangle. Les moteurs asynchrones triphasés sont constitués d’un stator sur lequel sont enroulés les bobinages (enroulements imprégnés dans des résines, qui garantissent une excellente protection contre l’eau) qui constituent les pièces polaires.

50 Module de commande moteur induction triphasé

51 Moteur asynchrone avec générateur tachymétrique, sans balai (donc durée de vie plus longue et moins de bruit) - la vitesse de rotation du moteur est commandée en fréquence et tension, permettant un contrôle de la vitesse plus précis. Meilleurs rendements ( 40% comparé au 15% du moteur universel classique ) - Échauffement très faible permettant des cadences très élevées ( 95% de temps de brassage ) - Vitesse de rotation max. : 1800 tr/min Caractéristiques des moteurs asynchrones triphasés Forme des signaux d’alimentation du moteur

52 Filtre antiparasite Il s’agit d’un dispositif qui, branché à l’entrée de la ligne d’alimentation électrique du lave-linge, évite l’émission des perturbations en radiofréquence. Schémas électriques L’appareil émet des perturbations en radiofréquence : - vérifier l’efficacité de l’installation de terre. L’appareil ne fonctionne pas : - avec un ohmmètre, mesurer si le composant est interrompu: - entre 1 – 3, environ 0 Ω ; -entre 2 – 4, environ 0 Ω. Intervention des protections de l’installation électrique: -mesurer avec un ohmmètre (capacimètre) si le composant est en court-circuit entre 3 - 4 (>500KΩ); - vérifier s’il y a des dispersions vers la masse.

53 Thermostat à bimétal Ce type de thermostat, dans les différentes versions avec un ou deux contacts, normalement fermés ou ouverts, peut être utilisé pour: - contrôle de la température de l’eau de lavage; - contrôle de la température de l’air de séchage; - sécurité contre les surchauffes 1. Capsule en acier 2. Bimétal 3. Contact 4. Ressort 5. Tige température élevée 6. Tige basse température Principe de fonctionnement Le disque bimétal, quand il atteint la température d’étalonnage du thermostat, se déclenche et,à l’aide d’une tige, ouvre (ou ferme, selon la version) les contacts. Pendant le refroidissement, le bimétal retourne à la position initiale quand la température de réenclenchement préétablie est atteinte.

54 Thermostat réglable Les thermostats ont pour fonction de régler et contrôler la T° de l’eau de lavage. Ils peuvent être du type à dilatation de fluide avec La possibilité de régulation de la T° d’intervention. 1. Bulbe 2. Tube capillaire 3. Gaine tube capillaire 4. Corps thermostat 5. Contact Contrôle de l’efficacité 1 - À l’aide d’un testeur, vérifier si, à froid, les contacts sont en position correcte (normalement fermés). 2. Faire chauffer le bulbe du thermostat et vérifier si la commutation des contacts s’effectue correctement. 3. Laisser refroidir le thermostat et vérifier si les contacts retournent dans la position de réenclenchement. 4. Vérifier si le tube capillaire du thermostat est fixé correctement sur la cuve et la présence des spires.

55 Sonde de température NTC Sur les modèles électroniques, une sonde de type NTC est utilisée pour le contrôle de la température de lavage: elle est réalisée de façon à ce que sa résistance interne diminue quand la température augmente. La diminution de la résistance est détectée par le contrôle électronique qui débranche l’élément chauffant une fois la température désirée atteinte. 1. Résistance NTC 2. Capsule métallique 3. Bornes 4. Boîtier en plastique Contrôle de l’efficacité À l’aide d’un testeur, vérifier si la valeur de résistance de la sonde correspond à la température.


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