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Publié parÉdith Raynaud Modifié depuis plus de 11 années
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Assainissement et eau pour tous : un cadre d’action global
Addis Abéba, Éthiopie 20 Novembre 2010 Clarissa Brocklehurst, UNICEF
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Qu’est ce qu’Assainissememt et eau pour tous ?
Une vision : accès universel et durable à l’assainissement et à l’approvisionnement en eau Une alliance d’organisations en communauté d’idées Une vision commune, un ensemble de valeurs et de principes directeurs offrant un cadre d’action transparent, responsabilisant et axé sur les résultats Une confiance et un soutien mutuels, l’engagement envers les principes de l’efficacité de l’aide au développement Alliance : ne constitue pas une organisation par elle-même, agit par l’intermédiaire de ses membres
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d’étranglement du secteur?
Quels sont les goulots d’étranglement du secteur? Absence de volonté politique Manque de capacités pour planifier, mettre au point, mettre en œuvre et assurer un suivi Manque de responsabilisation par rapports aux engagements Financement inefficace (coordination, utilisation, ciblage) Financement insuffisant Échelle de mise en œuvre limitée Mise en œuvre de mauvaise qualité Comment savons-nous qu’il s’agit bien là des problèmes qui se posent ? Le Rapport GLAAS nous indique que les bailleurs de fonds ont réduit leur aide financière pour les services de base de 27 % à 16 % au cours des cinq dernières années et que l’aide accordée au titre d’ Eau, assainissement et hygiène aux pays à bas revenu a baissé de 50% à 42 % depuis 2008. 35 des 37 pays ayant fait l’objet d’une enquête indiquent que le financement obtenu est insuffisant pour atteindre la cible des OMD sur l’assainissement. (COMMENTER SUR LES PAYS QUI ONT DES PLANS ET DES MESURES DE CIBLAGE) (CAPACITÉS EN RESSOURCES HUMAINES) (Insuffisance de l’échelle de mise en œuvre – très éloignée de la cible des OMD) (La pérennisation/durabilité pose problème)
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Trois priorités clés : Le cadre d’action
Assurer une meilleure priorité politique Améliorer la prise de décision à base factuelle Assurer la robustesse des processus de planification nationale Le cadre d’action d’Assainissement et eau pour tous définit trois priorités sur lesquelles les partenaires s’alignent pour accélérer les progrès à accomplir pour atteindre un accès universel à l’eau et à l’assainissement. Seul un effort de coordination et de collaboration peut permettre aux parties prenantes du secteur Eau, assainissement et hygiène d’éliminer les obstacles politiques complexes qui entravent leurs objectifs. Assurer une meilleure priorité politique en engageant le dialogue avec les décideurs au plus haut niveau Améliorer la prise de décision à base factuelle en collectant une plus grande quantité de données factuelles qui nous indiquent ce qu’il faut faire Assurer la robustesse des processus de planification nationale en renforçant la planification stratégique mise en œuvre par le pays dans le but de se préparer à accueillir des investissements
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Activités favorisant une meilleure priorité politique
Partenariat Partenaires Fournir un forum de dialogue: Réunion de haut niveau, actions de plaidoyer à d’autres réunion régionales ou mondiales Plaidoyer avec usage des messages « Assainissement et eau pour tous»
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Activités favorisant la prise de décision à base factuelle
Partenariat Partenaires Avaliser, utiliser et diffuser les données factuelles utiles à la prise de décision OMS-UNICEF : Programme commun de surveillance de l'eau et de l'assainissement OMS : Rapport GLAAS Conseil des ministres africains de l’eau-Programme PNUD/Banque mondiale pour l'eau et l'assainissement : Rapports de situation sur les différents pays (CSO) Autres : ???
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Partenariat Partenaires
Activités favorisant la robustesse des processus de planification nationale Partenariat Partenaires - Distinguer les pays qui ont les besoins insatisfaits les plus importants et coordonner les efforts pour y soutenir la planification stratégique et le renforcement des capacités Avaliser directives et « données de référence » nécessaires à la planification Les pays en développement consacrent des ressources à améliorer leur planification afin de prouver qu’ils sont prêts à recevoir des investissements Les bailleurs de fonds financent une assistance technique aux pays qui ont les besoins insatisfaits les plus importants Les autres partenaires au développement apportent une assistance technique Mise au point des directives et des « données de référence » nécessaires à la planification
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Intensifier l’impact des ressources mises en œuvre
Deux réalisations Intensifier l’impact des ressources mises en œuvre Renforcer la responsabilité mutuelle « Intensifier l’impact des ressources mises en œuvre » - concerne le budget national aussi bien que l’aide au développement ainsi que le ciblage des ressources existantes (spécialement celles fournies par l’aide au développement) en faveur des populations privées de ces services. Oui, une augmentation des ressources financières serait une bonne chose, mais il s’agit aussi largement d’utiliser ce que nous avons pour mieux améliorer un accès durable à l’assainissement et à l’approvisionnement en eau. « Responsabilité mutuelle » - y compris un suivi des engagements pris (en cours de mise au point)
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C’est possible! 1. Le Sénégal a couvert 20 % de son déficit de financement 2. En Angola, une proposition de financement annuel de 120 millions de dollars pour le secteur Eau, assainissement et hygiène qui avait été bloquée à reçu immédiatement un feu vert à la suite de la Réunion de haut niveau 3. Le Burkina Faso a lancé une campagne nationale de promotion de l’assainissement et de l’hygiène auprès des ménages inaugurée en août par le chef de l’État 4. Au Tchad, deux mois après la Réunion de haut niveau, le ministre des Finances et le ministre chargé de l’Environnement et de l’eau ont prise des mesures pour répartir sur deux postes distincts les crédits budgétaires pour l’eau et l’assainissement qui étaient auparavant consolidés Plusieurs des engagements pris à la Réunion de haut niveau ont déjà été concrétisés. Le Sénégal a utilisé le rapport CSO (base factuelle) pour déterminer son déficit de financement – couvrant ensuite 20 % de ce déficit (renforcement de la priorité politique) Angola et Burkina (renforcement de la priorité politique) Tchad (amélioration de la planification)
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