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Publié parEdgar Paul Modifié depuis plus de 8 années
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E TRE ACCRO A INTERNET
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SOMMAIRE Définition. Comment devient-on addict? Les symptômes Comment se faire aider? Définition. Comment devient-on addict? Les symptômes Comment se faire aider?
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D ÉFINITION D ÉFINITION Certaines activités en ligne créeraient des dépendances. Les psychiatres ne s'accordent toutefois pas sur la nécessité de reconnaître officiellement un tel trouble du comportement. Internet n'était encore qu'un système réservé à une poignée de passionnés technophiles que déjà une psychologue américaine, Kimberly Young, décrivait l'« addiction à Internet » et ouvrait le premier centre spécialisé dans le traitement de ce trouble, en 1996 [1]. Dix-sept ans plus tard, et après plus de 700 publications consacrées au sujet, la question de la dépendance au Net reste plus que jamais au coeur d'un débat tumultueux. Personne ne nie l'existence d'un usage excessif et problématique chez des utilisateurs. Mais alors que des spécialistes considèrent ce mésusage comme une nouvelle addiction, une perte de contrôle des impulsions nécessitant un traitement, d'autres n'y voient qu'une simple habitude envahissante, comparable à l'usage de la télévision ou du téléphone. Pour l'heure, ce trouble n'est recensé dans aucune classification internationale des maladies. Mais il pourrait faire son entrée dans la prochaine version du Manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux (le DSM-5), prévue pour 2013. Certaines activités en ligne créeraient des dépendances. Les psychiatres ne s'accordent toutefois pas sur la nécessité de reconnaître officiellement un tel trouble du comportement. Internet n'était encore qu'un système réservé à une poignée de passionnés technophiles que déjà une psychologue américaine, Kimberly Young, décrivait l'« addiction à Internet » et ouvrait le premier centre spécialisé dans le traitement de ce trouble, en 1996 [1]. Dix-sept ans plus tard, et après plus de 700 publications consacrées au sujet, la question de la dépendance au Net reste plus que jamais au coeur d'un débat tumultueux. Personne ne nie l'existence d'un usage excessif et problématique chez des utilisateurs. Mais alors que des spécialistes considèrent ce mésusage comme une nouvelle addiction, une perte de contrôle des impulsions nécessitant un traitement, d'autres n'y voient qu'une simple habitude envahissante, comparable à l'usage de la télévision ou du téléphone. Pour l'heure, ce trouble n'est recensé dans aucune classification internationale des maladies. Mais il pourrait faire son entrée dans la prochaine version du Manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux (le DSM-5), prévue pour 2013.
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C OMMENT DEVIENT - ON ADDICT Il existe plusieurs profils d’Internautes qui s’estiment très accros à Internet et ceci en fonction de leur activité principale sur le web : jeux (poker, jeux concours, etc.), jeu en réseau (Wow, Counter-Strike, etc.), chat, forum, messagerie instantanée, blog du type Skyblog, réseau social du type MySpace, Facebook, échange de vidéo du type YouTube et Dailymotion etc. Le fait de passer tout son temps libre derrière un écran à développer des relations virtuelles risque fort de porter préjudice aux rapports entretenus avec les autres dans la vraie vie car l’on consacre moins de temps à ces dernières. Des études montrent que les internautes accros passent beaucoup plus de temps seul que les non-internautes, à contexte social ou démographique équivalent. Bien que les activités en ligne, comme le tchat, la participation à des forums ou l’échange d’e-mails suppose une interaction sociale, les accros ont tendance à passer moins de temps avec leur famille ou leurs amis. Il existe plusieurs profils d’Internautes qui s’estiment très accros à Internet et ceci en fonction de leur activité principale sur le web : jeux (poker, jeux concours, etc.), jeu en réseau (Wow, Counter-Strike, etc.), chat, forum, messagerie instantanée, blog du type Skyblog, réseau social du type MySpace, Facebook, échange de vidéo du type YouTube et Dailymotion etc. Le fait de passer tout son temps libre derrière un écran à développer des relations virtuelles risque fort de porter préjudice aux rapports entretenus avec les autres dans la vraie vie car l’on consacre moins de temps à ces dernières. Des études montrent que les internautes accros passent beaucoup plus de temps seul que les non-internautes, à contexte social ou démographique équivalent. Bien que les activités en ligne, comme le tchat, la participation à des forums ou l’échange d’e-mails suppose une interaction sociale, les accros ont tendance à passer moins de temps avec leur famille ou leurs amis.
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L ES SYMPTÔMES 1)Symptômes psychologiques: sentiment de bien-être et d'euphorie lors de l'utilisation d'internet incapacité à arrêter l'utilisation d'internet besoin de plus en plus important de l'utilisation d'internet, même la nuit manque de temps pour la famille/amis/loisirs problèmes d'assiduité ou performances au travail ou à l'école mensonges à la famille ou aux amis sur le temps consacré à internet dépression ou agressivité lorsque que la personne est privé 2)Symptômes physiques: sécheresse des yeux migraines repas irréguliers ou sautés mauvaise hygiène personnelle En savoir plus sur http://jeunes-internet.e-monsite.com/pages/les-risques-d- internet-pour-les-jeunes/l-addiction.html#uSecHzqMYbkOjP86.99 1)Symptômes psychologiques: sentiment de bien-être et d'euphorie lors de l'utilisation d'internet incapacité à arrêter l'utilisation d'internet besoin de plus en plus important de l'utilisation d'internet, même la nuit manque de temps pour la famille/amis/loisirs problèmes d'assiduité ou performances au travail ou à l'école mensonges à la famille ou aux amis sur le temps consacré à internet dépression ou agressivité lorsque que la personne est privé 2)Symptômes physiques: sécheresse des yeux migraines repas irréguliers ou sautés mauvaise hygiène personnelle En savoir plus sur http://jeunes-internet.e-monsite.com/pages/les-risques-d- internet-pour-les-jeunes/l-addiction.html#uSecHzqMYbkOjP86.99
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C OMMENT SE FAIRE AIDER Toutefois, cela ne suffira peut-être pas. la preuve : même si l'on dit à un gros fumeur qu'il risque de développer un cancer, il continue souvent de fumer. Il est alors devenu trop dépendant pour s'en sortir tout seul. Des moyens existent pour se faire aider : Consultez un médecin traitant, c'est une première étape pour savoir ensuite vers qui s'orienter. Le médecin prescrira en même temps un traitement pouvant aider la personne à être plus détendue. Vous pouvez également consulter un psychologue.psychologue Entamer une thérapie comportementale.thérapie comportementale Bon à savoir : Un sevrage entraînera quelques effets secondaires qu'il faut savoir accepter, le temps que tout rentre dans l'ordre : angoisse, anxiété, troubles du sommeil, perte d'appétit... Toutefois, cela ne suffira peut-être pas. la preuve : même si l'on dit à un gros fumeur qu'il risque de développer un cancer, il continue souvent de fumer. Il est alors devenu trop dépendant pour s'en sortir tout seul. Des moyens existent pour se faire aider : Consultez un médecin traitant, c'est une première étape pour savoir ensuite vers qui s'orienter. Le médecin prescrira en même temps un traitement pouvant aider la personne à être plus détendue. Vous pouvez également consulter un psychologue.psychologue Entamer une thérapie comportementale.thérapie comportementale Bon à savoir : Un sevrage entraînera quelques effets secondaires qu'il faut savoir accepter, le temps que tout rentre dans l'ordre : angoisse, anxiété, troubles du sommeil, perte d'appétit...
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