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rôle que des processus élémentaires et généraux jouent dans l’apprentissage de systèmes d’informations complexes organisés à divers niveaux Apprentissage.

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2 rôle que des processus élémentaires et généraux jouent dans l’apprentissage de systèmes d’informations complexes organisés à divers niveaux Apprentissage impliciteApprentissage implicite Mécanismes qui pourraient être généraux, même si leur étude a commencé dans le domaine du langageMécanismes qui pourraient être généraux, même si leur étude a commencé dans le domaine du langage

3 les bébés découvrent les frontières de mots grâce à des mécanismes qui exploitent les régularités statistiques présentes dans les séquences d’évènementsdécouvrent les frontières de mots grâce à des mécanismes qui exploitent les régularités statistiques présentes dans les séquences d’évènements

4 Où sont les silences entre les mots ?

5 Pas d’indice acoustique clairs… Comment découvrir les mots de la langue ? On ne peut pas les apprendre si on ne les distingue pas, mais on ne peut pas les distinguer si on ne connaît pas la langue …Comment découvrir les mots de la langue ? On ne peut pas les apprendre si on ne les distingue pas, mais on ne peut pas les distinguer si on ne connaît pas la langue …  L’oeuf ou la poule ?

6 bébés Exploitent le fait que les “probabilités transitionnelles” entre syllabes successives sont plus élevées à l’intérieur des mots que entre mots La “probabilité transitionnelle » prend en considération la cooccurrence entre syllabes et les fréquences absolues des syllabesExploitent le fait que les “probabilités transitionnelles” entre syllabes successives sont plus élevées à l’intérieur des mots que entre mots La “probabilité transitionnelle » prend en considération la cooccurrence entre syllabes et les fréquences absolues des syllabes La cooccurrence entre syllabes mène à une plus grande prédictibilité des paires de syllabes à l’intérieur d’un mot qu’entre des paires de syllabes qui “traversent” la frontière des motsLa cooccurrence entre syllabes mène à une plus grande prédictibilité des paires de syllabes à l’intérieur d’un mot qu’entre des paires de syllabes qui “traversent” la frontière des mots

7 “pretty baby” PRE --> TTY --> BA BYPRE --> TTY --> BA BY prédictible à 80% prédictible à 1%prédictible à 80% prédictible à 1% PT intérieurMot > PT entreMotsPT intérieurMot > PT entreMots

8 « probabilités transitionnelles » entre syllabes successives probabilité que Y suive Xprobabilité que Y suive X Ou « si X arrive, quelle est la probabilité de Y » ?Ou « si X arrive, quelle est la probabilité de Y » ? P(Y/X) = fréquence de la paire XY / fréquence de XP(Y/X) = fréquence de la paire XY / fréquence de X

9 PT intérieurMot > PT entreMots PRE --> TTY --> BA BYPRE --> TTY --> BA BY prédictible à 80% prédictible à 1%prédictible à 80% prédictible à 1% La présence de la syllabe « PRE » prédit plus fortement la présence de la syllabe « TTY » à l’intérieur du mot que la présence de « TTY » ne prédit la présence de « BA » qui appartient à un autre mot motsLa présence de la syllabe « PRE » prédit plus fortement la présence de la syllabe « TTY » à l’intérieur du mot que la présence de « TTY » ne prédit la présence de « BA » qui appartient à un autre mot mots

10 Saffran et al. 1996; 1997; Aslin et al., 1998  Flux continu de syllabes sans signification, sans aucun indice sémantique, syntaxique ou prosodique (parole artificielle créée par concaténation)  pabikutibudogolatudaropitibudodaropigolatu …  Cette séquence est crée de la manière suivante: on définit 4 « mots » pabiku, tibudo, golatu et daropi

11 Saffran et al. 1996; 1997; Aslin et al., 1998  pabikutibudogolatudaropitibudodaropigolatu …  Il y a 12 syllabes possibles. Chaque syllabe n’arrive que dans 1 des 4 « mots », et dans 1 seule position dans ce mot.  Donc la probabilité transitionnelle entre 2 syllabes successives « X » et « Y » à l’intérieur d’un mot était de 1 (fréquence de la paire XY / fréquence de X). Par contre la probabilité transitionnelle entre 2 syllabes successives qui apparaissaient à la jonction des mots était plus faible (par ex., 0.33)  On présente ces 4 mots dans un ordre aléatoire pendant 2 minutes, avec comme seule contrainte qu’un « mot » ne peut pas être immédiatement répété

12 Bébés de 8 mois (Saffran, Aslin & Newport, 1996) pabikutibudogolatudaropitibudodaropigolatupabiku pabikutibudogolatudaropitibudodaropigolatupabiku … présenté pendant 2 minutes Test: “mots” Contre “parties de-mots”, comme ‘tudaro” ou “pigola”, ou “non-mots” (ex., “tikupa”)

13 Bébés: procédure “headturn”

14 procédure Bébé assis dans les bras d’un parent « naïf » dans une chambre sourde et écoute les sons joués via haut-parleurs cachés derrière un rideau.Lampes clignotent pour attirer son attention, 1 face au bébé, 2 autres sur les côtés; 1 caméra vidéo filme et expérimentateur « naïf » regarde bébé sur moniteur à l’extérieur de la pièceBébé assis dans les bras d’un parent « naïf » dans une chambre sourde et écoute les sons joués via haut-parleurs cachés derrière un rideau.Lampes clignotent pour attirer son attention, 1 face au bébé, 2 autres sur les côtés; 1 caméra vidéo filme et expérimentateur « naïf » regarde bébé sur moniteur à l’extérieur de la pièce

15 procédure - familiarisation Lampe face au bébé clignote pour attirer son attention devant. Lorsqu’il la regarde, l’expérimentateur lance 1 essaiLampe face au bébé clignote pour attirer son attention devant. Lorsqu’il la regarde, l’expérimentateur lance 1 essai 3 minutes de familiarisation sans interruption, et au hasard une des lampes latérales commence à clignoter. Elle continue ou non à clignoter, en fonction de l’intérêt du bébé3 minutes de familiarisation sans interruption, et au hasard une des lampes latérales commence à clignoter. Elle continue ou non à clignoter, en fonction de l’intérêt du bébé

16 procédure -test Lampe face au bébé clignote pour attirer son attention devant. Lorsqu’il la regarde, l’expérimentateur lance 1 essai et une des lampes latérales commence à clignoter. Lorsque le bébé la regarde (30°) le son-test est envoyé et on commence à enregistrer le temps que l’enfant regarde dans cette direction. On répète ce son jusqu’à ce que le bébé dévie la tête pour + de 2 secondes (essai terminé). De cette manière, l’enfant contrôle combien de temps un son est présenté et on obtient une mesure de son attention pour ce son particulierLampe face au bébé clignote pour attirer son attention devant. Lorsqu’il la regarde, l’expérimentateur lance 1 essai et une des lampes latérales commence à clignoter. Lorsque le bébé la regarde (30°) le son-test est envoyé et on commence à enregistrer le temps que l’enfant regarde dans cette direction. On répète ce son jusqu’à ce que le bébé dévie la tête pour + de 2 secondes (essai terminé). De cette manière, l’enfant contrôle combien de temps un son est présenté et on obtient une mesure de son attention pour ce son particulier

17 Saffran, Aslin, & Newport, 1996 temps d’orientation du regard: on sait que les bébés préfèrent des stimuli nouveaux bébés préfèrent les sons les moins familiers (non-mots & parties de « mots ») aux « mots »

18 Bébés de 8 mois  ont donc déjà un mécanisme très puissant pour encoder les propriétés statistiques du langage ! P(Y/X) = fréquence XY / fréquence X

19 Aslin, Saffran et Newport, Science 1998 Mais si tous les 4 mots sont présentés le même nombre de fois, les séquences de syllabes qui forment ces mots n’auraient pas seulement des probabilités transitionnelles + élevées que les séquences trisyllabiques « parties de mots », mais seraient aussi entendues + fréquemment ensemble (par ex., Saffran et al., 1996; 1997)Mais si tous les 4 mots sont présentés le même nombre de fois, les séquences de syllabes qui forment ces mots n’auraient pas seulement des probabilités transitionnelles + élevées que les séquences trisyllabiques « parties de mots », mais seraient aussi entendues + fréquemment ensemble (par ex., Saffran et al., 1996; 1997) Et donc on ne sait pas si les bébés sont sensibles aux probabilités transitionnelles (qui reflète le caractère prédictible d’un évènement) ou la fréquence de cooccurrence des syllabes dans les séquences …Et donc on ne sait pas si les bébés sont sensibles aux probabilités transitionnelles (qui reflète le caractère prédictible d’un évènement) ou la fréquence de cooccurrence des syllabes dans les séquences …

20 Aslin, Saffran et Newport, Science 1998 Mais on peut égaliser les fréquences de syllabes à l’intérieur et entre mots, tout en maintenant une différence de probabilité transitionnelle si 2 des mots du langage arrivent plus souvent que les 2 autres.Mais on peut égaliser les fréquences de syllabes à l’intérieur et entre mots, tout en maintenant une différence de probabilité transitionnelle si 2 des mots du langage arrivent plus souvent que les 2 autres.  les séquences de syllabes entre mots fréquents arrivent avec une fréquence relativement élevée, tout en maintenant une différence de probabilité transitionnelle (1 vs. 0.50). pabikugolatudaropitibudodaropigolatu… pabikugolatudaropitibudodaropigolatu … Avec « pabiku » et « golatu » présentés chacun 45 x et « daropi » et « tibudo » présentés chacun90 x Test: “mots”: “pabiku”, “tibudo”Test: “mots”: “pabiku”, “tibudo” Ou “parties de-mots”, comme ‘tudaro” ou “pigola” Ou “parties de-mots”, comme ‘tudaro” ou “pigola”

21 Aslin, Saffran et Newport, Science 1998 3 minutes d’apprentissage …

22 Adultes Saffran, Newport & Aslin (1996); Pena babupubupadadutabapatubipidabututibu….babupubupadadutabapatubipidabututibu…. + de « mots » (6)+ de « mots » (6) Probabilités transitionnelles moins “caricaturales” que pour les bébés, et donc + proches des langues naturellesProbabilités transitionnelles moins “caricaturales” que pour les bébés, et donc + proches des langues naturelles Test différent: choix forcé: lequel sonne le + comme un mot ? (mot contre partie de mot) Ok mais temps d’apprentissage + long (21 minutes)Test différent: choix forcé: lequel sonne le + comme un mot ? (mot contre partie de mot) Ok mais temps d’apprentissage + long (21 minutes) Pena: avec un langage artificiel qui sonne plus “français” aussi ….Pena: avec un langage artificiel qui sonne plus “français” aussi ….

23 Et probabilités transitionnelles utilisées avec des stimuli “musicaux” aussi “traduction” des stimuli utilisés dans les expériences antérieures: 1 syllabe --> 1 note“traduction” des stimuli utilisés dans les expériences antérieures: 1 syllabe --> 1 note ex « bu » devient D, « pa » devient F, « da » devient E ex « bu » devient D, « pa » devient F, « da » devient E Pas de structure musicale, pas de fragments paradigmatiques (pas de triade majeure ou mineure), pas de série de 3 notes familièresPas de structure musicale, pas de fragments paradigmatiques (pas de triade majeure ou mineure), pas de série de 3 notes familières RéFaMiFaDoFa#DoDo#RéRé#MiRéSolSol#LaRéFaMiFaDoFa#DoDo#RéRé#MiRéSolSol#La

24 Saffran, Johnson, Aslin, & Newport, 1999 temps d’orientation du regard Bébés de 8 mois préfèrent les séquences de sons non familières

25 Tillman & McAdams (2004) Séquences de timbres (33 min)Séquences de timbres (33 min) Trompette, cor, trombonne, harpe, vibraphone, striano, harpe, basson …Trompette, cor, trombonne, harpe, vibraphone, striano, harpe, basson … Manipulation de la similitude acoustique des timbresManipulation de la similitude acoustique des timbres Groupement sur base de cette similitude (cf principes de la Gestalt) coincidait, était neutre ou contredisait les probabilités transitionnelles en termes de groupementGroupement sur base de cette similitude (cf principes de la Gestalt) coincidait, était neutre ou contredisait les probabilités transitionnelles en termes de groupement Pas d’influence de ce facteurPas d’influence de ce facteur


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