La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Redynamiser la politique linguistique du Québec Allocution de monsieur Robert Vézina, président du Conseil supérieur de la langue française, présentée.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Redynamiser la politique linguistique du Québec Allocution de monsieur Robert Vézina, président du Conseil supérieur de la langue française, présentée."— Transcription de la présentation:

1 Redynamiser la politique linguistique du Québec Allocution de monsieur Robert Vézina, président du Conseil supérieur de la langue française, présentée le jeudi 21 mars lors de la Rencontre annuelle sur la francisation des milieux de travail organisée par la CSN.

2 Dans l’ensemble du Québec, l’usage du français comme langue générale du travail (employée 90 % et plus du temps) a progressé de 1971 à 1989, pour ensuite diminuer jusqu’en 2010, mais en se maintenant à un niveau un peu plus élevé qu’en 1971. Pourcentage de la main-d’œuvre des entreprises privées travaillant généralement en français (90 % ou plus du temps) par lieu de résidence et par année

3 Dans l’ensemble du Québec, entre 1997 et 2010, la proportion de ceux qui emploient généralement le français (90 % et plus du temps) dans les conversations à caractère professionnel avec leurs subordonnés a diminué, passant de 78 % à 71 %. Chez les personnes résidant dans la RMR de Montréal, la proportion de ceux qui emploient généralement le français dans les conversations à caractère professionnel avec leurs collègues a diminué, passant de 64 % à 57 %. Dans le cas des conversations avec leurs subordonnés, la proportion a aussi baissé, passant de 64 % à 54 %. Travailleurs des entreprises privées

4 Pour l’ensemble du Québec, on observe, entre 1997 et 2010, une diminution de la proportion de ceux qui utilisent généralement le français pour la rédaction de documents internes (90 % et plus des documents). Elle passe de 67 % à 59 %. Travailleurs des entreprises privées (suite)

5 En 1989, 82 % des travailleurs francophones du Québec travaillaient généralement en français. Cette proportion a diminué pour atteindre 74 % en 2010. Pour la même période, mais chez les travailleurs allophones, cette proportion a augmenté, passant de 29 % en 1989 à 36 % en 2010. La proportion des travailleurs anglophones utilisant généralement le français au travail est restée plutôt stable entre 1989 et 2010, et se situait à 18 % en 2010. Situation des travailleurs selon la langue maternelle

6 En 2006, 77 % des immigrants nés dans des pays de tradition anglaise utilisaient principalement l’anglais au travail. Toujours en 2006, 73 % des immigrants nés dans un pays de tradition française utilisaient principalement le français au travail. Situation des travailleurs allophones selon l’origine

7 Renforcer la cohésion sociale de la collectivité québécoise autour du français, langue commune. Première grande orientation L’égalité d’accès pour tous les Québécois aux ressources communes que constituent le travail et l’éducation L’insertion des immigrants dans les réseaux sociaux L’appartenance au milieu

8 Réaffirmer la place centrale du français au cœur de nos ambitions collectives. Deuxième grande orientation Responsabiliser les institutions, les entreprises et les citoyens sur le vouloir-vivre en français. Troisième grande orientation

9 La francisation des immigrants et leur insertion sociale dans les réseaux francophones de travail et de la société civile La maîtrise du français par tous les Québécois L’exemplarité et le rôle moteur de l’Administration et du secteur public Le français, langue du travail Quatre domaines prioritaires d’action

10 Le pourcentage de ces employés travaillant généralement en français a diminué, passant de 45 % en 1989, à 41 % en 1997 et à 32 % en 2010. En même temps, la proportion de ceux qui travaillent occasionnellement en français (moins de 50 % du temps) a augmenté, passant de 22 % à 32 %. En 2010, pour la main-d’œuvre résidant sur l’île de Montréal, il n’y a pas de différences significatives quant à l’utilisation du français entre les travailleurs des entreprises de moins de 50 employés et ceux des entreprises de 50 employés et plus. Travailleurs des entreprises privées résidant sur l’île de Montréal

11 Le Conseil recommande que les entreprises qui emploient de 25 à 49 personnes soient soumises à une démarche de francisation obligatoire, sous la responsabilité de l’Office québécois de la langue française, selon une formule allégée et souple. Recommandations

12 Recommandations (suite) Le Conseil recommande de maintenir les processus de certification prévus pour les entreprises qui emploient 50 personnes et plus, et de mieux encadrer les comités paritaires de francisation pour accroître l’usage du français dans l’entreprise. Le Conseil propose que des actions complémentaires à la certification soient entreprises. À cet égard, il recommande que les directions d’entreprises qui emploient 50 personnes et plus soient incitées par l’Office québécois de la langue française à inclure dans leur planification stratégique des objectifs de mise en priorité de l’usage du français, de formation en français et de gestion des langues.

13 Le français, langue commune au Québec! Merci!


Télécharger ppt "Redynamiser la politique linguistique du Québec Allocution de monsieur Robert Vézina, président du Conseil supérieur de la langue française, présentée."

Présentations similaires


Annonces Google