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Publié parFabrice Desjardins Modifié depuis plus de 8 années
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Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1 Des réseaux lents contre la dépendance automobile ? Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1
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1.Etalement urbain et dépendance automobile : deux externalités négatives du type d’accessibilité fournie par les réseaux routiers actuels = leur métrique 2. Existe-t-il d’autre(s) métrique(s) sans ces externalités ? Le concept de métrique lente Plan
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Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1 Un constat l’efficacité des réseaux routiers croît avec la portée des déplacements : plus on va loin plus on va vite NB : efficacité d’un trajet = distance à vol d’oiseau / durée du trajet
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Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1 Surface accessible au départ d’Avignon centre Relativement au rapport Nombre d’opportunités / Temps de transport on a « tout intérêt » à rester le plus longtemps possible sur le réseau routier Chaque seconde de plus passée sur un réseau apporte un « surgain » d’accessibilité par rapport à la seconde précédente Conséquences
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Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1 Métrique rapide et partage modal : La « métrique rapide » n’est valable que pour l’automobile. La supériorité de la voiture est inscrite dans la conception des réseaux. Quelle concurrence modale possible ? Comment construire des réseaux avec une métrique qui intrinsèquement freine l’étalement urbain et la dépendance automobile : « les réseaux lents » Métrique rapide et étalement urbain : Le rapport temps de déplacement / opportunités pousse à l’allongement des trajets ie l’étalement Comment tendre vers la densification, la ville des courtes distances etc. si la métrique des réseaux pousse à la distanciation ? Conséquences
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Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1 Diminuer ou homogénéiser les vitesses ne suffit pas
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Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1 Le principe de la métrique lente Si il y a une relation de puissance entre la taille des paquets de mines et leur nombre, la probabilité d’avoir à faire un grand détour augmente avec la portée des trajets L’efficacité est donc plus forte pour les petits trajets
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Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1 Les « réseaux lents » : une relation hyperbolique entre la durée des « stops » et leur nombre Métrique lente : ce n’est pas seulement aller moins vite mais inverser les rapports d’efficacité des trajets : on peut avoir des réseaux lents rapides !
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Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1 Ce qu’on peut attendre des réseaux lents : - laisser une chance à la concurrence modale dans la conception des réseaux - un moyen de tendre vers la ville des courtes distances moins dépendante de l’automobile Reste à : - Maîtriser le calibrage de la métrique lente - Connaître l’effet de la métrique lente en termes de fluidité
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Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1 Des réseaux lents contre la dépendance automobile ? Lyon, 26 avril 2007, Cyrille Genre-Grandpierre, UMR ESPACE, Université d’Avignon, GO1
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