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Chapitre 4 Les voies de communications inter cellulaires Le système nerveux Partie 2.

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1 Chapitre 4 Les voies de communications inter cellulaires Le système nerveux Partie 2

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6 stimulation nerf vague réponse cœur 2

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8 Na+ Ca 2+ dépolarisation NM

9 NMNM +

10 NMNM NMNM

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14 Aïe ! Voie sensitive Muscles fléchisseurs Muscles extenseurs Muscles fléchisseurs Muscles extenseurs Le réflexe est géré uniquement par la moelle épinière. Le cerveau ne participe pas à la gestions des muscles effecteurs (la douleur n’est perçue qu’après l’acte reflexe). PLAN 36

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17 E (en mV) t (en ms)

18 Voie sensitive Voie cardio- modératrice Voie cardio- accélératrice

19 La codéine est également un dérivé de l’opium.:

20 L'héroïne provoque très rapidement l'apaisement, l'euphorie et une sensation d'extase. Cet effet immédiat de plaisir intense est suivi d'une sensation de somnolence, accompagnée parfois de nausées, de vertiges et d'un ralentissement du rythme cardiaque. L'héroïne agit ponctuellement comme anxiolytique puissant et comme antidépresseur. - Injection intraveineuse - Inhalation (chauffée elle dégage des vapeurs) - Sniffée - Fumée

21 Il existe un équilibre entre l’activité des centres de récompense (plaisir) et ceux de la douleur. Système nerveux nociceptif. (douleurs physique) Système nerveux central. (dépression)

22 PA Récepteur aux enképhalines

23 Quand l'usage se répète, la tolérance au produit s'installe et le plaisir intense des premières consommations diminue. En quelques semaines, le consommateur ressent le besoin d'augmenter la quantité et la fréquence des prises. La vie quotidienne tourne autour de la consommation du produit. La dépendance s'installe rapidement dans la majorité des cas. L'héroïnomane oscille alors entre des états de soulagement euphoriques (lorsqu'il est sous l'effet de l'héroïne) et des états de manque qui provoquent anxiété et agitation. La dépendance à l'héroïne entraîne presque toujours des risques importants de marginalisation sociale. Des troubles apparaissent très vite, dont l'anorexie et l'insomnie.

24 PA Récepteur aux enképhalines

25 La surdose (ou overdose) à l'héroïne provoque une dépression respiratoire souvent mortelle. Généralement provoquée par une consommation importante de produit, elle peut aussi survenir avec des doses relativement faibles, notamment lors d'une reprise de consommation après une période d'abstinence. D'autre part, la pratique de l'injection expose à des infections locales (abcès) lorsqu'une bonne hygiène n'est pas respectée. Surtout, la mise en commun du matériel d'injection et des autres objets de préparation expose à un risque très élevé d'être contaminé par le virus du sida (VIH) ou de l'hépatite C. C'est pour enrayer le phénomène de contamination qu'a été mise en place à partir de 1987 une politique de réduction des risques.

26 - Sevrage (10 j) - Postcure (6 mois) Fort pourcentage de rechute produit de substitution (méthadone, Subutex (buprénorphine) -----> même comportement que la morphine sans effets stupéfiant - évite l’effet de manque sans effet de plaisir - grande dépendance au médicament

27 Feuille de coca + eau Filtrat filtration + chaux + kérosène + H 2 SO 4 Cocaïne

28 La cocaïne provoque une sensation d’euphorie (flash) et un sentiment de puissance intellectuelle et physique. Elle produit une désensibilisation à la douleur et à la faim. Elle peut être à l’origine d’hallucinations et de délire. - Injection intraveineuse - Inhalation (chauffée elle dégage des vapeurs) - Sniffée Ces effets durent 1 heure. Ils cèdent la place à un état dépressif et anxieux (descente) passage sang au niveau des fosses nasales provoque des problèmes hypophysaires. pB cardiaques

29 L’action de la dopamine est régulée par recaptage pre-synaptique La cocaïne inhibe le transporteur La dopamine reste plus longtemps dans l’espace synaptique et stimule les récepteurs. La réponse est plus longue et intense.

30 panique, paranoïa, hallucinations,... A cause de son mode d’action, la cocaïne n’induit pas de dépendance physique. Elle provoque une grande dépendance psychique. transmissions virales (même sniffée), infections pulmonaires (tuberculose), arrêt respiratoire (overdose). Perte des inhibitions (pouvant entraîner un comportement violent). Si elle est coupée avec du levamisole (antiparasitaire) elle peut provoquer un purpura (lésion hémorragique des muqueuses) et conduire à la gangrène. Il n’existe pas de traitement efficace de désintoxication !

31 C’est un dérivé de la cocaïne: Mêmes effets que la cocaïne, mais plus violents, rapides et brefs. Ils durent en moyenne 2 minutes. Accidents cardio-vasculaires, détresse respiratoire, crises épileptiques. On décrit 25% de cas de douleurs abdominales brutales et violentes durant plusieurs heures. Le crack entraîne également une malnutrition (perte d’appétit et recherche exclusive de drogue) avec perte de poids (88%) chute des dents et des cheveux (par manque d’hygiène). L’usage régulier entraîne des hallucinations et des états psychotique paranoïaque voire suicidaire. On fait fondre un cristal dans une pipe et on inspire les vapeur.

32 On ne constate pas de dépendance physique, mais la dépendance psychique s’installe rapidement. En effet, l’envie d’en reprendre est très forte car le sevrage entraîne un état dépressif et anxieux. Ce sont des antidépresseurs. Ils ont des effets euphoriques. A long terme ils sont responsables de perte de mémoire et de capacité de jugement, de dépression, d’épuisement chronique pouvant aboutir à la paranoïa et à des idées suicidaires. Ce sont des stimulants des médullo-surrénales. Elles augmentent la sécrétion d’adrénaline. Elles diminuent la sensation de fatigue, donnent une sensation d’euphorie et d’augmentation de l’activité intellectuelle. Elles augmentent la confiance en soi.

33 MDMA (3,4-méthylène-dioxy-methamphétamine) est un dérive des amphétamines. Il donne une sensation d’énergie et de bien-être. Il peut provoquer des crampes et des hallucinations. Il modifie les perceptions sensorielles (augmentation et distorsion des couleurs, des sons et des odeurs). Cependant, les effets sont très aléatoires d’une prise sur l’autre (allant de l’extase à la terreur pure). Il existe un risque de « flash-back »: les effets se manifestent de façon intempestive des semaines ou des mois après la prise. Pendant 3 à 4 jours après la prise, on constate un état d’angoisse et de dépression. Il est nécessaire de marquer une pause d’un mois entre chaque prise d’ecstasy pour limiter ces effets. A long terme cette drogue est nuisible pour le foie (cirrhose) et provoque des dégénérescences des cellules nerveuses (Alzheimer).

34 synthèse: L’éthanol est issu de la fermentation du sucre. effets recherchés: - 1 ère phase: détente, euphorie, désinhibition, ivresse... - 2 ème phase: apaisement, endormissement... - calmer son anxiété et son stress - moins déprimer - « oublier » les soucis quotidiens...

35 Effets secondaires: Diminution de l’attention, baisse des réflexes et ralentissements du temps de réaction. Dépendance:Dépendance forte (alcoolisme). -----> accoutumance -----> syndrome de manque Altérations des perceptions, nausées et vomissements, confusion mentale (amnésie temporaire et troubles du comportement). Le lendemain: « gueule de bois ». delirium tremens épisode de délire (hallucinations, troubles de la mémoire, épilepsie, convulsions,...)

36 mécanisme d’action: L’alcool agit directement sur la perméabilité membranaire. Il modifie les échanges intermembranaires. Il se fixe sur certains récepteurs de neuromédiateur (Acétylcholine, sérotonine, GABA,...) GABA permet l’entrée de Cl- dans la cellule post-synaptique et provoque une hyperpolarisation qui inhibe l’activité du neurone. La présence d’alcool amplifie ce phénomène et rend les neurones moins excitables. La sérotonine agit comme régulateur de l’humeur, de la faim et du sommeil. L’alcool amplifie son action et coupe l’appétit, favorise l’endormissement et rend de bonne humeur (ou pas...).

37 Overdose:On parle de surdosage lorsque l’alcoolémie dépasse 2 g.L -1. A 5 g.L -1, 50% des personnes meurent. Les symptômes sont: - engourdissement général + état de stupeur - transpiration abondante - perte de coordination des mouvements - endormissement profond ou perte de connaissance (avec perte du tonus musculaire ou hypotonie) - hypothermie - ralentissement ou arrêt respiratoire Conduite à tenir: - Ne pas hésiter à intervenir si une personne dépasse les limites de consommation - Appeler les secours aux premiers signes d’overdose. En attendant, mettre l’individu en position latérale de sécurité et le couvrir pour éviter l’hypothermie. 30 000 morts par overdose en 2001 soit 5,6 % des décès. Amy Whinehouse, overdose 23 juillet 2011 « stop-and-go » Consommer une forte quantité d’alcool après une période de sevrage. L’organisme sevré possède une moins grande résistance à l’alcool (inverse de l’accoutumance). La dose d’alcool tolérée pendant la période de consommation devient mortelle après sevrage.

38 Ils ont essayé de s’en sortir avec plus ou moins de succès...

39 Présentation: Les feuilles contiennent un alcaloïde, le THC (TétrahydroCanabinol) - Feuille = marijuana ou « herbe » 1-10% de THC - Résine= haschisch ou « shit » 5-15 % de THC - Huile = liquide gras et onctueux 60-80% de THC Effets recherchés: Relaxation, euphorie légère, impression de « planer », désinhibition,

40 Mode d’action: On connait mal l’action du THC. il se fixe sur des récepteurs spécifiques du SNC (système limbique). Ceux-ci interviennent dans le contrôle de la douleur, de la mémoire et de la coordination motrice. Il agirait également dans la régulation des émotions. Dépendance: Pas de dépendance physique. Dépendance psychique difficile à évaluer. Le THC favorise la sécrétion de dopamine (système de récompense). A peu près 5-10% des sujets développent une dépendance très forte.

41 Effets secondaires: Diminutions des facultés psychomotrices et mnésiques. Le THC se stocke dans les graisses et les cellules du cerveau. Ses effets peuvent se poursuivre 24 h après consommation. Baisse de l’attention, de la concentration, modification de la motricité et la coordination, difficultés d’appréciation de situations délicates,...

42 Mode d’action: La nicotine se fixe sur certain récepteurs à acétylcholine (récepteur nicotinique). Ceux-ci sont nombreux dans le système nerveux autonome, les plaques motrices et le système dopaminergique (récompense). Dépendance: Dépendance physique importante. Dépendance psychique également importante. Quelques cigarettes (moins d’un paquet) suffit. La nicotine est une substance toxique. La LD50 50 mg.kg -1 chez le rat. Une goutte de solution pure de nicotine peut tuer un chien. La désintoxication dure des années. On est pas libéré du tabac avant 10 ans d’arrêt total. la moindre rechute remet les compteurs à zéro !

43 Toxicité: La nicotine n’est pas le seul facteur toxique de la cigarette.

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45 Le cacao contient des enképhalines, l’hormone du plaisir. Il contient du magnésium qui est un excellent anti-dépresseur. Attention aux additifs (lécithine, sucre, graisses,…) Sa consommation est addictive: esayez donc d’arrêter lorque vous êtes un grand (gros ?) consommateur.

46 Parler de drogue pour du sucre ? Le sucre est indispensable à la vie. Il n’est pas question de s’en priver. Son abus provoque des maladies graves (diabète de type II), obésité,... Son action sur l’organisme est addictif. ---> L’industrie agro-alimentaire l’a bien compris: tous les aliments préparés sont enrichis en sucre pour augmenter la consommation et fidéliser la clientèle. La consommation excessive de sucre est devenue un véritable problème de santé publique.

47 C’est facile de dire, « J’arrête quand je veux »: c’est le truc le plus difficile que j’ai jamais fait ! Et nous sommes toujours des drogués. Je suis toujours un alcoolo. la différence, c’est qu’aujourd’hui, je ne pratique plus. -- Stephen Tyler, Aerosmith. La réalité c’est l’illusion créée par l’absence de drogue. -- Richard Desjardin, compositeur québéquois. On se shooterait à la vitamine C si cela avait été illégal. -- Dany Boyle, Trainspotting. C’est plus facile de tomber dans la drogue que d’affronter la vie, plus facile de piquer ce que vous avez envie que d’essayer de la gagner, plus facile de battre un enfant que de l’élever. -- David Fincher, Seven. Drogué: individu coupé de la société, car la came isole. -- Marc Escayrol, Mots et grumots. Les drogues nous ennuient avec leurs paradis. Qu’elles nous donnent plutôt un peu de savoir. -- Henry Michaux, Connaissance par les gouffres. Il est des expériences que l’on ne tente pas, comme la mort ou les drogues.. Sex, drugs and rock n’roll... Enlevez la drogue et vous aurez plus de temps pour les deux autres. -- Stephen Tyler, Aerosmith


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