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L’ATPC/CLTS à Madagascar

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Présentation au sujet: "L’ATPC/CLTS à Madagascar"— Transcription de la présentation:

1 L’ATPC/CLTS à Madagascar

2 Lancement de l’ATPC/CLTS à Madagascar

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4 E-Conférence sur l’ATPC/CLTS du 22 au 24 juin 2009

5 Conclusions et recommandations des conférences par les 22,23,24 juin 2009 et de la conférence d’échanges du 25 juin 2009, sur le CLTS Il faut que la totalité des ménages de la commune acceptent d’acquérir une latrine, mais aussi de construire et utiliser effectivement cette latrine ; Des mesures doivent être mises en œuvre pour permettre à toutes les familles de pouvoir concrétiser les constructions des latrines (encadrement technique, mise en contact avec les matériels nécessaires comme les dalles et les buses, accès à des prestataires de services pour le creusement de fosses ou l’installation des dalles) il faut prendre en compte le principe « volonté et capacité de payer » des ménages le Clts et les principes wash doivent être complémentaires, notamment pour l’évolution dans l’échelle du type de latrine il faut mettre en œuvre des mesures pour qu’il y ait protection des nappes contre les pollutions, éviter les découragements qui pourraient surgir d’échecs techniques comme les éboulements des fosses

6 Conclusions et recommandations des conférences par les 22,23,24 juin 2009 et de la conférence d’échanges du 25 juin 2009, sur le CLTS les étapes à suivre sont : le partage d’informations, la formation des facilitateurs, les campagnes d’éducations sanitaires et de mobilisation communautaire selon le passage à l’échelle, la mise en place des petits opérateurs pouvant fournir les dalles et les buses pouvant être des prestataires de service de creusement des fosses et d’installation des dalles, le suivi-évaluation Les activités de CLTS doivent être entreprises par des « facilitateurs formés » ; il faut donc mettre en œuvre un programme de formation le pourcentage de ménage ne disposant pas de latrine est actuellement de 48%. Il faut amener ce taux vers 0%, en commençant par les régions où les pourcentages de ménages sans latrines, (qui sont connus par régions selon EPM 2005) sont les plus élevés. Les latrines publiques sont nécessaires et il faut continuer à les développer mais il faut poursuivre les discussions au niveau de la nomenclature pour la comptabilisation dans les taux d’accès notamment de voir ce qui peut être adopté avec le JMP le système de suivi et les outils de suivi seront basés sur le fichier excel mis au point par Unicef et Hip.

7 *groupe « passage à l’échelle », dirigé par Water Aid, Vohary Salama
Conclusions et recommandations des conférences par les 22,23,24 juin 2009 et de la conférence d’échanges du 25 juin 2009, sur le CLTS Il faut maintenant passer à l’action et pour cela 3 groupes de travail ont été mis en place : * groupe « partage d’informations avec les 16 Comité Régional Wash », dirigé par l’Association Miarintsoa *groupe « passage à l’échelle », dirigé par Water Aid, Vohary Salama *groupe « suivi-évaluation », dirigé par Unicef et Hip

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9 Le FAA (Fonds d’Appui pour l’Assainissement )

10 FAA: Stratégies de mise en oeuvre
Viser un impact à l’échelle nationale Mettre en œuvre des programmes régionaux Renforcer les projets existants (subventions d’appuis) Favoriser une extension progressive de la promotion de l’assainissement et de l’hygiène au-delà des zones d’interventions directement financées par le FAA

11 FAA: projets financés Programmes régionaux (08 projets régionaux sur 5 années) Promotion de l’assainissement et de l’hygiène à l’échelle d’une région Vision: Toutes les communes deviennent SDAL Toutes les autorités locales ont le budget et la capacité nécessaires pour poursuivre d’une manière durable dans le temps le soutien et développement des actions liées à l’assainissement et l’hygiène Toutes les communes bénéficient de la présence d’un secteur privé capable de répondre à la demande pour l’amélioration constante de l’assainissement Subventions de montant et durée importants ( USD-3 à 4 ans)

12 FAA: projets financés Subventions d’appuis (50 projets sur 5 années )
Apport d’un soutien financier permettant de compléter ou étendre des programmes existants Combler des lacunes programmatiques et/ou géographiques Subventions de montant et durée modestes ( USD-2 ans) Actions transversales destinées à soutenir le bon déroulement de l’ensemble des activités Engagées directement par l’Agence d’Exécution selon les directives du Mécanisme de Coordination

13 FAA: Recommandations du Dr Kamal Kar à l’issu de sa mission à Madagascar du 17 Novembre au 3 Décembre 2011 Les recommandations de Kamal Kar ont été présentées, dans le but de voir comment instaurer la coordination et l’harmonisation des activités CLTS des acteurs concernés. Elles constituent des instructions pour les institutions, les facilitateurs, les entités ministérielles, les collectivités territoriales décentralisées, les premiers responsables locaux. Elles conviennent à la situation actuelle, à la mise à l’échelle de l’approche, aux contraintes constatées durant la mise en œuvre des activités, à la certification et à la labellisation des villages ODF (Open Defecation Free), et aux suivi et accompagnement après ODF.

14 Points mis en exergue lors de l’analyse du rapport de Kamal Kar durant l’atelier CLTS 
Le renforcement de la communication institutionnelle ; La réalisation de reportages de 5mn à 10mn pour les décideurs (comme outil de plaidoyer) ; La coordination des intervenants en CLTS ; L’allégement de la structuration pour la certification des hameaux ODF ; Le renforcement de la capitalisation et de la documentation des acquis des images sur terrains lors des réunions périodiques relatives au CLTS ; La détermination des outils de suivi simples ; L’implication des Autorités locales et les villageois ; La détection des impacts sanitaires et environnementaux ; L’accompagnement de l’auto construction ; L’analyse de la différence entre le nombre de villages concernés et les ODF après ; La mise à l’échelle sur le leader naturel, le CLTS villages laboratoires ou écoles, et le consultant communautaire.

15 Madagascar SANDAL 2018 Madagascar SANDAL est une campagne nationale initiée par la Direction Générale du Ministère de l’Eau, l’UNICEF et autres partenaires travaillant dans le domaine de l’eau et de l’assainissement souhaitant améliorer la santé communautaire et renforcer les activités déjà menées dans ce cadre à Madagascar (CLTS), à travers l’éradication de la défécation à l’air libre (SANDAL) d’ici 2018.

16 Actions stratégiques du programme SANDAL
Identifier les organisations ou associations désireuses de s’impliquer dans le programme SANDAL et les mettre en contact avec d’autres entités réputées pour leurs bonne pratiques et organiser une formation pratique Financer le passage à l’échelle de CLTS dans les régions, dans les districts et communautés avec la promotion à l’hygiène. Renforcer l’échange d’information, la communication et le renforcement des capacités des acteurs et le suivi évaluation des interventions des acteurs impliqués. Développer des synergies avec les programmes et projets en cours pour un meilleur suivi évaluation des interventions. Développer des partenariats stratégiques entre les acteurs du secteur eau et assainissement dans tout le pays dans un objectif global de mettre fin la défécation à l’air libre d’ici 2018

17 Madagascar SANDAL Objectif général
L’objectif général de ce programme est de réduire d’une manière considérable le taux défécation à l’air libre de 36%en 2008 à moins de 1% en 2018. Objectifs spécifiques 1-Identifier les ONGs et acteurs capable de mettre à l’échelle le SANDAL dans les 22 régions de Madagascar 2- Plus de 6'000'000 de personnes arrêtent la défécation a l’air libre et ont accès aux infrastructures d’assainissement de base dans les 22 régions 3- Au moins 50 ONGs et acteurs de développement sont formes par région pour la promotion de l’assainissement 4- Un pool de gestion de connaissance est créé au niveau des régions et à Tana pour le renforcement des capacités des acteurs. 5- Le paquet de communication et d’information des acteurs, ainsi que les divers canaux de sensibilisation (mobilisation des leaders traditionnels, les organes et autres entités) sont développés pour réduire la défécation à l’air libre.

18 Madagascar SANDAL En 2015 Le taux de défécation a l’air libre passe de 36% à % soient 3, 975, 000 personnes additionnelles ne pratiquent plus la défécation à l’air libre. En 2018 Moins de 1% de la population ne pratique plus la défécation à l’air libre soient 5, personnes additionnelles ne pratiquent plus la défécation

19 Recommandations de l’AG de Diorano-Wash concernant le CLTS:21 et 22 février 2012
Au niveau des institutions, bailleurs de fond • Renforcer la Communication institutionnelle • Améliorer la coordination et l’harmonisation des interventions • Renforcer la documentation et la capitalisation des acquis. • Création d’un site web de CLTS Madagascar

20 Recommandations de l’AG de Diorano-Wash concernant le CLTS:21 et 22 février 2012
• Harmoniser les approches et les interventions • Accompagner la communauté dans la construction des latrines • Faciliter l’accès aux matériaux de construction de latrine (détaxation des équipements sanitaires pour diminuer le coût et favoriser les plus démunis) • Ne pas accorder de siège aux intervenants sans savoir le processus de mise en œuvre de leurs interventions (du début jusqu’à la fin)

21 Recommandations de l’AG de Diorano-Wash concernant le CLTS:21 et 22 février 2012
Au niveau des agents de mise en œuvre / Communes : • Plaidoyer au niveau des autorités traditionnelles (visibilité, prise de décision, marketing) • Application de l’arrêtée municipale sur l’autorisation de construire qui exigent la construction de latrine • Bien suivre les différentes étapes et processus de la mise en œuvre du CLTS • Il faut bien analyser le moment opportun de l’application de DINAM-PARITRA au cours du processus • Renforcer le plaidoyer sur l’implication des Tangalamena et d’autres chefs traditionnels avant de lancer le projet • Pérennisation de l’ODF (système de récompense pour la communauté et suivi évaluation obligatoire)

22 Recommandations de l’AG de Diorano-Wash concernant le CLTS:21 et 22 février 2012
• Commencer l’accompagnement juste après l’établissement du plan d’action communautaire • Distribuer des documents CLTS • Organiser des ateliers de partage et d’échange des acteurs • Alléger le processus de vérification de village ODF • Certification de village ODF par d’autres villages voisins et, ou la, structure locale existante

23 Recommandations de l’AG de Diorano-Wash concernant le CLTS:21 et 22 février 2012
• Impliquer les autorités locales (FKT, commune, District) dans la certification et labellisation • Organiser des visites d’échange entre les villages ODF et non ODF et entre les leaders naturels Au niveau facilitateurs • Améliorer la qualité de formation des facilitateurs locaux • Mettre à jour tous les outils CLTS existants (curriculum de formation, fiches de suivi,certification et labellisation) • Respecter les étapes de l’approche CLTS

24 Atelier National sur l’Approche CLTS du 11 au 12 Avril 2012 au Panorama-Andrainarivo
En concrétisation de la recommandation émise lors de l’AG pour assurer la coordination et l’harmonisation de la mise en œuvre du CLTS, le Ministère de l’Eau a organisé un atelier CLTS, en partenariat avec le F.A.A (Fond d’Appui pour l’Assainissement), l’UNICEF et WaterAid Madagascar.

25 Recommandations de l’atelier
Voir la présentation en power point sur les recommandations de l’atelier (fichiers recommandations générales sur les outils CLTS )

26 Recommandations de l’atelier
Méthode de facilitation  Activités de suivi et de réalisation vers ODF par la structure communautaire et l’agence de mise en œuvre pour arriver à ODF Valorisation des Leader naturels RDC et dynamisme de la structure locale communautaire pour la pérennisation Connaissances des us et coutumes et maîtrise des dialectes des régions Maitrise du processus de déclenchement

27 Recommandations de l’atelier
Guide technique CLTS et certification Faire la certification suivant la demande de la communauté mais en respectant la période de certification officielle (12 mois), Minimum d’élément pour l’outil de suivi afin d’avoir l’harmonisation des résultats. Renforcer les équipes de vérification en termes de CLTS Représentant Commune et/ ou District, Région  CSB, ZAP, CRDW, Direction régionale de l’Eau Bailleurs, Partenaire de mise en œuvre (assistance).

28 Recommandations de l’atelier
Prochaines étapes RDC des équipes des 3 Ministères (Eau, Santé et Education) et les CRDW des 22 régions, Rapportage sur l’atelier du 11 et 12 avril 2012, Rapprochement des idées sur le CLTS

29 Recommandations suite à la mission de Morondava 2 Mai 2012
Renforcement au niveau objectifs: Pérennisation Intégration Passage à l’échelle Stratégie de mise en oeuvre Il faut: - concrétiser la décentralisation -s’appuyer sur les compétences locales -confier le pilotage des actions aux DDR, CRDWs et dir Mineau


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