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Publié parPauline Ribeiro Modifié depuis plus de 10 années
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Cadrage socio économique de l’aire de projets de la plaine du Jura
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21 % du territoire FC et 16 % de la population
L’aire de projets = 21 % du territoire FC et 16 % de la population peu peuplée, densité très faible dans le Revermont habitants (Insee 1er janv 02) principales villes : Dole : habitants en 2005, Lons : hbts Poligny : hbts
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Les aires de projets : un découpage utilisé par le Conseil régional qui s’appuie sur les zones d’emploi. 5 aires de projets en FC Aire de projets de la plaine du Jura : il s’agit des ZE de Dole, Lons le Saunier et du Revermont - Très faible densité de population dans la ZE du revermont : 38 habitants/km2 contre 69 en moyenne pour la région 3
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Très faible augmentation de la population
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Population jurassienne plus âgée qui vieillit
- 30% de la population a moins de 25 ans 38% 50 ans et plus Vieillissement marqué : 28% de la population serait âgée de 65 ans et plus en 2030 (25% FC et 24% France) 5
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- Département , avec la Haute-Saône, marqué par plus faible part de jeunes et la plus forte part de 50 ans et plus. Vieillissement de la population du Jura plus marquée qu’au plan régional : 28% de la population atteindrait 65 ans et plus en 2030 contre 19% en 2006 - Seul département avec la Haute-Saône pour lequel, en 2030, la part des jeunes serait plus faible que la part des 65 ans et plus. 6
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Dans cette tranche d’âge, les jeunes sont confrontés :
La Franche-Comté perd une partie de ses jeunes mais de façon moins marquée que par le passé Entre 2000 et 2005, jeunes de 20 à 29 ans sont arrivés et sont partis soit un solde annuel défavorable de 950 jeunes par an Source Insee : RP et ELP 2004 à 2006 Dans cette tranche d’âge, les jeunes sont confrontés : - aux poursuites d’études - aux 1ers stages en entreprise - à la primo insertion Pour conserver ces jeunes : des conditions nécessaires -mais pas toujours suffisantes : - maintenir une offre de formation attractive, - des entreprises qui accueillent des stagiaires 7
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La situation reste préoccupante même si en 10 ans la situation s’est améliorée puisque la région perdait 1100 jeunes/an. Cette tranche d’âge correspond à la poursuite des études, aux 1ers stages et à la primo insertion. Pour garder les jeunes, des conditions nécessaires mais pas suffisantes : importance de maintenir une offre de formation attractive, notamment en post bac. des entreprises dynamiques qui n’hésitent pas à accueillir jeunes en stage. Les stages en entreprises sont souvent suivis du premier contrat de travail. Donc si les stages ont lieu hors région, l’insertion à de fortes chances de se faire hors FC. 8
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70 755 emplois fin 2005 le statut de salarié concentre 90% des emplois
plus d’emploi dans la construction et moins dans l’industrie des différences au sein de l’AP : ZE Lons plus «construction» ZE Revermont plus «agriculture» et plus «construction» volume de l’emploi salarié progresse de 7% entre 98 et 2005 (contre +5,6% en région et 8,7% France) Parmi les emplois : 46% sont concentrés dans la ZE de Lons et 40 % dans celle de Dole (Revermont seulement 14 %) Attention : emploi salarié dans agriculture peu significatif. Représente une faible part de l’emploi agricole Dans les services on trouve notamment l’intérim, même si postes sont physiquement dans l’industrie en grande partie (65%) Dans les services, on trouve également des activités industrielles qui ont été externalisées. 22% des salariés de l’AP travaillent dans industrie contre 26 % en FC Tertiaire = 68% des salariés contre 67% FC Enfin, Construction = 7,2% des salariés contre 5,8 % en FC Lons : construction 7,8 % contre 5,8 % en FC Revermont : agriculture : 4 % contre 1,3 % en FC et construction 7,2 % L’emploi salarié progresse plus qu’en région mais moins qu’en France : +7% entre 98 et 2005 (1,5 points de plus que FC et 1,5 de moins que niveau national) ZE de Lons sert de locomotive pour l’AP : l’emploi salarié progresse de +8% (Dole : +6,6 % et Revermont +5,3 %) 9
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- Parmi ces emplois, 46% concentrés sur ZE Lons, et 40% sur Dole. - Progression de l’emploi salarié : +10% (5 points de plus que FC et 1 de plus que niveau national Mais c’est la ZE de Lons le Saunier qui sert de locomotive pour l’AP : au sein de l’aire de projets, c’est dans cette ZE que l’emploi salarié progresse le plus (+8%) devant Dole (+7%) et Revermont (+5%) - Attention : l’emploi salarié dans agriculture peu significatif. Représente une petite partie de l’emploi agricole - Dans les services on trouve notamment l’intérim, même si les postes sont physiquement basés dans d’autres secteurs et dans l’industrie en particulier (65%) Dans les services, on trouve également des activités industrielles qui ont été externalisées. Signifie la présence de métiers « industriels » dans les services - La baisse de l’emploi dans l’industrie s’accompagne d’un transfert relatif d’une part des emplois industriels dans les services 10
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Croissance de l’emploi salarié dans la construction et le tertiaire
Hausse de l’emploi : - Construction (+22%) - Commerce (+17%) - Services (+9%) Stabilité de l’emploi : - Agriculture (+1%) Baisse de l’emploi : - Industrie (-5%) 11
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Entre 1998 et 2005, mêmes tendances générales d’évolution de l’emploi salarié qu’en Franche-Comté et en France Nuances : stabilité dans l’agriculture mais effectifs très faibles augmentations plus importantes dans la construction et le commerce (+22% contre +17% et +17% contre +9%) ZE Lons : hausse la plus conséquente de la région dans la construction (+27% contre +17% en FC) ZE Dole : plus forte progression de l’agriculture (+6%) de Franche-Comté et une des plus faibles diminutions de l’industrie (-3%) ZE Revermont : plus forte progression du commerce de la région (+29%) et progression de l’agriculture (3%) Dole et Revermont, deux seules zones de FC où l’emploi agricole progresse 12
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Part de l’emploi public dans l’emploi total variable selon les zones d’emploi
Une part qui varie de plus de 29% pour ZE de Dole à 22% dans celle du Revermont Nombreux départs à la retraite attendus à court terme (infirmier, ATSEM, agent social, puéricultrice, agent police…) L’emploi public représente globalement environ ¼ de l’emploi total FC Cette part varie d’une ZE à une autre dans l’aire de projets. Elle est faible dans ZE Revermont (22% à 25%), moyenne ZE de Lons (25 à 29%) et importante dans ZE de Dole (plus de 29%). La fonction publique d’Etat arrive en tête au plan régional devant la fonction publique territoriale et l’hospitalière La ZE de Dole se distingue par une forte implantation de la FP hospi (41 % ) en raison présence de 2 gros éts hospitaliers. De nombreux métiers de la fonction pub territoriale sont confrontés au vieillissement et donc aux départs à la retraite. C’est notamment le cas des métiers du médico-social (infirmier, agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles, agents social, puéricultrice) sécurité (agents police municipal), techniques et administratifs 13
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L’emploi public représente en Franche-Comté un quart de l’emploi total. Dans le Revermont comme au plan régional, la fonction publique d’Etat arrive en tête devant les deux autres fonctions publiques. Dans la zone d’emploi de Lons, c’est la fonction publique territoriale qui est prédominante. Dans celle de Dole, la fonction publique hospitalière représente 41% de l’emploi public en raison de la présence de 2 gros établissements hospitaliers. Vieillissement et départs à la retraite dans nombreux métiers de la fonction publique territoriale : cas des métiers du médico social (infirmier, agent territorial spécialisé des écoles maternelles, agent social, puéricultrice) sécurité (agent police municipal), techniques et administratifs 14
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La Franche-Comté fortement utilisatrice de l’intérim
Près de intérimaires ETP au cours 4è trim.06 dont 65% travaillent dans l’industrie Utilisation liée à la conjoncture économique Globalement, baisse et faible reprise récente. Nuances selon les secteurs 15
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- La Franche-Comté est fortement utilisatrice de travail intérimaire. Lié à l’industrie et notamment automobile. Au sein de l’industrie, les secteurs les plus utilisateurs : industrie des biens intermédiaires, automobile, biens d’équipement, biens de consommation Dans le tertiaire : commerce, services aux entreprises, transports - L’utilisation de l’intérim est fortement liée à la conjoncture économique. Sert de variable d’ajustement, réponse aux fluctuations de l’économie. - Nuances dans l’évolution du recours à l’intérim selon les secteurs. Progression dans la construction, baisse dans industrie Certains secteurs y ont peu recours pour des questions de coût (hôtellerie restau, commerce…) 16
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Près de 4 000 travailleurs frontaliers
résident dans le département du Jura autorisations de travail frontalier actives fin 06 dont 17 % attribuées à des Jurassiens 55% des autorisations de travail frontalier concernent l’industrie 17
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Attention données départementales uniquement. Les zones d’emploi de Saint-Claude et de Champagnole sont incluses sachant que Saint-Claude est géographiquement la plus proche de la Suisse et la plus concernée, pour le Jura, par le travail frontalier. Sur les autorisations de travail frontaliers actives fin 2006, 17 % concernent des habitants du Jura. La quasi-totalité des frontaliers Jurassiens vont travailler dans le canton de Vaud (47 % industrie et 40 % tertiaire). Globalement en FC 55% des AT relèvent de l’industrie, 36% tertiaire, 5% BTP. Le travail frontalier engendre de nombreuses tensions dans le milieu économique. Les employeurs prennent conscience que le vivier de main d’œuvre n’est pas extensible et qu’il y a concurrence entre les secteurs, les territoires et les pays pour capter cette main d’œuvre qualifiée. 18
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Enquête Assédic : les établissements de l’AP interrogés déclarent avoir l’intention d’embaucher plus de personnes en 2008 Les 10 métiers les plus recherchés dans l'aire de projets de la plaine jurassienne Nombre de projets de recrutement en 2008 Part de projets difficiles Part de projets saisonniers Employés de maison et assistantes maternelles (dont aides à domicile) 269 11% 0% Employés et agents de maîtrise de l'hôtellerie (serveurs, maîtres d'hôtel…) 231 22% 82% Ouvriers qualifiés des industries agroalimentaires 144 66% Conducteurs routiers et grands routiers 142 74% 10% Animateurs socioculturels, de sport et de loisirs 123 23% 75% Ouvriers qualifiés travaillant par enlèvement de métal 119 100% Plâtriers, charpentiers et autres OQ du gros œuvre du bâtiment 93 Agents d'entretien 89 17% Ouvriers qualifiés de la chimie 87 Représentants, VRP 86 76% intentions d’embauche en légère diminution dans les zones de Dole et du Revermont en en stagnation dans celle de Lons projets de recrutement jugés difficiles dans 54% des cas dans ZE Lons et 46% des cas dans celle de Dole. dans ZE de Lons, 27% des intentions relatives à emplois saisonniers. Source : BMO Assédic
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- Enquête d’opinion. Déclaratif de chefs d’entreprises à un instant. Intentions ne se transforment pas obligatoirement en embauches. - Part des établissements qui déclarent avoir intentions d’embauche s’échelonne de 21% pour ZE Dole et Revermont à 22% pour Lons (23,2% FC). - Diminution des intentions d’embauche sur Dole (-14%) et faible progression sur Lons (+3%). - Sentiment de difficulté à recruter supérieur à la moyenne régionale dans la ZE de Lons : 54% contre 52%. - Intentions d’embauche relatives à des emplois saisonniers plus fréquentes danbs la ZE de Lons : 27% contre 21% FC
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De multiples tensions en région sur le marché du travail
Des causes variées et récurrentes : - Recherche complexe de personnel liée à un besoin de «sur mesure» permanent nécessitant adaptation, formation Difficulté de mettre en adéquation une offre et une demande d’emploi sans adaptation du personnel à la technicité attendue - Image négative ou méconnaissance du secteur ou du métier - Pénibilité de certains métiers (horaires, environnement…) - Faible attractivité liée à des contrats de courte durée faiblement rémunérés (CDD et intérim…) - Manque de mobilité de la main d’œuvre potentielle - Difficultés d’anticipation des entreprises : besoin immédiat Source : Efigip
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Travail sur les métiers en tension réalisé par Efigip en partenariat avec l’ANPE, les Assédic, la DRTEFP, le Rectorat, la Région et l’Afpa. Etablissement chaque année d’une liste de métiers en tension et d’une analyse des causes de tension. Rassemblement des principales causes par thème. Difficulté complémentaire liée au fait que pour de nombreux métiers ces causes de tension se conjuguent. Les limites de ce travail : - repose uniquement sur ce qui est enregistré à l'Anpe (autres modes de recrutement sont majoritaires) - volume des offres minoré (employeurs passent peu par Anpe quand métier en tension compte tenu difficulté à trouver candidats) - potentiel de main d'oeuvre biaisé car tous les demandeurs non employables immédiatement : besoin formation, adaptation, possible inscription sur métier par défaut - analyse basée sur des données Peut être plus tout à fait vrai aujourd'hui. Faire la part entre le conjoncturel et le structurel.
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Des tensions marquées les secteurs concernés :
- Industrie - BTP - Transport - Hôtellerie restauration - Commerce - Santé action sociale Les métiers pour lesquels les tensions sont plus marquées dans l’AP de la plaine du Jura qu’au niveau régional :
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Quel éventail de métiers exercent les diplômés d’un domaine de f° ?
Les limites de l’orientation vers les métiers en tension : temporalité et faible adéquation formation emploi Quel éventail de métiers exercent les diplômés d’un domaine de f° ? 4 familles de métiers (graphe) dans 5 secteurs d’activité : Commerce réparation auto, métallurgie – mécanique, commerce, transport logistique, autres secteurs. Quels diplômes alimentent une famille de métiers ? éventail de diplômes et de spécialités (tab) avec 6 niveaux différents, métier exercé dans 8 secteurs différents
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- Danger à orienter des jeunes en formation initiale en se préoccupant uniquement des secteurs/métiers en tension : évolution rapide des besoins alors que les cursus de formation durent plusieurs années. Orientation vers métiers en tension plus adapté pour le placement de demandeurs d’emploi ou la reconversion de salariés. - Pas d'adéquation formation emploi : une étude du PRAO et du MEN montre qu’en moyenne 5 ans après l’entrée sur le marché du travail, 40% des personnes occupent un métier cible ou connexe à leur formation. 60% occupent un métier éloigné ! - Illustre la difficulté de l’exercice de planification de l’offre de formation pour répondre aux besoins de l’économie.
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Près de 6 900 demandeurs d’emploi immédiatement disponibles fin 2007
Taux de chômage inférieur au taux régional Diminution du nombre Defm de 19% depuis fin 2002 (-14% plan régional) 26% de demandeurs d’emploi inscrits depuis un an et plus 45% ont un niveau Cap-Bep contre 42% au plan régional Dans cette AP rès de DE inscrits à l’Anpe fin 2007 Pour les 3 zones, taux de chômage inférieurs au taux régional : 5,4 % dans la zone de Lons, 5,6% Revermont et 6,6 % Dole contre 7,5% en FC (national 8,1 %) Diminution nombre Defm : -19% en 5 ans avec une baisse conséquente entre 2005 et 2007. 26% sont inscrits à l’Anpe depuis 1 an et plus (28 % en FC) Cette AP se distingue par la plus forte diminution de nombre de CLD entre 2002 et 2007 : -27% (-8% en région). Une plus importante proportion de DE détient un niveau Cap-Bep (45 % contre 42 %) La ZE du Revermont se distingue par une part de DE de niveau Bac et plus supérieure de 4 points à la moyenne régionale (38% contre 34 %)
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Vieillissement de la population plus accentuée
En conclusion Vieillissement de la population plus accentuée Attention aux départs de jeunes et d’étudiants vers d’autres régions Davantage d’emploi salarié dans la construction Progression de l’emploi salarié Des tensions marquées sur de nombreux métiers et des secteurs d’activité variés Compléments Etude Consultant : industrie = 16% emploi en France. Evolution emploi dans les régions a été positif là où les emplois industriels ont progressé (Languedoc, Midi pyrénées, Bretagne. En queue de peloton FC, Champagne Ardennes. Industries haute techno : aéronautique… Voir rôle pôles compétitivité. D‘autant qu’un emploi indus créé vaut environ 4 emplois tertiaires induits.
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