La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

I.État des lieux en 2014 II.Les techniques III.Enjeux économiques IV.Santé et environnement V.Agriculture et alimentation VI.OGM et démocratie LES ENJEUX.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "I.État des lieux en 2014 II.Les techniques III.Enjeux économiques IV.Santé et environnement V.Agriculture et alimentation VI.OGM et démocratie LES ENJEUX."— Transcription de la présentation:

1 I.État des lieux en 2014 II.Les techniques III.Enjeux économiques IV.Santé et environnement V.Agriculture et alimentation VI.OGM et démocratie LES ENJEUX AUTOUR DES PLANTES GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉES

2 Quel intérêt économique ? À qui les OGM profitent-ils ? Aux agriculteurs qui feraient des économies sur les pesticides et la main d’œuvre et qui bénéficieraient de meilleurs rendements ? Aux entreprises semencières qui brevètent leurs semences et les vendent plus cher que les semences conventionnelles ? Quel modèle agricole les technologies de production d’OGM favorisent-elles ? Les solutions qu’elles proposent sont-elles durables ? Quelle influence sur la biodiversité cultivée ? N’assiste-t-on pas au contraire au développement d’entreprises de plus en plus grandes, aussi bien au niveau des exploitations agricoles que des entreprises semencières ? SOMMAIRE 1. Un intérêt économique controversé : qu’en est-il des rendements, de la baisse des intrants ? 2. Une agriculture durable ? Apparition de résistances aux pesticides et menaces sur la biodiversité cultivée. 3. Une agriculture industrielle de grandes surfaces. 4. Mainmise sur les semences par les firmes agrochimiques.

3 III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 3 Malgré le surcoût qu’ils appliquent à leurs semences, les entreprises semencières affirment que les plantes OGM génèrent un bénéfice pour les agriculteurs grâce à : Une augmentation des rendements, directe ou indirecte. Une diminution de l’utilisation des pesticides. Une économie de main d’œuvre. Une agriculture durable. Qu'en est-il ? 1- UN INTÉRÊT ÉCONOMIQUE CONTROVERSÉ

4 Contrairement aux entreprises semencières et aux partisans inconditionnels des OGM, les instances les plus officielles admettent qu’il n’y a pas d’effet sur les rendements. Durant les 15 années d’utilisation commerciale, les semences GM n’ont pas montré d’augmentation des rendements potentiels des variétés. La question des rendements En fait, les rendements des variétés HT (tolérantes aux herbicides) ou Bt peuvent être occasionnellement plus faibles que ceux des variétés conventionnelles si les variétés dans lesquelles on a inséré les gènes HT ou Bt ne sont pas de bons cultivars, comme ce fut le cas dans les premières années de leur adoption. (p. 12, Cité et traduit par Inf’OGM) Bilan du Ministère de l’Agriculture des États-Unis (USDA), février 2014 Maïs, soja, coton, colza ‘‘ AUX ÉTATS-UNIS 4 III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 1- UN INTÉRÊT ÉCONOMIQUE CONTROVERSÉ

5 Rendement et surface de coton Bt en Inde La question des rendements EN INDE Elles montrent une nette augmentation de rendement entre 2002 et 2013, de l’ordre de 50%. La production passe ainsi de 300 à 500 kg/hectare. Monsanto affirme que cette augmentation est liée à la culture du coton Bt. Est-ce vraiment le cas ? Ce graphique montre que l’augmentation des rendements est antérieure à l’arrivée du coton Bt : elle a lieu entre 2002 et 2005, alors que la culture du coton Bt ne décolle qu’en 2006. Le coton Bt possède un transgène qui lui confère une toxicité contre le ver du cotonnier. Il a été introduit en Inde à partir de 2002, mais ne décolle qu’à partir de 2006 pour atteindre en 2014, 12 millions d’hectares (95% des surfaces cultivées). Statistiques du Conseil Consultatif du Coton en Inde Données compilées par nous-mêmes. 5 Rendement Kg/ha % coton Bt (surfaces) rendement % coton Bt Il ressort donc clairement que l'augmentation du rendement de la culture du coton en Inde est liée à d'autres facteurs que l'introduction du coton Bt. III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 1- UN INTÉRÊT ÉCONOMIQUE CONTROVERSÉ

6 Le soja tolérant à l’herbicide total Roundup a été introduit en Argentine en 1996, facilitant le désherbage des champs. Il remplace progressivement le soja conventionnel et se développe même au détriment des prairies et d’autres cultures. Source : FAOSTAT Données compilées par nous-mêmes Les rendements varient d'une année sur l'autre, mais augmentent très légèrement, d’environ 10% sur l'ensemble de la deuxième période. Est-ce grâce aux variétés OGM ou à d'autres facteurs agronomiques ? Cela reste à étudier. 6 Rendement - Kg/ha Surface cultivée millions d’ha Introduction du Soja GM 99% des surfaces de soja sont GM rendement 2000 kg/ha rendement 2200 kg/ha La question des rendements III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 1- UN INTÉRÊT ÉCONOMIQUE CONTROVERSÉ EN ARGENTINE

7 0 0.05 0.10 0.15 0.20 0.25 0.30 0 0.50 1.00 1.50 2.00 2.50 3.00 199596979899 2000 01020304050607080910 Cotton insecticides (left axis) Corn insecticides (right axis) Quan ti té u ti lisée (l ivres/acre) Coton Maïs AUX ÉTATS-UNIS 7 Graphique USDA De 1995 à 2010, on observe : Pour le maïs Bt, les quantités d’insecticides augmentent d’abord fortement pendant 3 ou 4 ans avant de baisser significativement. Cependant, les statistiques ne tiennent pas compte des insecticides produits par les plantes et répandus dans les sols. Pour le coton Bt, une baisse continue de l’utilisation d’insecticide sur les cultures. La question des pesticides Insecticides sur coton et maïs III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 1- UN INTÉRÊT ÉCONOMIQUE CONTROVERSÉ AUX ÉTATS-UNIS

8 La question des pesticides AUX ÉTATS-UNIS Entre 1995 à 2010, on observe : Maïs : une légère diminution de l’utilisation d’herbicides Soja et coton : une augmentation de plus de 20% Depuis 2010, le Département de l’agriculture américain a arrêté de publier les statistiques, alors que plusieurs indicateurs suggèrent une augmentation de plus en plus forte des herbicides utilisés, en raison des résistances provoquées chez les plantes adventices. L’Académie des sciences américaine estime en 2012 que les OGM ont fait exploser la consommation de glyphosate (matière active du Roundup) qui serait passée dans les champs de maïs de 1,8 million de tonnes en 2000 à 30 millions de tonnes en 2011. (Source : « Les OGM ont perdu la guerre contre les mauvaises herbes » Le Figaro, 25/05/2012) 8 Graphique USDA Le glyphosate a été classé cancérigène probable pour l’homme en mai 2015. III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 1- UN INTÉRÊT ÉCONOMIQUE CONTROVERSÉ

9 Le gène Bt utilisé n’agit que contre le ver du cotonnier et ne confère aucune résistance contre d’autres insectes. L’élimination du ver du cotonnier par la plante Bt favorise l’apparition de différents ravageurs comme les cochenilles et les insectes suceurs. EN INDE Avec le développement du coton Bt à partir de 2002, mais surtout de 2006, on constate une diminution progressive des insecticides du ver du cotonnier, mais elle est largement contrebalancée par une augmentation des autres insecticides. 9 Insecticides du ver du cotonnier Insecticides pour insectes suceurs La question des pesticides III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 1- UN INTÉRÊT ÉCONOMIQUE CONTROVERSÉ Statistiques du Conseil Consultatif du Coton en Inde

10 La question des pesticides EN ARGENTINE Évolution des surfaces cultivées (millions d'ha) 19962011 Facteur d’augmentation Céréales 11 1 Oléagineux /protéagineux 11211,9 Total 22331,5 Évolution de l'utilisation des pesticides (tonnes) 19962011 Facteur d’augmentation Herbicides 380002120005,6 Insecticides 9500230002,4 Le soja tolérant à l’herbicide total Round up a été introduit en Argentine en 1996. La surface cultivée progresse de façon continue et atteint en 2014 ~20 millions d’hectares. Les surfaces cultivées en oléagineux et protéagineux (soja, tournesol, colza) augmentent d’un facteur 1,9 entre 1996 et 2011 ; Les herbicides d’un facteur 5,6. Les quantités d'herbicides utilisés augmentent 3 fois plus vite que les surfaces cultivées. 10 1- UN INTÉRÊT ÉCONOMIQUE CONTROVERSÉ Source FAOstat III - ENJEUX ÉCONOMIQUES

11 Résistances aux pesticides Dans une interview au journal « Le Monde », Michel Fok, chercheur au Cirad, fait une évaluation critique de la culture du coton. En résumé, il constate : Une baisse de la rentabilité car les coûts augmentent. Une exigence de connaissances techniques de plus en plus grandes alors que les OGM étaient censés apporter une facilité d’emploi. Le développement d’autres ravageurs que l’on sait beaucoup moins bien contrôler. Les producteurs sont désemparés et doivent recourir à des pesticides classiques. Des phénomènes de résistance massive des plantes adventices fortement nuisibles à la culture du coton tolérant aux herbicides. Aux Etats-Unis, les producteurs de coton ont eu recours à des travailleurs mexicains pour arracher à la main les mauvaises herbes et les brûler. Source : Le Monde, 27/04/2012 11 III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 2- UNE AGRICULTURE DURABLE ?

12 Résistances aux pesticides 12 Dans son rapport 2014, l’USDA reconnaît les faits et propose de multiplier le nombre d’herbicides utilisés. Les mauvaises herbes deviennent résistantes au Roundup, elles se multiplient très vite et envahissent les champs de soja, de maïs, de coton et de colza. Près de 8 millions d'hectares sont d'ores et déjà infestés. Chaque année, de nouvelles plantes sauvages, comme l’amarante, développent des résistances aux herbicides totaux (Roundup…) qu’elles transmettent à leur nombreuse descendance. L'organisation internationale chargée de leur contrôle (ISHRW) a déjà recensé 23 espèces sauvages résistantes. Mais… il y en aurait en fait plus de 380, selon Harold Coble, du ministère américain de l'Agriculture. Réunion de crise de l'Académie américaine des sciences, 10 mai 2012. III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 2- UNE AGRICULTURE DURABLE ?

13 Environ 75% de la diversité a disparu depuis le début de ce siècle à mesure que, dans le monde entier, les agriculteurs ont abandonné leurs multiples variétés locales et cultivars traditionnels pour passer à des variétés à haut rendement, génétiquement uniformes. 30% des races de bétail sont en voie d'extinction et 6 races disparaissent chaque mois. Aujourd'hui, 75% des aliments de la planète proviennent d'à peine 12 espèces végétales et 5 animales. Source : FAO - Organisation de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture, 1999 13 100 ans d’évolution agricole : quelques tendances et chiffres relatifs à la biodiversité agricole Baisse de la biodiversité cultivée III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 2- UNE AGRICULTURE DURABLE ? FAO : LE CONSTAT

14 Source: FAO. 1999b Remplacement des variétés locales par des variétés améliorées plus uniformes. Perte de gènes et de groupes de gènes, présents dans les variétés utilisées par les agriculteurs mais pas dans les variétés modernes adaptées à l’épandage massif d’engrais et de pesticides. Diminution du nombre de variétés cultivées avec l’introduction de nouvelles variétés commerciales dans les systèmes agricoles traditionnels. 14 Baisse de la biodiversité cultivée III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 2- UNE AGRICULTURE DURABLE ? FAO : LES CAUSES

15 Baisse de la biodiversité cultivée Accélération du processus par les PGM En renforçant l'industrialisation de l'agriculture, les biotechnologies OGM : favorisent la concentration des semences aux mains d'un petit nombre de firmes et l'élimination de la plupart des petites entreprises semencières ; accentuent la disparition des variétés paysannes locales au profit d’un petit nombre de variétés issues des procédés biotechnologiques. En permettant la privatisation du vivant impulsée par les firmes qui développent les plantes GM, les législations : empêchent les agriculteurs de ressemer et d'utiliser les semences dans leurs sélections ; accentuent la disparition des savoirs traditionnels et des variétés. 15 Avec les OGM, moins d'entreprises semencières, disparition des pratiques paysannes, baisse de la biodiversité. 2- UNE AGRICULTURE DURABLE ? III - ENJEUX ÉCONOMIQUES

16 Six ou sept millions d’hectares ont basculé de l’élevage vers la culture du soja qui a envahi les meilleures terres. Ainsi, depuis dix ans, 2,5 millions d’hectares ont été déboisés pour cultiver cette plante qui rapporte énormément au pays : son exportation est taxée à hauteur de 35% et la quasi-totalité de la production est vendue à l’étranger (Chine et Union européenne surtout). Les autres activités agroalimentaires, elles, ont reculé. Le blé par exemple est passé de 6,3 à 3,3 millions d’hectares en dix ans. Les paysages mythiques de la pampa parsemés de vaches alimentées à l’herbe fraîche ont laissé place à des champs de soja et à des feedlots, des fermes d’engraissement. Source : Elverdin et al. 2013, http://economierurale.revues.org/3008 16 Argentine : une monoculture du soja tournée vers l’exportation III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 3 - UNE AGRICULTURE INDUSTRIELLE DE GRANDES SURFACES

17 Une analyse de WWF sur l’impact de la culture du soja en Amérique du sud Source : WWFWWF Argentine : une monoculture du soja tournée vers l’exportation III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 3 - UNE AGRICULTURE INDUSTRIELLE DE GRANDES SURFACES 17

18 Graphique : Limagrain Argentina 4 % des exploitation couvrent 66% de la surface agricole. 82% couvrent 14% de la surface agricole. Des fonds d’investissement, souvent liés à la spéculation boursière, se tournent vers la production agricole. Ces groupes louent la terre et les machines agricoles. Ils gèrent également le capital, la terre et le travail des tiers, ainsi que la production et la commercialisation. La financiarisation et la spécialisation sont aujourd’hui monnaie courante. On note ainsi le développement très rapide d’un mode de mise en valeur appelé́ « pools de siembra » dans lequel le «producteur » ne possède ni ne loue sur une longue durée la terre mais « vend » sa capacité́ de mettre en culture et de récolter les surfaces agricoles. Ainsi, un des plus gros producteurs de grains argentins, Los Grobo, n’est pas propriétaire d’un seul des 400 000 hectares qu’il exploite. Source: Min de l’agriculture, France La prédominance d'une logique économique et financière de la gestion agricole met en péril l'agriculture familiale, la reproduction des ressources naturelles et la durabilité environnementale. 18 Argentine : une monoculture du soja tournée vers l’exportation III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 3 - UNE AGRICULTURE INDUSTRIELLE DE GRANDES SURFACES 18

19 Une législation sur le droit des semences de plus en plus favorable aux entreprises Depuis les débuts de l’agriculture et jusqu’au milieu du 20 ème siècle, les paysans ont reproduit, sélectionné et amélioré librement leurs semences. Les semences étaient échangées librement entre paysans. A partir du milieu du 20 ème siècle, les entreprises semencières se sont approprié cette activité d’amélioration des plantes. Avec les engrais chimiques et les pesticides, les semences paysannes ont été soumises à des procédures d’uniformisation qui accroissent les rendements. Etablissement du Certificat d’Obtention Végétale (COV) : Le semencier obtient la propriété intellectuelle sur la variété « créée ». Les paysans doivent acheter les semences mais conservent le droit de les ressemer à certaines conditions. Depuis 1985, avec l’apparition des semences GM, les verrouillages deviennent encore plus contraignants. Les semences OGM, de même que les semences conventionnelles dans certaines conditions, peuvent être protégées par un brevet industriel. 19 III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 4 - MAINMISE SUR LES SEMENCES PAR LES ENTREPRISES AGROCHIMIQUES

20 http://www.lemonde.fr/societe/article/2002/10/16/percy-schmeiser-un-rebelle-contre-les-ogm « En août 1998, Monsanto engage une action en justice contre [Percy] Schmeiser. La firme affirme que le paysan a frauduleusement planté son colza OGM. De telles plaintes sont lancées au Canada et aux États-Unis contre des centaines d'agriculteurs. Monsanto a breveté ses variétés transgéniques et ne vend les semences aux agriculteurs nord- américains qu'à la condition qu'ils signent un "accord d'utilisation de la technologie", dans lequel ils s'engagent notamment à ne pas réutiliser les graines de leur récolte comme semences à la saison suivante : ils devront en acheter auprès de Monsanto chaque année. Et pour s'assurer que ces derniers respectent cet accord, Monsanto recourt à des agences de détectives privés et met en place une ligne téléphonique permettant aux agriculteurs de dénoncer des collègues […]..» 20 Une législation sur le droit des semences de plus en plus favorable aux entreprises III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 4 - MAINMISE SUR LES SEMENCES PAR LES ENTREPRISES Histoires de procédure judiciaires

21 Les techniques de sélection renforcent la mainmise des entreprises Des variétés hybrides Les variétés perdent leurs propriétés à la seconde génération (baisse des rendements). Les semences doivent être rachetées chaque année, ce qui constitue un avantage évident pour les entreprises semencières. Des OGM stériles En plus de la mise au point de variétés hybrides, les techniques dites « GURT », appelées également « Terminator », permettent d’obtenir des semences génétiquement modifiées pour être stériles à la deuxième génération : la plante se développe dans les conditions habituelles la première année, mais elle produit un grain biologiquement stérile qui ne peut donc être ressemé. Devant l’ampleur des oppositions de la société civile, un moratoire international a été décidé pour empêcher toute commercialisation de ces techniques. 21 III - ENJEUX ÉCONOMIQUES 4 - MAINMISE SUR LES SEMENCES PAR LES ENTREPRISES

22 Chiffre d’affaires et rang des principales entreprises semencières et agrochimiques En milliards de dollars – Années 2012 & 2013 En rouge les entreprises produisant à la fois des semences et des pesticides 61 % du marché mondial des semences est contrôlé par dix entreprises seulement. Cinq d’entre elles sont également au top des entreprises agrochimiques. 22 RANGENTREPRISE Chiffre d'affaires SEMENCES (2012) Part de marché Chiffre d'affaires CHIMIE (2013) RANG CHIMIE 1 Monsanto 9,821,78%4,55 2 Dupont-Pioneer 715,56%3,26 3 Syngenta 3,27,11%10,91 4 Vilmorin - Limagrain 1,73,78% 5 Winfield Solutions 1,63,56% 6 KWS 1,32,89% 7 Dow AgroSciences 1,32,89%5,54 8 Bayer Crop Science 12,22%10,42 9 Sakata 0,4651,03% 10 DLF 0,40,89% TOP 10 27,76561,7% Marché mondial 45 59 Le marché mondial des semences et des pesticides aux mains de quelques entreprises 4 - MAINMISE SUR LES SEMENCES PAR LES ENTREPRISES SOURCES : Commissariat Général à la Stratégie et à la Prospective et Wikipedia Semences et pesticides : mêmes intérêts économiques, mêmes entreprises, même modèle agricole. III - ENJEUX ÉCONOMIQUES


Télécharger ppt "I.État des lieux en 2014 II.Les techniques III.Enjeux économiques IV.Santé et environnement V.Agriculture et alimentation VI.OGM et démocratie LES ENJEUX."

Présentations similaires


Annonces Google