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UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Cours du 21 octobre 2015 : en l’absence d’Olivier Maulini, visionner les diapositives qui.

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1 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Cours du 21 octobre 2015 : en l’absence d’Olivier Maulini, visionner les diapositives qui suivent, en écoutant en ligne la version du cours de l’an dernier. Accès à l’enregistrement : https://mediaserver.unige.ch/play/86129 --- Prochains ateliers de lecture : Lundi 26.10. 12h15-13h45 M5189 Mardi 03.11. 12h15-13h45 M5193 Texte : Perrenoud (1993) Questions : Perrenoud distingue trois dimensions du curriculum scolaire, qui peut être formel, réel et/ou caché. 1. Représentez le rapport entre ces trois dimensions à l’aide d’un schéma de votre choix. 2. Insérez un exemple d’apprentissage scolaire pour chacune de ces trois dimensions. --- Nous contacter : is-pp@unige.ch

2 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Bautier, E. & Rayou, P. (2009). Les inégalités d'apprentissage. Programmes, pratiques et malentendus scolaires. Paris : PUF. DIP (2013). Cahier des charges du-de la maître-sse généraliste de l’enseignement primaire, titulaire de classe. Genève : Département de l’instruction publique. Fabre, M. (1999). Jean-Jacques Rousseau. Une fiction théorique éducative. Paris : Hachette. Maulini, O. (2004). Faire le programme ou faire son métier ? Planifier le travail : une compétence stratégique pour les (jeunes) enseignants. Résonances (Mensuel de l'école valaisanne), 1, 6-8. Pansu, P., Dompnier, B., & Bressoux, P. (2004). L’explication quotidienne des comportements scolaires : attributions de réussite et d’échec. In M. C. Toczek & D. Martinot (Eds.), Le défi éducatif. Des situations pour réussir (pp. 277-302). Paris : Armand Colin. Perrenoud, Ph. (1993). Curriculum : le réel, le formel, le caché. In J. Houssaye (Ed.). La pédagogie : une encyclopédie pour aujourd’hui (pp. 61-76). Paris : ESF. Perrenoud, Ph. (2012). Apprendre, oui, mais quoi ? Cahiers pédagogiques, 500, 69-71. Rousseau, J.-J. (1762/1966). Émile ou de l'éducation. Paris : Flammarion. SER (2004). Code de déontologie des enseignants romands. Martigny : Syndicat des enseignants romands. Références 3. Le curriculum Entre explicitation et mobilisation des savoirs ‘ Vivre est le métier que je lui veux apprendre.’ J.-J. Rousseau, à propos d’Emile ‘ Tous les jeunes ne vivront pas la même vie.’ Ph. Perrenoud

3 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Le plan du cours et vos questions (2015) 1. Introduction : forme scolaire et pratiques pédagogiques 2. La situation d’apprentissage « Comment réagir aux questions des élèves ? » 3. Le curriculum « Qu’est-ce qui s’apprend à l’école et sur le tas ? » 4. L’activité des élèves « Comment faire pour que les élèves puissent donner du sens à ce qu’ils entendent ? » 5. Les pratiques des enseignants « Comment donner envie aux élèves d’apprendre si l’enseignant ne croit pas en eux ? » 6. Synthèse : éthique de l’éducation et institutions scolaires « L’école devrait-elle chercher à créer plus d’égalité entre les différentes origines ? » 7. L’organisation du travail « Comment faire pour qu’il n’y ait pas de retard ? » 8. L’évaluation « Comment juger ce qui est au bon niveau pour les élèves ? » 9. L’autorité éducative « Comment répondre aux provocations ? » 10. Les institutions scolaires « Est-ce que le système éducatif actuel met les élèves assez en confiance...? »

4 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Bautier, E. & Rayou, P. (2009). Les inégalités d'apprentissage. Programmes, pratiques et malentendus scolaires. Paris : PUF. DIP (2013). Cahier des charges du-de la maître-sse généraliste de l’enseignement primaire, titulaire de classe. Genève : Département de l’instruction publique. Fabre, M. (1999). Jean-Jacques Rousseau. Une fiction théorique éducative. Paris : Hachette. Maulini, O. (2004). Faire le programme ou faire son métier ? Planifier le travail : une compétence stratégique pour les (jeunes) enseignants. Résonances (Mensuel de l'école valaisanne), 1, 6-8. Pansu, P., Dompnier, B., & Bressoux, P. (2004). L’explication quotidienne des comportements scolaires : attributions de réussite et d’échec. In M. C. Toczek & D. Martinot (Eds.), Le défi éducatif. Des situations pour réussir (pp. 277-302). Paris : Armand Colin. Perrenoud, Ph. (1993). Curriculum : le réel, le formel, le caché. In J. Houssaye (Ed.). La pédagogie : une encyclopédie pour aujourd’hui (pp. 61-76). Paris : ESF. Perrenoud, Ph. (2012). Apprendre, oui, mais quoi ? Cahiers pédagogiques, 500, 69-71. Rousseau, J.-J. (1762/1966). Émile ou de l'éducation. Paris : Flammarion. SER (2004). Code de déontologie des enseignants romands. Martigny : Syndicat des enseignants romands. « Il faut beaucoup pratiquer… » Références

5 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires 1.Deux attributions, deux régulations 2.La leçon et le programme de Rousseau 3.Du texte du savoir aux compétences du sujet

6 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Une controverse « Les élèves de lycée technique n’ont pas envie de la philosophie, ne peuvent pas lire des textes, ni même débattre de questions philosophiques. Les objectifs du programme (la dissertation philosophique) sont impossibles à atteindre. Dans ce contexte, mieux vaut réserver la situation d’apprentissage au lycée général. Et réclamer des cours d’éducation civique en lycée technique. » = Sélection du public par la forme scolaire Jugement social en +réalisme vs -élitisme « Les élèves du cycle d’orientation ne laissent plus le professeur donner son cours de français, ils n’écoutent pas, parlent d’autre chose ou à sa place. Le rôle du professeur (face à la résistance) est d’enseigner envers et contre tout. Dans ce contexte, mieux vaut changer la situation d’apprentissage (faire rédiger des poèmes collectivement). Et réclamer le soutien populaire dû aux maîtres et à leurs initiatives. » = Adaptation de la forme scolaire au public Jugement social en +éducabilité vs -évitement 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

7 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires ATTRIBUTION, n.f. Une attribution est l’explication causale qu’un sujet donne aux événements qui lui arrivent. Ce phénomène a les traits suivants : Il existe chez toutes les personnes humaines, qui ont besoin d’organiser leurs perceptions et de porter des jugements sur le monde. Il peut concerner autrui (hétéro-attribution) ou soi-même (auto- attribution). -Il se décline en attributions de causalité interne (« ma méthode n’est pas bonne ») et en attributions de causalité externe (« les élèves sont agités »). -Toute attribution peut être tantôt interne, tantôt externe en fonction de l’espace de référence. (Pansu, Dompnier & Bressoux, 2004) 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

8 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Cahier des charges de l’enseignant primaire DIP Genève, 2013 Code de déontologie des enseignants romands Syndicat des enseignants romands, 2004 L’enseignant-e… …permet à chaque élève de développer ses potentialités de manière optimale ; …met tout en œuvre pour un développement optimal de l'enfant, favorise l'épanouissement de sa personnalité ; …fait preuve d’empathie, est au service du suivi des élèves, propose à l’élève un encadrement adapté à ses besoins ; …est à l'écoute de l'enfant et des informations le concernant ; …associe les élèves à la définition des règles de vie ; …associe les élèves à l'élaboration des règles nécessaires à la vie commune ; …met en œuvre des actions de soutien pédagogique différenciées à l’intention des élèves en difficulté ; …s'efforce de corriger les inégalités de chances de réussite scolaire des élèves ; …identifie ses besoins en perfectionnement, se forme pour consolider ses compétences. …sait se mettre en question et pratique son auto-évaluation, veille à développer constamment ses connaissances et compétences. 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

9 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Forme scolaire, double seuil, double adaptation Savoirs formels > « Faire le programme » Adaptation du public à la forme scolaire < Pratiques sociales « Mener des projets » Adaptation de la forme scolaire au public 1 2 ? 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

10 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires 1.Deux attributions, deux régulations 2.La leçon et le programme de Rousseau 3.Du texte du savoir aux compétences du sujet

11 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Bégaudeau-Rousseau : la ruse et la triche « Supposons que, tandis que j’étudie avec mon élève le cours du soleil et la manière de s’orienter, tout à coup il m’interrompe pour me demander à quoi sert tout cela. Quel beau discours je vais lui faire ! de combien de choses je saisis l’occasion de l’instruire en répondant à sa question, surtout si nous avons des témoins de notre entretien. Je lui parlerai de l’utilité des voyages, des avantages du commerce, des productions particulières à chaque climat, des mœurs des différents peuples, de l’usage du calendrier, de la supputation du retour des saisons pour l’agriculture, de l’art de la navigation, de la manière de se conduire sur mer et de suivre exactement sa route, sans savoir où l’on est. La politique, l’histoire naturelle, l’astronomie, la morale même et le droit des gens entreront dans mon explication, de manière à donner à mon élève une grande idée de toutes ces sciences et un grand désir de les apprendre. Quand j’aurai tout dit, j’aurai fait l’étalage d’un vrai pédant, auquel il n’aura pas compris une seule idée. Il aurait grande envie de me demander comme auparavant à quoi sert de s’orienter ; mais il n’ose, de peur que je me fâche. Il trouve mieux son compte à feindre d’entendre ce qu’on l’a forcé d’écouter. Ainsi se pratiquent les belles éducations. (…) Nous observions la position de la forêt au nord de Montmorency, quand il m’a interrompu par son importune question : À quoi sert cela ? Vous avez raison, lui dis-je, il y faut penser à loisir ; et si nous trouvons que ce travail n’est bon à rien, nous ne le reprendrons plus, car nous ne manquons pas d’amusements utiles. On s’occupe d’autre chose, et il n’est plus question de géographie du reste de la journée. Le lendemain matin, je lui propose un tour de promenade avant le déjeuner ; il ne demande pas mieux ; pour courir, les enfants sont toujours prêts, et celui-ci a de bonnes jambes. Nous montons dans la forêt, nous parcourons les Champeaux, nous nous égarons, nous ne savons plus où nous sommes ; et, quand il s’agit de revenir, nous ne pouvons plus retrouver notre chemin. (…) Après quelques moments de silence, je lui dis d’un air inquiet : « Mon cher Émile, comment ferons-nous pour sortir d’ici ? » Émile, en nage, et pleurant à chaudes larmes : « Je n’en sais rien. Je suis las ; j’ai faim ; j’ai soif ; je n’en puis plus. » (…) Jean-Jacques : « Nous avons un moyen de trouver le nord à midi ? » Émile : « Oui, par la direction de l’ombre. » Jean-Jacques : « Mais le sud ? » Émile : « Comment faire ? » Jean-Jacques : « Le sud est l’opposé du nord. » Émile : « Cela est vrai ; il n’y a qu’à chercher l’opposé de l’ombre. Oh ! voilà le sud ! voilà le sud ! sûrement Montmorency est de ce côté. » Jean-Jacques : « Vous pouvez avoir raison : prenons ce sentier à travers le bois. » Émile, frappant des mains, et poussant un cri de joie : « Ah ! je vois Montmorency ! le voilà tout devant nous, tout à découvert. Allons déjeuner, allons dîner, courons vite : l’astronomie est bonne à quelque chose. » Emile, ou de l’éducation, 1762  1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

12 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires La double ruse de Rousseau 1. Vis-à-vis de l’élève : l’astuce du détour Emile ne trouvant pas de sens au savoir enseigné (les points cardinaux), son maître suspend la leçon (d’astronomie), fait le détour par une pratique sociale (une promenade) et ruse pour susciter un projet (rentrer à la maison pour manger). Emile en vient à s’interroger (« Comment faire ? »), et les concepts de nord et de sud servent de réponse à la question posée. 2. Vis-à-vis du maître : l’impasse sur l’impasse Devant la résistance d’Emile, le maître renonce provisoirement à enseigner (le savoir visé), prend le temps de changer d’occupation (il sort de l’école) et se soumet aux désirs supposés de l’enfant (« pour courir, ils sont toujours prêts »). Il veut montrer comment faire pour que l’élève « veuille ce que son maître veut qu’il veuille », mais il n’y parvient qu’en escamotant la résistance possible, donc l’impasse potentielle de son projet. 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

13 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires 1.Deux attributions, deux régulations 2.La leçon et le programme de Rousseau 3.Du texte du savoir aux compétences du sujet

14 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires i. Texte du savoir et restitution d’informations Plan d’études genevois :  1923 – 1942  1874-1902  1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

15 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires ii. Savoirs transférables et compréhension de concepts Manuel genevois, 1954, 3-4P 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

16 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires iii. Compétences et savoirs mobilisés (a)  Groupe romand d’aménagement des programmes, 1989  Objectifs d’apprentissage, Genève, 2000 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

17 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires iii. Compétences et savoirs mobilisés (b) Connaître les grands ensembles physiques (océans, continents, reliefs, fleuves, grands domaines climatiques et biogéographiques) et humains (répartition mondiale de la population, principales puissances du monde contemporain et leurs métropoles, les Etats de l'Union européenne et leurs capitales) ; les grands types d'aménagements ; les grandes caractéristiques géographiques de l'Union européenne ; le territoire français : organisation et localisations, ensembles régionaux, outre-mer. Situer dans l'espace un lieu ou un ensemble géographique, en utilisant des cartes à différentes échelles.  Socle de compétences et de connaissances, France, 2005 (www.education.gouv.fr)  Plan d’études romand, 2010 (http://www.plandetudes.ch) 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

18 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires iii. Compétences et savoirs mobilisés (c) 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet  PISA, compréhension écrite, 2000  Figure 2

19 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Le curriculum, Rousseau et Bégaudeau Exposé du maître Texte du savoir Situations d’apprentissage Expériences formatrice 1 2 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

20 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires CURRICULUM (FORMEL, RÉEL, CACHÉ), n.m. Le curriculum est le parcours de vie, le cours des expériences (formatrices) vécues par une personne. On distingue généralement : Le curriculum formel ou prescrit : la programmation a priori, en général écrite, du parcours de formation. Ex : les chapitres du manuel de philosophie ; l’exercice de la dissertation ; la question socialement vive… Le curriculum réel ou réalisé : la somme des expériences vécues par le sujet et qui le transforment de facto. Ex : les livres non lus ou non compris ; les dissertations plagiées ; les ‘pseudo-débats’… Le curriculum caché : la partie du curriculum réel qui échappe à la conscience des acteurs. Ex : le renoncement à des savoirs ; le métier d’élève ; les compétences et concepts implicites… (Perrenoud, 1994 ; Bautier & Rayou, 2009) 1. Deux attributions… > 2. La leçon et le programme de Rousseau > 3. Du texte du savoir aux compétences du sujet

21 UniGe | FPSE | Pratiques pédagogiques et institutions scolaires Références Bautier, E. & Rayou, P. (2009). Les inégalités d'apprentissage. Programmes, pratiques et malentendus scolaires. Paris : PUF. DIP (2013). Cahier des charges du-de la maître-sse généraliste de l’enseignement primaire, titulaire de classe. Genève : Département de l’instruction publique. Fabre, M. (1999). Jean-Jacques Rousseau. Une fiction théorique éducative. Paris : Hachette. Maulini, O. (2004). Faire le programme ou faire son métier ? Planifier le travail : une compétence stratégique pour les (jeunes) enseignants. Résonances (Mensuel de l'école valaisanne), 1, 6-8. Pansu, P., Dompnier, B., & Bressoux, P. (2004). L’explication quotidienne des comportements scolaires : attributions de réussite et d’échec. In M. C. Toczek & D. Martinot (Eds.), Le défi éducatif. Des situations pour réussir (pp. 277-302). Paris : Armand Colin. Perrenoud, Ph. (1993). Curriculum : le réel, le formel, le caché. In J. Houssaye (Ed.). La pédagogie : une encyclopédie pour aujourd’hui (pp. 61-76). Paris : ESF. Perrenoud, Ph. (2012). Apprendre, oui, mais quoi ? Cahiers pédagogiques, 500, 69-71. Rousseau, J.-J. (1762/1966). Émile ou de l'éducation. Paris : Flammarion. SER (2004). Code de déontologie des enseignants romands. Martigny : Syndicat des enseignants romands.


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