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Publié parJean-Philippe Lheureux Modifié depuis plus de 7 années
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Monument aux morts de Mieussy (Haute-Savoie) Deuxième guerre mondiale
Quelle est l'histoire des hommes dont les noms sont gravés sur le monument aux morts ? Cliquez sur les noms... Recherche des élèves de la classe de CM2 (année 2016/2017)
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Extrait de l'interview de Guy Chavanne, ancien maire de Mieussy
André Jorat Chasseur au septième BCA, tombé au Champ d'Honneur à Bétachet (Tarentaise). C'était un enfant, 21 ans à peine. En 1945, il est mobilisé au 7ème Bataillon de Chasseurs. Après quelques jours d'instruction, il se trouvait face à l'ennemi qui résistait encore farouchement en Tarentaise. Le 21 avril 1945, il est mortellement blessé. Mieussy lui fit de grandioses funérailles. Retour Extrait de l'interview de Guy Chavanne, ancien maire de Mieussy
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Lionel Bellivier Lionel Bellivier membre de la résistance, est mort accidentellement en manipulant une grenade en février 1944. Il a d'abord été inhumé provisoirement à Boisriond. Il était originaire de Beauvais. Retour
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Jean Carrier Jean Carrier est né le 20 janvier 1897 dans le village d'Anthon à Mieussy. Il est mobilisé en à Grenoble où il est affecté au contrôle des usines métallurgiques de Haute-Savoie. En juin 1940, il refuse la défaite et cherche les moyens de s'opposer à l'armistice. Il rassemble ses amis et par l'intermédiaire de Jean Rey Millet entre, dès sa création en septembre 1940, en contact avec le mouvement « La Dernière Colonne » Jean Carrier est le pionnier de « libération » et de l'organisation de la résistance en Haute Savoie. Il distribue des journaux clandestins et met en place des réseaux régionaux de renseignements. Dès 1942, recherché par la police de Vichy, il entre dans la clandestinité. A l'été 1942, il crée le camps du Môle, premier camp de maquisard de la région. Début janvier 1943, à la suite de la dissolution de l'armée d'Armistice après l'invasion de la zone sud et l'occupation de la Haute-Savoie par les troupes italiennes, Jean Carrier rejoint avec ses hommes l'Armée secrète (AS). En 1943, il est recherché, il est alors constamment obligé de changer de domicile, de physionomie et d'identité et prend le nom de Jean Cheminal. Suite
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Photo de Jean Carrier Retour
En juin 1943, il dirige une embuscade et des coups de mains, les trois cantons de la vallée du Giffre sont alors placés sous son commandement. Le 28 janvier 1944, à la suite d'une dénonciation, les allemands le cernent à Pouilly-sur-Saint-Jeoire dans sa maison. Ils incendient la maison et Jean Carrier parvient à tuer 11 allemands avant de mourir brûlé vif. Photo de Jean Carrier Cliquez ici Retour
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Jean Oncins-Delgado Jean Oncins Delgado, membre de la résistance, est mort accidentellement en septembre Il a d'abord été inhumé provisoirement sur le plateau « de Chers ». Il était d'origine espagnole. Retour
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Extrait de l'interview de Guy Chavanne, ancien maire de Mieussy
Angel Deiana Il a été fusillé à l'usine du Giffre le 1er avril 1944 alors qu'il tentait de sauver Henri Plantaz, un résistant activement recherché par les allemands. Photo du monument du Giffre : cliquez ici. Extrait de l'interview de Guy Chavanne, ancien maire de Mieussy Retour
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Extrait de l'interview de Guy Chavanne, ancien maire de Mieussy
Angel Deiana Il a été fusillé à l'usine du Giffre le 1er avril 1944 alors qu'il tentait de sauver Henri Plantaz, un résistant activement recherché par les allemands. Photo du monument du Giffre : cliquez ici. Extrait de l'interview de Guy Chavanne, ancien maire de Mieussy Retour
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L'abbé Louis Rossillon Il est né en 1883 et mort le 23 juillet 1944
Le 23 juillet 1944, au moment de la libération, les détachements de la résistance Allemande cernent Saint-Gingolph. Le village est ensuite pillé et partiellement détruit. Dans les ruines du village, six personnes n'ont pas voulu fuir, dont l'abbé Louis Rossillon. Ils seront fusillés par les SS. Ce n'est que un mois après que les forces de la Résistance Française trouvèrent son corps enfoui dans un jardin. A l’entrée du village se dresse la stèle à l'endroit où il fut abattu. Photo et document : cliquez ici. Retour
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Rubens Brunet Brunet Rubens est né le 30 juin 1901, à la Motte.
Membre de l'A.S, il est arrêté le 9 avril 1944 à Mieussy par la Milice pour aide au Maquis et détenu au Savoie-Léman à Thonon, puis à l'Intendance à Annecy, avant d'être envoyé à la prison Saint-Paul à Lyon. Le 29 juin 1944, il est déporté à Dachau (75947), puis transféré à Buchenwald, où il meurt du typhus à une date inconnue (déclaré mort en mai 1945). Retour
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Extrait de l'interview de Guy Chavanne, ancien maire de Mieussy
Félix Debroux Il est né le 25 novembre 1899 à Albens (Savoie). Il était secrétaire de mairie à Mieussy, il fabriquait de fausses cartes d'identité pour les résistants. Il est déporté le 29 juin 1944 de Lyon à Dachau puis à Mauthausen et affecté au Kommando de Gusen où il meurt le 24 décembre 1944. Extrait de l'interview de Guy Chavanne, ancien maire de Mieussy Retour
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Aucune information trouvée à son sujet.
Clovis Charrière Aucune information trouvée à son sujet. Retour
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Félix Dégrange Il a été déporté en Allemagne à Dora Erlich (Saxe).
Il décède en 1945 épuisé par les mauvais traitements et les durs travaux de manœuvre. Il était âgé de 43 ans. Retour
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Robert Favier Déporté à Dachau.
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Le monument aux morts de Mieussy
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Qu'est-ce qu'un combattant ?
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Quelle est la différence entre un fusillé et un déporté ?
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Qu'est-ce qu'un résistant ?
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Monument du Giffre qui commémore les événements du 1er avril 1944.
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