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Publié parJean-baptiste Billard Modifié depuis plus de 10 années
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Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l’industrie agro-alimentaire Sommet des leaders sur l’alimentation Institut canadien des politiques agro-alimentaires Dr. Alain Poirier Sous-ministre adjoint Ministère de la Santé et des Services sociaux et président du Conseil d’administration de la Société de Gestion du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie. Montréal, 17 février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Santé et Services Sociaux Économie et environnement 11 %
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Des coûts insoutenables… Santé et Services Sociaux 44 % 22,1 MM$ Gouverne et justice 9 % 4,5 MM$ Soutien aux personnes et aux familles 10 % 5,2 MM$ Éducation et culture 26 % 13,5 MM$ Économie et environnement 11 % 5,6 MM$ Comment faire pour améliorer les habitudes de vie et abaisser les coûts de santé?? Mesures volontaires Réglementation Politiques publiques Partenariat avec des acteurs de la chaîne agroalimentaire Source de la figure: MSSS, SDI, mai 2006, Livre des crédits, secrétariat du Conseil du trésor
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Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Le Gouvernement du Québec a adopté le PAG en 2006 afin d’agir de façon concertée pour prévenir les problèmes de poids et promouvoir les saines habitudes de vie. Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Consultants et experts universitaires
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Structure de fonctionnement pour la mise en œuvre du Plan d’Action Gouvernemental (PAG) « INVESTIR POUR L’AVENIR » Consultants et experts universitaires Le PAG est constitué de 75 actions, structurées en 5 axes d’interventions. Implique 7 Ministères (bientôt 8 avec le MCCCF) et 3 organismes (SAJ, INSPQ, OPC) Travail intersectoriel est majeur Un comité de sous-ministres adjoints : rencontre aux 2 mois, soutenu par une équipe de coordination au MSSS Un comité de répondants (professionnels des 7 Ministères et des 3 organismes) Un comité de communication, de formation et d’évaluation. L’évaluation sera scientifique et administrative (reddition de comptes) Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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État de la mise en œuvre des actions du PAG au 31 mars 2009
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire État de la mise en œuvre des actions du PAG au 31 mars 2009 Mise en œuvre débutée Mise en œuvre non débutée Nombre d’actions Axe 1 Favoriser la saine alimentation 17 81,0 % 4 19,0 % 21 100 % Axe 2 Favoriser un mode de vie physiquement actif 80,8 % 5 19,2 % 26 Axe 3 Promouvoir des normes sociales favorables 6 60 % 4* 40 % 10 Axe 4 Améliorer les services aux personnes aux prises avec un problème de poids 3 30,0 % 7 70,0 % Axe 5 Favoriser la recherche et le transfert des connaissances 75,0 % 2 25,0 % 8 Total 53 70,7 % 21* 28,04 % 74/75* 98,7 % Le bilan de mi-parcours indique que sur les 74 actions (celle portant sur la valorisation des bons coups n’a pas été comptabilisée), 53 sont débutées. Pour l’axe 1 portant sur la saine alimentation, 17 actions sont débutées, implantation est débutée à 81 %. Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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L’univers de la Politique en lien avec le PAG
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire L’univers de la Politique en lien avec le PAG Alimentation et mode de vie physiquement actif Population visée: 0-25 ans Problèmes reliés au poids Politique en alimentation et nutrition Qualité globale de l’alimentation Pour toute la population : ans Problèmes de santé reliés à l’alimentation PAG SCOLAIRE TRAVAIL SANTÉ Les actions du PAG portent sur les milieux de vie : scolaire, travail, santé et municipalités. Il vise les 0-25 ans et leur famille. Il cible l’alimentation, le mode de vie physiquement actif et les problèmes reliés au poids. Le PAG mentionne également qu’une Politique en alimentation et en nutrition sera développée. Cette politique visera donc la qualité globale de l’alimentation pour l’ensemble de la population. La politique viendra améliorer la santé de la population de façon plus globale que le PAG (l’univers des maladies chroniques dont le diabète, les maladies cardio-vasculaires, …) Elle viendra donner des orientations pour que l’offre alimentaire globalement soit plus nutritive, accessible, abordable au Québec. MUNICIPAL Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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La Politique en alimentation et nutrition pour la santé des québécois
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire La Politique en alimentation et nutrition pour la santé des québécois Sera arrimée à la Politique agro-alimentaire et basée sur une vision globale de la saine alimentation. Dressera un portrait de l’alimentation de la population et de l’offre alimentaire québécoise. Donnera des orientations sur les éléments qui influencent l’alimentation de la population (composition nutritionnelle, taille des portions, mise en marché, l’accessibilité). La politique sera en fait une politique parapluie qui viendra fixer des objectifs concernant l’alimentation de la population (apports nutritionnels, qualité de l’alimentation). Pour atteindre ces objectifs, la politique donnera des orientations pour tous les secteurs ayant une influence sur la qualité de l’alimentation. Exemple : secteur de la transformation (sel, gras trans, taille des portions) secteur de la distribution (mise en marché des aliments, information au consommateur, circuits courts de distribution, accessibilité géographique des denrées) secteur de la restauration : taille des portions, affichage nutritionnel, contenu en sel, gras trans Cette politique sera structurante et proposera des changements pour que la saine alimentation prenne plus de place partout au Québec. Que les choix sains soient réellement facilités et non marginaux. Il faudra aussi valoriser les partenaires qui collaboreront à ces changements. Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Consommation excessive de sodium
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Consommation excessive de sodium HOMMES Apport maximum tolérable: 2300 mg FEMMES Données de l’ESCC 2004-volet nutrition. Le Québec a le record de la consommation de sodium au Canada avec la Colombie-Britannique. Dû en grande partie à la consommation d’aliments transformés. Consommation moyenne -Québec: 3350 mg -Canada: 3092 mg Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Des économies se chiffrant à 430 M$/an au Canada
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Santé et économie Réduire la consommation de sel de 4,6 g (1,8 g de sodium) diminuerait : de 30 % la prévalence de l’hypertension de près de 60 % les coûts de traitement Des économies se chiffrant à 430 M$/an au Canada Données issues de Joffres MR et al (2007). Estimate of the benefits of the benefits of a population-based reduction in dietary sodium additives on hypertension and its related health care costs in Canada, Can J Cardiol, 23, p La composition des aliments a donc un impact indirect sur les coûts de santé. Des économies importantes pourraient être réalisées si les aliments étaient moins riches en sel. Le consommateur n’a pas le contrôle sur la teneur en sel des aliments préparés. On commence à voir davantage de produits à teneur réduites en sel, il en faut davantage et rapidement. Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Des objectifs apparemment différents…
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Des objectifs apparemment différents… CONSOMMATEUR INDUSTRIE Choisir parmi une variété d’aliments de qualité Offrir des aliments savoureux et nutritifs S’informer Information disponible et claire Payer le vrai prix Marketing responsable Une alimentation de qualité pour la population est une responsabilité partagée : le consommateur a la responsabilité de faire des choix éclairés et l’industrie agro-alimentaire a la responsabilité d’assurer l’accès à une variété d’ aliments nutritifs à un coût acceptable pour la masse de la population, tout en assurant la rentabilité de ses entreprises. Afin d’y arriver, le consommateur doit être bien informé ; il faut donc que l’information sur les produits soient disponibles et compréhensibles. Cela suppose que l’information nutritionnelle soit facile à comprendre pour que le consommateur puisse s’informer et faire ses choix. Le consommateur doit aussi comprendre l’importance de payer le vrai prix des aliments. En revanche, l’industrie agroalimentaire a aussi des responsabilités : rendre les aliments de base disponibles à l’ensemble de la population, même ceux éloignés géographiquement ainsi qu’aux moins nantis ; lorsque les aliments nécessitent une transformation, viser à le faire en respectant les qualités nutritionnelles en ajoutant moins de sucres, de gras et de sel et en utilisant des ingrédients de qualité, comme les types de gras ; présenter les produits en portions qui respectent les besoins énergétiques relativement faibles de la population ; adopter des pratiques de marketing responsables. SANTÉ Objectifs RENTABILITÉ Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Pour de réels changements dans l’environnement alimentaire il faut que les aliments soient disponibles sur le marché et dans les milieux de vie. Les Ministères du PAG ont développé une vision commune de la saine alimentation. Une consultation large s’en est suivie notamment auprès des groupes représentant différents secteurs de l’industrie agro-alimentaire (transformateurs, restaurateurs, distributeurs). Nous désirons déposer cette vision prochainement au conseil des ministres et suite à son adoption, elle deviendra gouvernementale. C’est la base pour des politiques publiques qui vont structurer davantage l’environnement alimentaire et rendre les choix sains plus faciles à faire pour le consommateur. Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Pour rendre les choix sains faciles!
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Des politiques publiques Les choix sont effectués par l’individu, mais limités par l’environnement. Des actions pour améliorer l’environnement alimentaire permettront de rendre les choix sains plus faciles à faire. Pour rendre les choix sains faciles! Des politiques publiques visent à Agir sur les environnements alimentaires pour rendre les choix sains plus faciles. On peut informer le consommateur pour qu’il fasse de bons choix. Mais si dans son entourage on ne présente pas ces choix, le consommateur se retrouve devant des options limitées. En modifiant l’environnement alimentaire, on rend les choix sains plus faciles . Exemple de mesures, de politiques publiques : Politiques alimentaires dans les écoles, les établissements du réseau. Politiques de prix différentiels pour inciter la consommation d’aliments sains. Incitatifs pour que l’industrie produise de aliments nutritifs en portion adéquates. Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Les continuums Valeur nutritive faible Valeur nutritive élevée
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Les continuums Valeur nutritive faible Valeur nutritive élevée Au cœur de cette vision : les concepts de continuum de valeur nutritive et de fréquence d’offres alimentaires. Ainsi, les aliments de faible valeur nutritive deviennent des aliments d’exception que l’on offre rarement. Les aliments de valeur nutritive élevée sont offerts partout quotidiennement. Certains milieux, de par leur mission, n’offrent que des aliments quotidien et d’occasion. C’est un virage que nous avons amorcé avec la Politique-cadre en milieu scolaire, le Cadre de référence en établissements et éventuellement dans d’autres édifices publics. Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010 13
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Continuums et environnements
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Continuums et environnements Cohérence avec mission et responsabilité publique Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Un portefeuille d’actions
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Un portefeuille d’actions Subventions pour orienter la production d’aliments de haute valeur nutritive. Politiques de prix préférentiels pour orienter le choix du consommateur. Politiques alimentaires (établissements publics). Reconnaissance des meilleures pratiques. L’industrie alimentaire est interpellée pour contribuer à l’amélioration de l’offre d’aliments. Des actions concrètes sont possibles. Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Origines de la Société de Gestion
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Origines de la Société de Gestion La loi Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie, Juin 2007 Le partenariat Fondation Lucie et André Chagnon (FLAC) et le Gouvernement du Québec 480 M$ pour 10 ans ( ) Modèle unique au Canada Une loi Adoption à l’unanimité par l’Assemblée nationale du Qc, du Projet de loi instituant le Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie, juin 2007 Partenariat Conséquemment, une entente de partenariat est conclue entre le Gouvernement du Québec et la Fondation Lucie et André Chagnon (FLAC). La Fondation Chagnon et le Gouvernement du Québec s’engagent à verser 24 M$ par année pendant une période de dix ans pour l’acquisition et le maintien des saines habitudes de vie par les jeunes de la naissance à 17 ans. Total de 480 M$ Gestion du Fonds Sociéte de gestion – Saines habitudes de vie Pour administrer ce fonds, était alors constituée une personne morale, La Société de gestion du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie, afin de recevoir, administrer et attribuer les contributions des partenaires selon un protocole d’entente prévu à cette fin. Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Mission et organisation
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Mission et organisation Mission Favoriser une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif chez les jeunes Québécois Promouvoir la mise en place d’environnements favorables Organisation Conseil d’administration : Quatre représentants du Gouvernement du Québec Quatre représentants de la FLAC Comité de pertinence Recommande au CA les projets devant faire l’objet d’un soutien Mission Favoriser l’acquisition et le maintien d’une saine alimentation et d’un mode de vie physiquement actif chez les jeunes Québécois, de la naissance à 17 ans. Promouvoir la mise en place d’environnements favorables. Organisation Conseil d’administration : Quatre représentants du Gouvernement du Qc et quatre représentants de la FLAC Comité de pertinence Institué par le conseil d’administration Personnes choisies par le conseil d’administration en fonction de leur compétence, de leur expertise et de leur implication sociale reconnue Recommande au CA les projets devant faire l’objet d’un soutien financier, sur l’ampleur et la durée de ce soutien ainsi que sur les conditions s'y rattachant. Début des opérations, janvier 2008 Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Entente de répartition
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Entente de répartition FONDATION LUCIE & ANDRÉ CHAGNON PROJETS MOBILISATION DES COMMUNAUTÉS LOCALES PROJETS NATIONAUX ET REGIONAUX 24 M$/an 10 ans ( ) Agence de Santé publique du Canada 1.3 M$ ( ) Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie 480 M$ SOCIÉTÉ DE GESTION DU FONDS 480 M$ M$ GOUVERNEMENT DU QUÉBEC Montrer l’implication aussi de l’ASPC. (Présence de M. Butler Jones dans la salle ) L’Agence de Santé publique du Canada collabore aussi au financement de projets nationaux grâce à l’entente CANADA-QUÉBEC : Des modalités de gestion ont été établies conjointement entre la SG et l’ASPC. Débute ses activités en janvier 2008 Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Processus d’octroi de subvention
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Processus d’octroi de subvention Comité de pertinence Recommandations au CA Appel de projets aux organismes ciblés Début de la mise en œuvre du projet refusé non Accompagnement de la Société de gestion auprès de l’organisme Définition des thématiques Octroi de la subvention CA de la SG Décision Plan d’action de l’organisme Lettres d’intention des organismes Comité de pertinence Recommandations au CA Débute ses activités en janvier 2008 La Société de gestion a établit un processus d’attribution de subvention rigoureux dans un cadre spécifique à chacun des appels de projets. … …Utilisation optimale des fonds …Processus de suivi financier et de reddition de compte rigoureux (développer) Définition de thématiques par un comité d’experts Appel de projets à des organismes ciblés Analyse de lettres d’intention par le comité de pertinence qui fait ses recommandations au CA Dépôt de plans d’actions par les organismes Évaluation des projets par le comité de pertinence Approbation par le conseil d’administration Octroi du financement Début de la mise en œuvre Tout au long de ce processus, la SG accompagne les organismes et leur projets dans la démarche. Dans tous les cas, seuls les organismes non-gouvernementaux à but non-lucratif et les institutions publiques et parapubliques, à titre de membres associés à des organismes non-gouvernementaux à but non-lucratif SONT ADMISSIBLES. Ces organismes doivent dans s'adjoindre de partenaires dont les membres seront conjointement responsables de la définition, de l’implantation et de la gestion du projet. A ces critères de base, s’ajoutent des critères de sélection propres à chacun des appels de projets. Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Quelques faits saillants…
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Quelques faits saillants… 94 M$ réservés aux projets nationaux et régionaux ainsi qu’aux projets de mobilisation des communautés locales Les projets nationaux et régionaux 4 appels de projets lancés 112 demandes reçues 12 projets nationaux et 18 projets régionaux en cours 5 projets à l’étude Les projets de mobilisation des communautés locales 71 regroupements et une trentaine de communautés déployés Intensification des engagements des ministères 305 000 enfants en bénéficient À ce jour, près de 94 M$ ont été réservés aux projets nationaux et régionaux ainsi qu‘aux projets de mobilisation des communautés locales. Les projets nationaux et régionaux 4 appels de projets lancés 112 demandes de financement de projets ont été reçues et analysées 12 projets nationaux et 18 projets régionaux sont en cours 5 projets sont présentement à l’étude Les projets de mobilisation des communautés locales 71 regroupements en plus d’une trentaine de communautés soutenus et déployés sur l’ensemble du territoire québécois Divers ministères du gouvernement du Québec ont nettement intensifié leur engagement dans le soutien aux communautés locales 305 000 enfants en bénéficient Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Comment les projets de la Société de gestion sont-ils liés à l’industrie ? L’industrie est interpelée par l’action de la SG Deux volets à exploiter dans l’appel de projets : Communication et Agroalimentaire: Création de 2 comités consultatifs 4 thématiques proposées par ces comités (voir schéma) Lancement de l’appel de projets en juin 2009 L’industrie AA est interpelée par l’action de la SG Industrie de la transformation est le 2ième secteur manufacturier au Qc 5M $ PIB Aliments préparés gagnent en popularité (plus de gras et de sel et plus abordables) Plusieurs études démontrent une consommation quotidienne insuffisante de produits laitiers, de fruits et légumes Consommation trop fréquente de produits faibles en nutriments 1 enfant sur 5 accuse un excès de poids La SG est touchée par ces faits et privilégie deux volets à exploiter dans son prochain appel d’offres de projets nationaux soit la Communication et l’Agroalimentaire. Création de 2 comités consultatifs composés d’experts externes qui viendront recommander au comité de pertinence de la SG les stratégies à prioriser 4 thématiques proposées par ces comités (voir schéma) Est alors lancé l’appel de projet en Juin 2009. 17 lettres d’intentions reçues 4 projets retenus pour financement (voir schéma) Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Appel de projets nationaux - Juin 2009
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Appel de projets nationaux - Juin 2009 Communications Agro-alimentaire (A/A) THÈME Rayonnement des leaders THÈME Communication sur le comportement alimentaire THÈME Les chartes d’engagement volontaires THÈME L’offre alimentaire de proximité Identifier les pratiques à mettre en valeur Identifier les leaders qui ont adoptés ces pratiques et qui ont eu un impact Promouvoir les bons coups dans les domaines des saines habitudes de vie Outiller les jeunes à développer leur sens critique relativement à l’alimentation Les inviter à s’exprimer sur leur représentation de l’alimentation en lien avec la santé Faire entendre leurs attentes à l’égard des actions que pourraient adopter les décideurs et l’industrie A/A Mobilisation de l’industrie A/A visant à améliorer la valeur nutritive des aliments offerts aux consommateurs Mise sur pied d’une charte d’engagement volontaire Évaluation des impacts des circuits courts en lien avec l’adoption d’une saine alimentation Les 4 thèmes retenus touchent des actions déjà ciblées dans le plan Les 4 thèmes retenus touchent des actions déjà ciblées dans le plan d’action gouvernemental du gouvernement du Québec. Je vais vous présenter brièvement les thèmes vous touchant de plus près: soit Les entreprises et les individus qui distribuent des produits alimentaires locaux et régionaux frais ou transformés. Ces thèmes interpellent la responsabilité des entreprises, l’autoréglementation, les groupes sociaux et l’intervention gouvernementale. Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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Appel de projets nationaux - Juin 2009
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire Appel de projets nationaux - Juin 2009 Agroalimentaire THÈME Les chartes d’engagement volontaires THÈME L’offre alimentaire de proximité Mobilisation de l’industrie A/A visant à améliorer la valeur nutritive des aliments offerts aux consommateurs Mise sur pied d’une charte d’engagement volontaire Évaluation des impacts des circuits courts en lien avec l’adoption d’une saine alimentation 1er exemple: Thème Chartes d’engagement volontaires (Self-regulatory codes) Cette approche incite les entreprises de transformation et de distribution de produits alimentaires à s’engager de façon volontaire à produire des aliments dont la composition nutritionnelle et les volumes de consommation répondent aux normes reconnues d’apports nutritionnels qui favorisent la saine alimentation. Les entreprises se montrent aujourd’hui davantage réceptrices à déployer des activités démontrant leur responsabilité sociale et à participer à une démarche d’autorégulation. Au Québec, le contenu des chartes et les engagements proposés devront être conformes aux principes généraux, objectifs et repères de consommation du programme d’action du gouvernement du Québec en matière de santé et du Programme national de santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux de même que des approches de prévention retenues auprès des jeunes particulièrement. On observe dans le milieu de la restauration aux États-Unis une tendance à encourager les restaurateurs à indiquer la valeur nutritionnelle sur leurs menus, sur une base volontaire. Cette mesure est obligatoire à New York et pourrait le devenir dans d’autres états américains. Un mouvement en Amérique du Nord est donc amorcé pour afficher les valeurs nutritionnelles et promouvoir les repas santé dans les restaurants. Cette étude de faisabilité viserait à définir un référentiel type pour les chartes d’engagements volontaires de progrès nutritionnel applicable soit à la transformation, la restauration ou la distribution. Les actions issues des chartes d’engagement devront répondre aux objectifs prioritaires définis par le Plan d’action gouvernemental de promotion des saines habitudes de vie et de prévention des problèmes reliés au poids. 2me exemple, thème: Offre alimentaire de proximité (Local food system) Augmenter la quantité d’aliments frais notamment les fruits, les légumes et les produits laitiers qui sont distribués dans les réseaux de commercialisation, en kiosques à la ferme, dans les marchés publics, les dépanneurs, les restaurants, et cafétérias et autres points de vente. L’offre alimentaire de proximité est généralement associée à des circuits courts de commercialisation(un nombre minimum d’intermédiaires entre le producteur et le consommateur, par la faible distance parcourue par le produit frais ou transformé pour arriver aux consommateurs.) en moyenne les produits alimentaires parcourent plus de 2 500 km entre le lieu de production et de consommation. occasionne donc des effets non souhaitables au plan environnemental. La première tendance mondiale en alimentation identifiée dans le cadre d’une étude rapportée par «Chatham House report» se résume ainsi: aliment santé, produit et distribué avec le minimum d’impact sur l’environnement. Le réseau de marchés publics, la vente à la ferme, l’auto cueillette, les kiosques et les commerces spécialisés ainsi que l’agriculture soutenue par la communauté sont des circuits qui pourvoient à une offre alimentaire de proximité. Une trentaine de coopératives d’alimentation du Québec participent à l’offre alimentaire de proximité en s’approvisionnant auprès de producteurs et transformateurs dans les environs de la coopérative, et le produit livré sans transport de longue distance, soit moins de 100 kilomètres. Même si ces circuits représentent un faible pourcentage des ventes totales, ils contribuent néanmoins à l’approvisionnement en produits frais et nutritifs, tout en sensibilisant les consommateurs à la saine alimentation et aux saisons de production. C’est également un moyen de rapprocher la table de la terre et d’informer les consommateurs de l’origine des produits et de leur mode de production.. Cet axe d’intervention poursuit les sous-objectifs suivants : Développer des liens avec des producteurs agricoles québécois pour favoriser l’achat local et régional; Organiser un réseau de distribution de produits alimentaires frais et nutritifs en marge de la grande distribution. d’action gouvernemental du gouvernement du Québec. Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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En terminant… Opportunités d’affaires Objectifs conciliables
Partenariats pour une saine alimentation : politiques publiques et soutien de projets liés à l'industrie agro-alimentaire En terminant… Opportunités d’affaires Objectifs conciliables Responsabilité partagée Arrimage des projets et initiatives aux orientations du PAG Sur qui repose la responsabilité de la qualité de l’alimentation ? Sur les épaules des individus ? Des gouvernements ? De l’industrie ? Des communautés ? C’est une responsabilité partagée que nous devons assumer ensemble. Le développement de produits alimentaires plus nutritifs constitue une opportunité d’affaires. Les objectifs de santé de la population et de rentabilité des entreprises sont conciliables. La promotion de la saine alimentation est une responsabilité partagée. Les projets de promotion de saines habitudes de vie s’arriment aux orientations et aux actions du Plan d’action gouvernemental. Ils contribuent ainsi à sensibiliser l’industrie AA afin d’accroître la variété, la disponibilité et l’accessibilité des aliments sains. De tels projets et initiatives auront des effets positifs sur la mise en place d'environnements favorables et de nouvelles normes sociales ainsi que sur l'adoption de saines habitudes de vie chez les jeunes québécois. Sommet des leaders sur l’alimentation (ICPA) – Février 2010 Sommet des leaders sur l'alimentation (ICPA) - Février 2010
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