La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

PROGRAMME DE FORMATION EN HYGIÈNE ET SALUBRITÉ 2007

Présentations similaires


Présentation au sujet: "PROGRAMME DE FORMATION EN HYGIÈNE ET SALUBRITÉ 2007"— Transcription de la présentation:

1 PROGRAMME DE FORMATION EN HYGIÈNE ET SALUBRITÉ 2007

2 Chapitre 1 Connaissances en gestion des risques infectieux

3 Chapitre 1 1.3 Pratiques de base

4 PRINCIPES Propreté corporelle du personnel Comportements préventifs
Hygiène personnelle adéquate Vêtements propres changés quotidiennement Comportements préventifs

5 DÉFINITION DES PRATIQUES DE BASE
Les pratiques de base sont des mesures de protection que doit prendre le travailleur de la santé avec tous les patients. Ces mesures visent à prévenir la transmission des infections dans les établissements de santé: des patients aux travailleurs des travailleurs aux patients des patients à d’autres patients Prévenir l’acquisition d’une infection nosocomiale Les pratiques de base constituent l’élément fondamental du contrôle de la transmission des infections.

6 APPLICATION DES PRATIQUES DE BASES
Par tous les travailleurs dans un établissement de la santé À tous les patients et leur environnement (sans égard à leur diagnostic ou à leur statut infectieux potentiel) Lors de toute procédure Au contact: Sang Liquides organiques Sécrétions Excrétions teintées ou non de sang Muqueuses Peau non saine

7 Exemple Connaissance obligatoire par tous les travailleurs du réseau de la santé qui s’observe par des attitudes et des comportements adaptés et préventifs L’équipement nécessaire à l’application de ces mesures doit être disponible et accessible

8 OBJECTIF DU LAVAGE DES MAINS
1 OBJECTIF DU LAVAGE DES MAINS Éliminer les souillures et les micro-organismes nouvellement acquis par le contact (flore transitoire) Diminuer la quantité de micro-organismes résidents sur la peau (flore résidente)

9 FLORE RÉSIDENTE LA PEAU ET SA FLORE FLORE TRANSITOIRE
couche superficielle de l’épiderme survie limitée souvent la cause des infections nosocomiales FLORE RÉSIDENTE couche superficielle de l’épiderme 10 à 20 % dans la couche plus profonde devient dangereuse lorsque introduite dans l’organisme (plaie traumatique ou chirurgicale)

10 LES PRODUITS D’HYGIÈNE DES MAINS
Qui utilisent l’eau Savon hygiénique (savon ordinaire) Participe à l’élimination de la flore transitoire Savon antiseptique Contient un antiseptique à longue action Diminue la flore résidente Sans eau (distributeurs muraux aux portes de chambre) Assainisseurs de mains à base d’alcool 70 % alcool: action immédiate de destruction sans activité à long terme (flore transitoire) 70 % alcool + antiseptique longue action (flore résidente)

11 CONDITIONS D’UTILISATION DES ASSAINISSEURS DE MAINS À BASE D’ALCOOL
Sur des mains d’apparence propre Sans souillure Sans trace de gras ou autre Ne remplacent pas nécessairement, dans toutes les situations, le lavage des mains à l’eau et au savon Ne tuent pas les spores ni certains virus N’enlèvent pas les souillures et les résidus

12 TECHNIQUE DE LAVAGE DES MAINS AVEC SAVON RÉGULIER OU SAVON ANTISEPTIQUE

13 MÉTHODE D’UTILISATION GEL ANTISEPTIQUE
SUR DES MAINS D’APPARENCE PROPRE

14 ZONES SOUVENT OUBLIÉES DU LAVAGE DES MAINS
Action mécanique (friction) importante pour déloger les micro-organismes

15 QUAND SE LAVER LES MAINS ?
Dès qu’elles sont visiblement souillées Avant de donner des soins à un patient Immédiatement après avoir enlevé les gants Avant de boire, manger ou de fumer, après s’être mouché ou être allé aux toilettes Chaque fois qu’elles ont été en contact avec du sang, des liquides biologiques, des sécrétions, des excrétions, des objets ou des surfaces contaminés par ces substances En quittant une aire de travail

16 Retiennent les micro-organismes
IMPORTANT… Le lavage des mains est la mesure la plus importante pour la prévention de la transmission des infections Bien rincer les mains pour éliminer les résidus de savon et de bactéries Se sécher les mains complètement (l’humidité favorise la multiplication bactérienne) Fermer le robinet avec l’essuie-main Se servir de l’essuie-main pour ouvrir la porte si nécessaire Éviter le port de bijoux (brisent l’équipement de protection) de faux ongles de vernis à ongles Retiennent les micro-organismes

17 PROTÉGER SES MAINS Les cellules de la peau secrètent des huiles naturelles qui lui permettent de maintenir son élasticité et contribuent à sa bonne santé Le fait de travailler continuellement dans l’eau, la manipulation de produits de désinfection ou le port de gants prolongé favorisent la perte de ces huiles naturelles L’utilisation de la poudre dans les gants absorbe les huiles naturelles de la peau et favorise les dermatites Les extrêmes de température endommagent les cellules de la peau en réduisant les huiles naturelles sécrétées par ces dernières Froid hivernal Eau glacée Eau très chaude

18 PRENDRE SOIN DE SES MAINS
La peau saine est la première protection du corps Prendre un grand soin de l’intégrité de la peau des mains en les hydratant régulièrement Le personnel d’hygiène et salubrité doit avoir à sa disposition une crème hydratante, compatible avec le savon antiseptique et non allergène, afin de favoriser l’intégrité de la peau de leurs mains La crème à mains s’utilise immédiatement après un lavage de mains (mains propres)

19 POURQUOI PRENDRE SOIN DE SES MAINS ?
Les gerçures, la peau sèche et les plaies sont des lieux propices à la prolifération bactérienne car elles: Emprisonnent les micro-organismes Leur fournissent les conditions de survie Les bactéries sont difficiles à déloger malgré une excellente technique de lavage des mains

20 Portez attention à l’environnement!
2 GANTS DE PROTECTION Créent une barrière protectrice supplémentaire: contre le sang, les liquides organiques, les sécrétions, les excrétions et les muqueuses Protègent la peau d’un contact continu avec l’eau et les produits de nettoyage S’utilisent si risque de contact avec une peau non intacte Ne remplacent pas le lavage des mains Utilisation unique, ne pas les réutiliser Enfiler les gants juste avant le contact avec du sang ou des liquides biologiques Les retirer de façon sécuritaire Les jeter le plus tôt possible et à l’endroit même où ils ont été utilisés Portez attention à l’environnement!

21 GANTS LA SUITE… Éléments à prendre en considération pour le choix d’un gant: Résistance aux produits utilisés Imperméabilité à l’eau Résistance au frottement Longueur recouvrant entièrement le poignet Matériel hypoallergène et souple Bonne préhension Disponible en différentes longueurs Réutilisable ou jetable SANS poudre re: dermatites Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006

22 GANTS DE PROTECTION Principe: 1 paire de gants = pour 1 geste =
Propagation ? Principe: 1 paire de gants = pour 1 geste = 1 patient ATTENTION Les gants ne doivent pas être portés en tout temps. Ils doivent être enfilés lorsque requis.

23 CATÉGORIES DE GANTS GANTS DE VINYLE GANTS DE NITRILE
Pas de résistance à la friction et à l’étirement, se déchirent facilement Intervention de courte durée et de peu de risques Non recommandés en hygiène et salubrité GANTS DE NITRILE Plus de résistance à la friction, légère élasticité Intervention à risque Utiles pour hygiène et salubrité Résistent au peroxyde d’hydrogène, au chlore etc.…

24 CATÉGORIES DE GANTS GANTS DE LATEX
Les plus résistants à la friction, bonne élasticité Intervention à risque Utiles pour hygiène et salubrité La protéine du latex se dissout au contact du peroxyde d’hydrogène stabilisé Allergènes: le latex est une protéine naturelle GANTS DE CAOUTCHOUC Épais et plus résistants à la friction Travaux ménagers Usage dédié à l’utilisateur L’intérieur et l’extérieur doivent être lavés quotidiennement et asséchés complètement

25 Les gants ne doivent pas être portés en permanence
GANTS LA SUITE… RÉUTILISABLES OU JETABLES ? Réutilisables utiliser le moins possible appartiennent à un travailleur laver et sécher à la fin de l’utilisation jeter lorsque déchirés ou usés, jamais dans une chambre en isolement Toujours se laver les mains lors du retrait des gants Les gants ne doivent pas être portés en permanence

26 GANTS DE PROTECTION Ne pas oublier que les gants sont une protection supplémentaire utile lorsque nécessaire Deviennent contaminés au contact d’un patient ou de l’environnement Et que tout ce que l’on touche avec des gants peut être un moyen de propagation et de contamination de l’environnement Retrait sécuritaire ? Technique SE LAVER LES MAINS APRÈS LE RETRAIT

27 TECHNIQUE DE RETRAIT CDC 2004

28 3 BLOUSE DE PROTECTION Pour protéger la peau exposée et prévenir la souillure des vêtements pendant toute activité susceptible de générer des éclaboussures ou des projections de gouttelettes de sang, de liquides organiques, de sécrétions ou d’excrétions La blouse n’est portée qu’une seule fois Port de blouse = port de gants Enfiler la blouse en premier Enfiler les gants en second, le gant doit couvrir le poignet de la blouse

29 BLOUSE DE PROTECTION Manches longues Couvre bien (grandeurs variées)
Poignets En dessous des genoux Ferme à l’arrière 2 attaches derrière cou taille

30 TECHNIQUE DE RETRAIT DE LA BLOUSE
Retirer les gants de protection Détacher l’attache au cou Détacher l’attache à la taille Retirer la blouse en la faisant glisser sans secouer de façon à ce que l’envers soit apparent (image) La disposer dans le panier à linge Utiliser le rince-mains Si port de masque, le retirer en dernier

31 TECHNIQUE DE RETRAIT CDC 2004

32 4 MASQUES DE PROTECTION Pour protéger les muqueuses du nez et de la bouche pendant toute intervention ou activité de soins aux patients qui risque de provoquer des éclaboussures ou la projection de gouttelettes de sang, de liquides organiques, de sécrétions ou d’excrétions Porter occasionnellement si le travailleur présente une infection des voies respiratoires et qu’il doit être en contact dans l’environnement immédiat d’une personne Pour protéger la muqueuse des yeux, il faut des lunettes de protection

33 CONSIGNES MASQUE DE PROTECTION
En tout temps, le masque doit être ajusté et recouvrir complètement le nez et la bouche Le masque ne doit être utilisé qu’une seule fois et changé si celui-ci est humide ou souillé Il ne doit jamais: être remis en place s’il a déjà été porté rester suspendu autour du cou Technique de revêtement Technique de retrait

34 RETRAIT DU MASQUE DE PROTECTION
Toujours manipuler le masque par les cordons lors du retrait afin de ne pas se contaminer les mains CDC 2004

35 VARIÉTÉS DE MASQUES Chaque masque a son utilité propre
Masque de procédé Masque chirurgical Respirateur ou masque à haut pouvoir filtrant ou à épuration d’air (95 % - 99 % %) Respirateur à cartouche chimique Il est requis, dans certaines circonstances, de porter des lunettes de protection ou une visière avec le masque afin de protéger la muqueuse des yeux des risques d’éclaboussures par le sang ou les liquides biologiques

36 MASQUE DE PROCÉDURE À porter par le travailleur s’il présente de la toux ou une infection respiratoire (portée  1 mètre) Protège l’environnement des éclaboussures salivaires ou nasales que peut répandre la personne qui le revêt Protège la personne qui le revêt des agents pathogènes contenus dans les gouttelettes (5 microns) émises dans l’environnement immédiat Masque à utiliser en situation de précautions additionnelles en vue de se protéger de la transmission par gouttelettes Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006

37 MASQUE CHIRURGICAL Protège l’environnement des éclaboussures salivaires ou nasales que peut répandre la personne qui le revêt Protège la personne qui le revêt des agents pathogènes contenus dans les gouttelettes (5 microns) émises dans l’environnement immédiat Peut protéger contre les éclaboussures si le masque dispose d’une protection contre les liquides biologiques N’offre aucune protection si le contaminant est un gaz (ex.: monoxyde de carbone) ou des vapeurs (ex.: solvant tel éthanol) Utilisé en situation de précautions additionnelles en vue de se protéger de la transmission par gouttelettes Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006

38 RESPIRATEUR FILTRANT MASQUE À ÉPURATION D’AIR
Masque à haut pouvoir filtrant pour les particules < 5  Masques type N-95 et N-100 Approuvé NIOSH National Institute for Occupational Safety of Health Nécessite test d’étanchéité afin de tenir compte de la morphologie du visage et de s’assurer d’un bon ajustement sur le visage (pas de barbe) Filtre les particules : réduit l’exposition aux agents infectieux aéroportés, à la poussière, à la fumée et aux brouillards Composé d’un filtre mince qui couvre le nez, la bouche et le menton Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006

39 RESPIRATEURS À CARTOUCHES CHIMIQUES
Comportent une ou plusieurs cartouches Utilisés pour la protection respiratoire contre les contaminants chimiques sous forme de gaz ou de vapeur Un pré-filtre peut être ajouté pour protéger des poussières Les cartouches portent une indication NIOSH Le choix de la cartouche varie selon le type de contaminant Les cartouches ont une durée de vie limitée Des règles d’entretien doivent être respectées Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006

40 5 PROTECTION OCULAIRE Protéger contre la projection de gouttelettes de sang ou de liquides biologiques Réutilisable désinfectée après chaque utilisation Usage unique (préférable) En hygiène et salubrité, elle sert surtout à se protéger de la projection de gouttelettes de produits chimiques

41 PROTECTION OCULAIRE Doit assurer une vision adéquate à l’utilisateur
Doit être munie de pare-éclats latéraux Lunette ou visière réutilisable idéalement dédiée à un travailleur, sinon prévoir un protocole de nettoyage et désinfection Lunette ou visière à usage unique doit être jetée immédiatement après l’utilisation

42 6 ÉQUIPEMENT DE SOINS Tout l’équipement de soins doit être nettoyé puis désinfecté Entre chaque patient Après le départ du patient À qui appartient cette responsabilité ? Équipe de soins…. Quel est le rôle du préposé en hygiène et salubrité ? À quel moment ?

43 PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
Comportement à risque ? Manipulation du matériel souillé (pansements, gants de protection…) Éclaboussures de sang ou liquides biologiques doivent être essuyées par la personne qui le constate par la suite, désinfection par l’équipe de salubrité ou l’aide de service. Les zones humides Les surfaces usées, craquelées Risque

44 PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
Ne jamais projeter l’équipement de protection Gants, blouse, etc. Literie souillée Placer dans les contenants appropriés Le matériel piquant tranchant immédiatement après usage Le matériel souillé ou contaminé Déchets, lingerie, literie Biomédical Cytotoxique Par l’utilisateur… je me ramasse

45 PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
Rôle partagé entre les divers intervenants Le nettoyage et la désinfection relèvent de l’hygiène et salubrité Plus l’environnement est « maîtrisé », plus le risque infectieux lié à cet élément diminue. Cependant, ceci doit s’accompagner de comportements adaptés.

46 RESPONSABILITÉS PRATIQUES DE BASE
Nettoyage et désinfection du matériel de soins « C’est pas mon problème… Qui en est responsable? L’utilisateur ??? Une cohésion d’équipe ???…» Matériel piquant/tranchant « Sauver des vies et/ou mettre la vie du personnel en péril » L’ensemble du personnel Protection de l’environnement « Responsabilité de tous » Hébergement  milieu de vie

47 « GRAND PRINCIPE » À RESPECTER
Toute surface se doit d’être nettoyée avant d’être désinfectée Toute surface doit être nettoyée avant d’être désinfectée MERCI !

48 LINGERIE ET LITERIE SOUILLÉES
6 LINGERIE ET LITERIE SOUILLÉES Principes Doivent être manipulées le moins possible Doivent être placées dans des sacs étanches et bien fermés Doivent être disposées dans des bacs ou supports de linge souillé près de l’endroit même où elles sont recueillies Ne doivent pas être secouées Ne jamais les déposer au sol Ne jamais les déposer sur un meuble Importance de ne pas croiser la lingerie propre avec la lingerie souillée Risque de contamination croisée

49 LINGERIE ET LITERIE PROPRES
Manipulées avec des mains propres Entreposées à l’abri de la poussière Retour à la buanderie de la literie Si apportée dans une chambre au chevet d’un patient : ne peut servir à refaire un lit Si échappée au sol Si déposée sur une surface humide

50 7 ÉQUIPEMENTS DE SOINS Définition: Tout article, appareil ou instrument pouvant être utilisé pour l’administration des soins aux patients. Peuvent être jetables ou réutilisables Tout équipement de soins qu’il soit visiblement souillé ou uniquement en contact avec une peau saine, nécessite un nettoyage et une désinfection avant d’être utilisé pour un autre patient. Manipuler prudemment l’équipement de soins souillé de sang, de liquides organiques ou de sécrétions de manière à prévenir l’exposition muco-cutanée, la contamination de l’uniforme et le transfert de micro-organismes à d’autres personnes ou à l’environnement.

51 TRAITEMENT DU MATÉRIEL STÉRILE
Norme CSA: Z 314 « À cause du risque de contamination croisée, on ne doit pas transporter ensemble les dispositifs stériles et souillés » Tout matériel stérile doit être entreposé ou transporté sur des surfaces propres et désinfectées, à l’abri de la poussière et des risques d’humidité. Les employés d’hygiène et salubrité ne doivent en aucun temps manipuler du matériel stérile ou désinfecter une surface où se trouve du matériel stérile Le matériel doit être retiré avant la désinfection des surfaces par le personnel soignant

52 TRAITEMENT DU MATÉRIEL
MATÉRIEL STÉRILE Tout matériel stérile qui a séjourné au chevet du patient, utilisé ou non, doit être retourné pour Nettoyage (décontamination) Stérilisation Matériel stérile jetable non utilisé (pansements) qui a séjourné dans la chambre du patient doit être jeté au départ MATÉRIEL NON STÉRILE Le matériel réutilisable doit être Nettoyé (décontaminé) Désinfecté après usage s’il doit servir à un autre patient ou au départ de ce dernier

53 Le matériel et l’équipement de soins doivent être déposés et entreposés sur des surfaces nettoyées et désinfectées (bionettoyage)

54 Désinfection des surfaces
DIFFÉRENCE DÉCONTAMINATION Opération au résultat momentané permettant d'éliminer, de tuer ou d'inhiber les micro-organismes indésirables, en fonction des objectifs fixés de réduction de la charge environnementale. La décontamination s'adresse uniquement à du matériel souillé DÉSINFECTION Opération au résultat momentané, permettant d'éliminer, ou de tuer les micro-organismes et/ou d'inactiver les virus indésirables portés par les milieux inertes contaminés Désinfection des surfaces

55 ÉQUIPEMENT DE SOINS LA SUITE
Matériel jetable: Réduit la possibilité de transmission d’agents pathogènes car il n’y a pas de partage d’un patient à un autre Matériel souillé confiné pour son transport (sac papier, plastique) vers l’utilité souillé, ces déchets ne doivent pas demeurer dans la chambre Aucune accumulation de matériel dans la chambre : Éviter la contamination de celui-ci Encombrer les lieux et rendre l’entretien des surfaces difficiles Matériel réutilisable: Les instruments et articles réutilisables peuvent servir de moyens de transmission de micro-organismes pathogènes Il est donc important de s’assurer que ce matériel n’est pas utilisé pour un autre patient avant d’avoir été traité adéquatement.

56 COLLABORATION Entre les divers services et le service d’hygiène et salubrité Libérer les surfaces à désinfecter Éviter l’encombrement Prévoir du temps pour permettre au préposé d’hygiène et salubrité d’accomplir sa tâche S’assurer de la collaboration de tous: visiteurs, professionnels, etc.

57 MATÉRIEL PIQUANT OU TRANCHANT
8 MATÉRIEL PIQUANT OU TRANCHANT Manipuler avec prudence le matériel piquant ou tranchant Utiliser les contenants identifiés à cette fin pour jeter le matériel Ne jamais transvider ces contenants Dès que le niveau de remplissage est atteint, bien refermer le contenant et le remplacer Bien sceller ces contenants et les transporter de façon sécuritaire à l’endroit prévu pour la collecte des déchets biomédicaux infectieux. En cas d’exposition accidentelle, consultez sans tarder le service ou la personne mandatée par l’établissement (Programme d’exposition au sang et aux liquides biologiques)

58 « Précautions additionnelles »
9 HÉBERGEMENT Selon la condition clinique d’un patient, lorsqu’on identifie un risque potentiel ou une confirmation du risque de transmission d’un pathogène, on procède alors à des mesures particulières appelées: « Précautions additionnelles »


Télécharger ppt "PROGRAMME DE FORMATION EN HYGIÈNE ET SALUBRITÉ 2007"

Présentations similaires


Annonces Google