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Le nouveau visage du Canada
SH11 : Ch.6-1 : P
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Explosion démographique : « baby-boom »
6,7 millions de Canadiens sont nés entre 1946 et 1961 (1/3 de la population). Le taux de naissance canadien était le plus haut du monde industrialisé à la fin des années 1950s. L’immigration a aussi augmenté.
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Le développement des banlieues :
La croissance économique a contribué au développement de ses quartiers en périphérie des grandes villes où le terrain coûtait plus cher. On construisait des grosses maisons et ils sont devenus des « cités dortoirs » car les gens partaient travailler en ville la journée et ne revenaient que le soir pour dormir.
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L’âge de l’automobile :
Les trajets quotidiens à la ville ont contribué à la culture de l’automobile. Elle représentait les éléments de l’après-guerre – technologie, progrès et liberté. À cette époque les gens ignoraient encore les problèmes associés avec la consommation du pétrole et le smog.
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Les femmes dans les années 50 :
Vie en banlieue centrée sur la famille traditionnelle. Messages dans les revues que l’absence de la mère au foyer = délinquance chez les jeunes alors seulement celles qui devaient travaillaient. La féminité est à la mode : jupes longues, tailles cintrées et talons hauts. Des nouveaux appareils ménagers diminuent le travail à la maison. Bientôt plusieurs femmes se sont senties comme prisonnières dans les banlieues et par le milieu des années 60s, elles sont à la recherche d’un autre mode de vie.
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La naissance de la culture de la jeunesse :
Plus de jeunes à cause du « baby-boom », plus grande influence Organisations : les Scouts et les Guides Gouvernement construit de nouvelles écoles, parcs et centres récréatifs Plus grand taux de finissants du secondaire dans l’histoire Rock and roll : la rébellion de la jeunesse (Elvis et la culture afro-américaine)
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La télévision et la société de consommation :
Au début des années 50, un téléviseur coûtait environ 20% du revenu annuel mais c’est vite devenu un ‘nécessité’. Au Canada, la télévision en couleur n’existe qu’en On regard surtout les émissions américaines. (P.173 – En reconnaissez-vous?) Fini le rationnement de la guerre : la consommation est désormais la clé du bonheur. Les publicités idéalisées sont partout.
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Protéger la culture canadienne : la commission Massey
À cause de la télévision, les enfants des années 50 grandissent avec la culture et les valeurs américaines. (émissions, publicités et nouvelles) 1949 : PM Saint-Laurent crée la commission Massey pour faire un rapport sur l’état de la culture canadienne.
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La commission Massey Le rapport sorti en 1951 recommande de protéger la culture canadienne : CBC, qui était un réseau de radio, devient responsable de la promotion de la culture canadienne à la télévision et ouvre ses 2 premières stations à Toronto et à Montréal en Par 1960, 90% des Canadiens avaient un téléviseur et pouvaient regarder la CBC. L’ONF (Office national du film) reçoit plus d’argent, les universités aussi. Création du Conseil des arts du Canada qui finance des écrivains, des artistes et des théâtres. CRTC (Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes) est créé en 1968 pour imposer des règles de contenu canadien. (~40% sur les radios)
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L’immigration après la guerre :
Immigration restrictive de : Favorise les européens, et surtout ceux du nord en créant qu’ils adapteraient mieux au climat. Avec les soldats viennent les épouses de guerre. Le Canada accepte réfugiés après la guerre, dont plusieurs survivants des camps de concentration. Attrait économique : L’Amérique du nord prospère plus que l’Europe et 2 millions viennent de 1945 à 1960 pour des opportunités économiques. Cette fois, ils viennent travailler surtout dans les villes au lieu des fermes dans les prairies et les villes deviennent beaucoup plus multiculturelles. 1956 : On accepte Hongrois échappant une révolution communiste et en de nombreux Tchèques et Slovaques viennent pour les raisons semblables.
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Les communautés autochtones en transition :
Ils font toujours face à un racisme institutionnalisé – Les soldats autochtones ne reçoivent pas les mêmes avantages que les autres anciens combattants. Relocalisation forcée (p.179)
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L’enjeu de l’éducation :
Les enfants sont obligés de quitter leurs communautés pour aller aux écoles résidentielles dont le but était d’assimiler les enfants à la culture canadienne. Réussi? Peut-être mais cela a coûté la destruction des familles, des traditions et l’abus de plusieurs élèves. La dernière école n’a fermé ses portes qu’en À la demande des parents autochtones, le gouvernement a commencé à construire des écoles hors réserves avec des enseignants qualifiés et l’équipement plus moderne. Cependant, les enseignants qui s’y trouvaient n’avaient pas toujours la formation nécessaire pour répondre aux besoins des élèves qui en plus habitaient loin des écoles et devaient faire un long trajet en bus ou rester en pension.
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Les écoles résidentielles / Les pensionnats autochtones
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Les écoles résidentielles / Les pensionnats autochtones
Ce sont des pensionnats construits par le gouvernement canadien pour les enfants autochtones d’âge scolaire. C’était obligatoire pour les parents d’y envoyer leurs enfants qui, une fois là-bas, ont été ‘transformé’ en petits Européens et ne voyaient presque plus leurs parents. En regardant le clip réfléchissez à ces questions : Pourquoi est-ce que le gouvernement a créé ces écoles? Quel était leur but? Selon vous, quels étaient les résultats et quels problèmes à long terme ont été créés par cette politique assimilatrice?
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Des modifications apportées à la Loi sur les Indiens en 1951 :
Les femmes obtiennent le droit de vote au sein des bandes Le potlatch et le port d’insignes traditionnels n’est plus illégal Mais le gouvernement gardait le droit de définir le statut d’Indien et de contrôler la politique et l`économie des Autochtones.
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Questions P.173 #1-4 P.178 #2-3 P.179 #2
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