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LA GESTION DES FLUX D’INFORMATIONS LOGISTIQUES

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1 LA GESTION DES FLUX D’INFORMATIONS LOGISTIQUES

2 Des outils spécifiques à la gestion d'informations logistiques
Pour gérer les flux d'informations logistiques, il existe de nombreux logiciels. La plupart des entreprises utilisent un ERP (Enter-prise Resources Planning). Ce logiciel à vocation transversale peut intégrer des modules spécifiques à la gestion des informations logistiques, par exemple des modules APS (Advanced Planning System). Les modules APS offrent plusieurs types de fonctionnalités pour améliorer la qualité du ser­vice logistique rendu aux clients, tels que la pla­nification de la demande, la gestion des promo­tions, ou encore l'optimisation des tournées et des coûts de transport. Il existe par ailleurs une offre de logiciels spéci­fiques à la gestion des informations logistiques, concentrée plus particulièrement sur deux types d'outils : les WMS et les TMS

3 Warehouse Management System (WMS)
Logiciel d'aide à la gestion des entre­pôts et des produits qui y sont présents permettant de : définir et optimiser l'organisation de l'entrepôt ; connaître et suivre les produits dans l'entrepôt (emplacements et déplacements); assister le personnel de l'entrepôt lors des différentes opérations d'entreposage; faire du reporting et calculer des indicateurs de performance.

4 Transport Management System (TMS)
Logiciel d'aide à la gestion des trans­ports permettant de - planifier et optimiser les tournées de transport/livraison afin de réduire les coûts (optimisation du remplissage des camions, optimisation des temps d'utili­sation des chauffeurs); - suivre (traçabilité) ces tournées ; -faire du reporting sur les transports. Les TMS peuvent gérer les activités internes, mais aussi celles de prestataires. Exemples : Acteos, Sydel ou Oracle sont des éditeurs de TMS Les WMS et TMS sont capables de dialoguer ensemble ainsi qu'avec un ERP

5 Liaison établie par des étiquettes codées
Le suivi des produits tout au long de la chaîne logistique étendue nécessite de pouvoir identifier précisément tous les produits qui circulent à un moment donné et toutes les opérations (transformation, manutention dans les entrepôts ou transport) qu'ils subissent ou ont subies au cours de leur parcours Cette identification est réalisée grâce à des étiquettes codées apposées sur les produits . A chaque grande étape du trajet des produits, ces etiquettes sont lues (scannées). Ces lectures successives permettent de s'assurer que les produits circulant dans la chaîne logistique étendue sont bien ceux qui étaient annoncés et que leur acheminement s’effectue dans de bonnes conditions et vers le bon destinataire. Ces étiquettes constituent ainsi le lien entre les flux physiques de marchandises et les flux d’informations entre acteurs.

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7 L'identification des produits par des étiquettes code-barre
Le système d'identification le + utilisé aujourd'hui repose sur l'étiquette code barres. Une étiquette code-barres se présente sous la forme d'un alignement de barres verticales de largeur et d'écartement différents en dessous duquel se trouve une série de chiffres. Cette étiquette permet d'identifier de manière unique le produit sur lequel elle est apposée grâce à l'utilisation d'un même système de codage par les entreprises du monde entier. Chaque bien de grande consommation est ainsi désigné par un code unique à 13 chiffres. La lecture du code-barres s'effectue à l'aide d'un lec­teur optique relié à un ordinateur qui traduit le code visuel en repérant la largeur des barres verticales du code-barres et celle des espaces qui les séparent. En règle générale, c'est le fabricant du produit qui appose l'étiquette code-barres sur le produit. Elle est ensuite utilisée, sans modification, par toutes entreprises qui participent à son acheminement jusqu'au consommateur final.

8 Code EAN 8 les codes EAN 8 sont réservés à l'usage sur des produits de petite taille (paquets de cigarettes par exemple)

9 les codes EAN 13 sont utilisés dans les domaines food et Nonfood

10 Les codes EAN 128 sont un code-barres long pour l'identification numérique de produits et informations alphanumériques. Ils servent à identifier et tracer des produits dans une optique logistique. Entre autres : un marquage des unités logistiques (cartons contenant plusieurs articles), un suivi de produits expédiés en palettes ainsi que d'éventuelles dates de péremption des articles.

11 L'identification des produits par des étiquettes code-barre
Depuis quelques années, l'utilisation d'étiquette e-barres 2D se développe dans les entreprises. En effet, ces étiquettes, utilisant des formats stan­dards tels que QR (Quick Response) peuvent contenir beaucoup plus de données qu'un code-barres traditionnel, pour un cout un peu supérieur. Flashcode ou Data Matrix  est une marque désignant un format de données propriétaire de code à pixels (datamatrix) L'étiquette code-barres 2D se présente ainsi : (photo à gauche) les codes-barres 2D permettent aussi de mettre les utilisateurs en relation avec des sites Internet, notamment via leur smartphone.

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13 L'identification des produits par des étiquettes radiofréquencées
L’utilisation des technologies d'identification par radiofréquence (en anglais, Radio-Frequency Identification ou RFID) se développe rapidement dans le domaine de la logistique. Cette technologie per­met de remplacer les codes-barres par des éti­quettes (appelées tags) composées d'une puce élec­tronique, qui peut stocker une quantité importante d'informations, et d'une antenne qui permet la communication avec les systèmes de lecture. Celle-ci s'effectue au travers d'échanges d'ondes radio avec l'étiquette radiofréquencée. De fait, l'étiquette n'a pas besoin d'être visible pour être lue. Les avantages de ce système par rapport aux éti­quettes code-barres sont nombreux : outre une capacité de mémorisation considérable, il permet une lecture rapide, à distance et sans visibilité. Cette technologie permet d’identifier un objet, d’en suivre le cheminement et d’en connaître les caractéristiques à distance grâce à une étiquette émettant des ondes radio, attachée ou incorporée à l’objet. La technologie RFID permet la lecture des étiquettes même sans ligne de vue directe et peut traverser de fines couches de matériaux (peinture, neige, etc.). Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collés ou incorporés dans des objets ou produits et même implantés dans des organismes vivants (animaux, corps humain2). Les radio-étiquettes comprennent une antenne associée à une puce électronique qui leur permet de recevoir et de répondre aux requêtes radio émises depuis l’émetteur-récepteur.

14 On distingue 3 catégories d’étiquettes RFID :
Les étiquettes en lecture seule, non modifiables, Les étiquettes « écriture une fois, lecture multiple », Les étiquettes en « lecture réécriture ». Par ailleurs, il existe deux grandes familles d'étiquettes RFID : Les étiquettes actives. Les étiquettes actives sont équipées d’une batterie leur permettant d’émettre un signal. De ce fait, ils peuvent être lus depuis de longues distances, contrairement aux marqueurs passifs mais à un coût plus élevé et avec une durée de vie restreinte.. Cependant, une émission active d’informations signale à tous la présence des marqueurs et pose des questions quant à la sécurité des marchandises. Les étiquettes passives, Ce sont des dispositifs passifs, ne nécessitant aucune source d’énergie en dehors de celle fournie par les lecteurs au moment de leur interrogation. Ces étiquettes à moindre coût sont généralement plus petites et possèdent une durée de vie quasi-illimitée. En contrepartie, elles nécessitent une quantité d'énergie non négligeable de la part du lecteur pour pouvoir fonctionner.

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16 Faire circuler l'information entre les acteurs d'une chaîne logistique étendue
1. L'échange de données Informatisé (EDI) De plus en plus souvent, la circulation de l'infor­mation entre les différentes entreprises interve­nant dans une chaîne logistique étendue est assu­rée par des systèmes d'échange de données informatisé (EDI L'EDI permet de transférer automatiquement des informations logistiques, telles que des com­ mandes, des avis d'expédition ou de réception de marchandises, du système d'information d'entreprise au système d'information d'une autre entreprise, sous forme électronique. 2. Les outils de l'EDI La mise en place de l'EDI nécessite de disposer : d'un langage informatique standardisé, commun à l'ensemble des partenaires, qui leur permette de comprendre les données reçues, quelle que soit l'entreprise qui les a émises ; d'un système de traduction (un serveur ou de l'espace dédié sur un serveur avec un logiciel de traduction) permettant de convertir les données circulant entre entreprises dans le langage com­mun sous une forme compréhensible par le sys­tème d'information de l'entreprise ; d'un étiquetage des produits circulant sur la chaîne logistique étendue afin que chaque inter­venant puisse vérifier que la marchandise reçue correspond bien à ce qui a été expédié (étiquettes code- barres ou tags RFID) ; d'un accès à un réseau de télécommunication sécu­risé ou d'un accès haut débit à Internet (associé aux services d'un prestataire spécialisé dans le cryptage des données) par lequel les données peuvent circu­ler entre les entreprises. Les entreprises font en effet, pour l'EDI, une utilisation croissance d'Internet asso­cié aux formats de données de type XML

17 3. Avantages de l'EDI et enjeu principal
L'EDI remplace des modes plus anciens de circu­lation de l'information entre entreprises, tels que le courrier, le fax ou le téléphone. Il permet : une réduction des coûts et des délais (suppres­sion des ressaisies, des expéditions postales, de certains contrôles) ; une amélioration de la qualité de service (dimi­nution des erreurs, des litiges, des retours) ; une réactivité accrue (réduction des stocks et des délais de réapprovisionnement, meilleure traçabi­lité. L'enjeu principal de l'EDI porte sur la sécurité informations qui circulent entre les entreprises leurs partenaires logistiques

18 4. Le WebEDI Les coûts d'accès à un système EDI sont généralement trop lourds pour de nombreuses TPE PME. Un dispositif technique plus adapté à cette caté­gorie d'entreprises, et moins coûteux, a donc été développé : le WebEDI ou échange de formulaire informatisé (EFI). Le WebEDI est une version allé­gée de l'EDI classique. Dans le cadre de ce système, une PME envoie informations logistiques à ses partenaires commerciaux (clients ou fournisseurs) par le biais de simples s qui sont ensuite traduits en langage EDI avant d'arriver à leur destinataire. Ce dentier peut ainsi intégrer automatiquement ces informa­tions logistiques à son système d'information. Dans l'autre sens, une PME peut aller récupérer les infor­ mations logistiques qui lui sont envoyées par ses partenaires commerciaux sur un portail Internet dont l'accès est sécurisé (sous une forme lisible par n'importe quel navigateur Internet). L'utilisation du WebEDI nécessite simplement de disposer d'un ordinateur connecté à l'Internet haut débit et de payer une redevance relativement modique pour les services de traduction des mes­sages en langage normalisé EDI. En outre, peu de connaissances techniques sont requises. Il existe plusieurs prestataires spécialisés dans le WebEDI

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