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Lanterne photogénique, Jules Duboscq c

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Présentation au sujet: "Lanterne photogénique, Jules Duboscq c"— Transcription de la présentation:

1 Lanterne photogénique, Jules Duboscq c
Lanterne photogénique, Jules Duboscq c. 1860, Collection de la Cinémathèque française

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5 Étienne-Gaspard Robert, Mémoires récréatifs, scientifiques et anecdotiques d'un physicien-aéronaute, tome 1 : « La Fantasmagorie ». Rééd. Cafe Clima (2000).

6 Petite chronologie des machines pré-cinématographiques
1825 : invention d’un jouet pour enfant, le thaumatrope. 1832 : le physicien Joseph Plateau invente le phénakistiscope. 1834 : invention du zootrope par le mathématicien anglais W. G. Horner. 1877 : Emile Reynaud invente le praxinoscope… 1888 : … puis le théâtre optique, dérivé du praxinoscope. 1881 : le physiologiste Etienne-Jules Marey photographie une mouette en plein vol grâce au fusil photographique 1882 : … et met au point le chronophotographe à plaque fixe. 1884 : George Eastman industrialise la fabrication de pellicule en bobines de papier. 1888 : Rapidement la pellicule celluloïd remplace le support papier. Marey met au point le chronophotographe à pellicule. Il y apporte diverses modifications jusqu'en 1891. 1894 : lancement dans le commerce des kinétoscopes Edison. 13 février 1895 : les frères Lumière déposent le brevet du cinématographe. 28 décembre 1895 : première séance publique et payante de cinématographe Lumière dans les sous-sols du Grand Café à Paris

7 Thaumatrope

8 Phénakistiscope inventé simultanément par le Belge Joseph-Antoine Ferdinand Plateau ( ) et l’Autrichien Simon Stampfer (1790 – 1864) en Il fut commercialisé en 1833. C’est un disque contenant une séquence d'images fixes et autant de fentes qu’il y a d’images. Si l’on observe à travers les fentes obturatrices du disque en rotation les vues successives se reflétant dans un miroir, on voit les images s’animer parfaitement.

9 Phénakistiscope (1832) Zootrope
(inventé en 1834 par William George Horner)

10 Henry Peach Robinson: Fading away (1858)
Combinaison / montage de cinq négatifs

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12 Image of a moving panorama from Scientific American, Vol
Image of a moving panorama from Scientific American, Vol. 4, Issue 13 (December 16, 1848), page 100

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14 Eadweard Muybridge (1830-1904):
Ascending Stairs ( )

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16 Etienne-Jules Marey: Chronophotographe (1890)

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19 Pélican en vol, photographié par Marey vers 1882 au moyen du fusil photographique, qui permet de décomposer le mouvement sur une seule image. Étienne-Jules Marey, né à Beaune le 5 mars 1830 et mort à Paris le 15 mai 1904, médecin et physiologiste français et un pionnier de la photographie et un précurseur du cinéma.

20 Marey: Saut à la perche

21 Étienne-Jules Marey: Homme qui marche (1890-91)

22 Marey: Saut de L’homme en blanc

23 Georges Demenÿ (à droite, sans chapeau) avec Marey (à gauche)

24 JE VOUS AI ME En 1891 et 1892, Georges Demenÿ met au point un appareil, dit phonoscope, qui permet pour la première fois de projeter sur écran les films chronophotographiques de Marey. Les images des films sont découpées, puis disposées sur un disque de verre transparent.

25 Using Marey’s 1882 fixed-plate chronophotographic camera, Demenÿ photographed himself as he uttered such phrases as “Je vous aime”. He then arranged waxed-paper prints of his image in sequence around the circumference of a metal disk, which was placed with a shutter disk in an instrument that Demenÿ called the photophone. When the apparatus was placed in front of a light source and the two disks rotated in manner of a phenakistoscope, the viewer beheld simulated motion. In 1892, Demenÿ replaced the metal disk with glass and was able to project animated images by means of a light source placed behind the photoscope box. He patented this new invention as the phonoscope. Demenÿ later claimed to have been successful in synchronizing sound by means of a phonograph, but there is no extant evidence to support this claim.

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27 Rrose Sélavy : personnage fictif créé par Marcel Duchamp en 1920.
Son nom apparaît pour la première fois sur Fre(n)sh Wi(n)dow, modèle réduit de fenêtre à la française (fresh widow = veuve fraîche). Le nom de Rrose, qui ne prend alors qu’un seul r, est inscrit en signature sur la tablette. Elle figure ensuite dans une série de photographies réalisées par Man Ray, où Duchamp pose travesti en femme, maquillé et chapeauté. Le nom choisi évoque la phrase « Éros, c’est la vie ». Duchamp affirme également qu’il choisit le nom « Sélavy » pour sa sonorité juive (cf. Duchamp du signe). Le double r initial évoque, lui, le double « L » initial de certains noms gallois, comme « Lloyd ». Duchamp signe également du nom de Rrose Sélavy une série d’étranges calembours, par exemple : « Conseil d’hygiène intime : il faut mettre la moelle de l’épée dans le poil de l’aimée. »

28 Marcel Duchamp: « Nu descendant un escalier » no. 2 (1912)
Le tableau fait scandale lors de son exposition à l’Armory Show de New York en 1913, mais consacre la gloire de Marcel Duchamp et marque le début de l’art moderne aux États-Unis.

29 Fotodinamismo Futurista Anton Giulio Bragaglia (1890-1960)

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31 Bragaglia: Lo schiaffo (1912) (La gifle)

32 Anton Giulio Bragaglia:
Thaïs o Perfido incanto (1917) – durée 35’

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36 Jouet optique inventé par Émile Reynaud en 1880, le Praxinoscope à projection permet de projeter sur un écran des personnages en mouvement et un décor fixe

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38 Emile Reynaud, Theatre Optique - Proxinoscope

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41 Zoopraxiscope l'un des premiers dispositifs permettant la visualisation de courtes séquences animées. Il fut créé par Eadweard Muybridge, l'un des pionniers de la photographie en 1879.

42 Le Kinétoscope de Thomas Alva Edison, créé en 1888, brevetée le 24 août 1891

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47 Fred Ott, un employé de la Kinetoscope Company d’Edison

48 L'Aléthorama appareil à défilement continu breveté en 1896 par Paul Mortier

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50 Erste Krise: die Pariser Brandkatastrophe 1897
Der Bazar de la Charité wurde 1885 als Wohltätigkeitsveranstaltung in Paris eröffnet und einige Jahre später in der Nummer 17 der Rue Jean-Goujon (8. Arrondissement) aufgebaut. Er bestand bis zum 4. Mai 1897, als er durch eine Brandkatastrophe vernichtet wurde, bei der 129 Menschen den Tod fanden. Auf diesem Wohltätigkeits-Basar verkauften Damen der High Society Kunstgegenstände, die wegen der prominenten Verkäuferinnen gute Einnahmen erlösten. Die Verkaufshalle war eine Holzbaracke, mit viel Aufwand schön dekoriert. So wurde mit einer Theaterdekoration eine Straße des mittelalterlichen Paris gezeigt.

51 An die Rückwand des Basars war ein kleiner Filmvorführungsraum angebaut, in dem mittels eines Kinematographen-Apparats kurze Filmprogramme dargeboten wurden. Diese Apparatur war der Ausgangspunkt der Brandkatastrophe: Die Beleuchtung des Filmprojektors brauchte als Lichtquelle ein Kalklicht, das mit einer Ätherflamme arbeitete. Die leicht verdunstende, brennbare Flüssigkeit, dazu der Nitrozellulose-Film in einem Korb unter dem Filmapparat und weiterhin die leicht brennbaren Theaterdekorationen aus Baumwolle, trockenem Holz, Papier und Firnis boten den Flammen ideale Nahrung. In wenigen Minuten brannte die ganze Baracke, und die Brandhitze war so hoch, dass von außen kein Näherkommen möglich war. Erst als der Brand erloschen war, konnten die Leichen geborgen werden, die zum Teil so entstellt waren, dass ihre Identifizierung fast unmöglich schien.


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