Avec le support initial du Réseau Coopér’Âge (D.F. et A.C.)

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1 Avec le support initial du Réseau Coopér’Âge (D.F. et A.C.)
Rencontre FIL BLEU Santé-Solidarités Grand Âge 30 juin Nîmes : Mise en place progressive d’un dispositif de vigilance-bienveillance et d’inclusion des personnes âgées à l’échelle de la commune Prévenir le fréquent isolement des Personnes Agées (en particulier fragiles) … Développer des propositions collectives attractives, proches, incluant les P.A. dans la vie de quartier Mise en place progressive d’un dispositif de vigilance-bienveillance et d’inclusion des personnes âgées à l’échelle de la commune Dr Odile Vidonne Directrice du Pôle Promotion Santé de la Ville de Nîmes

2 Repenser la ‘‘vigilance’’?
Sommaire Repenser la ‘‘vigilance’’? Pourquoi, pour qui ? Avec qui, comment ? Et après ’’on va où’’?… ensemble ?? Tisser une palette complète de propositions avec des partenaires ressources, ‘locaux’, dans des lieux de quartier Le faire largement savoir pour le faire largement partager. Qui finance ? qui fait vivre ce dispositif partagé ? I. Qui le finance ? II. Qui le fait vivre ? Messages de conclusion. Ouvertures…

3 Repenser la ‘‘vigilance’’?
Pourquoi, pour qui ? Parce que 9,5% des nîmois >75 ans : pers. (1.500 > 90 ans) Retraités à bas revenus (127è ville de France/150 : €/an, 2011) Habitat dispersé, collines, 30 à 40% des 75+ isolés (3.000 à P.A.) Syst. d’Info. classiques juxtaposés, inadaptés/détection basculements Repérage tardif, institutionnel … sur situations déjà dégradées …malgré de nombreux relais de proximité possibles ! Garantir éthique, bienveillance, confidentialité en associant aussi d’autres partenaires … +proches.

4 Repenser la ‘‘vigilance’’?
Avec qui, comment ? Outre plan canicule … … Mise en place d’un n° tél dédié. (jours ouvrables + messagerie) 5 associations (fortes, proches, fédérées) relaient : visite à domicile Croix Rouge, Secours Catholique, Petits Frères des Pauvres, Asso Protestante de Services, Équipes St Vincent Outre présence associative proposée, offre choix d’activités de proximité : manuelles, culturelles, physiques, intergénérationnelles … +Écoute des demandes : impulser d’autres initiatives (proches des P.A., de leurs attentes)

5 Et après ’’on va où’’?… ensemble ??
Une palette de + en + complète de propositions, avec des partenaires ressources ‘locaux’, dans des lieux de quartier Nbreux partenaires activés proposant ateliers en proximité : centres sociaux, maisons de quartier, asso de quartier avec locaux, musées, bientôt théâtres associatifs … +Quelques activités transversales (échelle ville) : ateliers santé, mémoire… visites musées, visites ville… dont activ.+rencontres intergénérationnelles: : bibliobus, antenne Carré d’Art, formations … Avec MSA : étude (étudiantes)commandée/attentes P.A.

6 Et après ’’on va où’’?… ensemble ??
Le faire largement savoir pour le faire largement vivre Étendre au-delà des partenaires déjà actifs, la palette de ceux qui informent, sensibilisent (ville + quartiers) : Point-Info Seniors (municipal, en centre ville), Point-Info. Services du Gard, CCAS, SSIADs, … Bientôt aussi : boulangeries, tabacs, petits commerces … avec des messages simples Le bouche à oreille : excellent moyen de proximité !

7 Qui donc finance ? Et qui fait vivre ce dispositif partagé ?
Qui le finance ? Appui de la CARSAT-LR (notamment permanence tél. dédiée / aide à des actions innovantes). Mairie (pérenniser salaire/ coordinatrice ateliers de proximité) Synergies avec Charte des Personnes Âgées de la MSA (quartiers pilotes)

8 Qui donc finance ? Et qui fait vivre ce dispositif partagé ?
Qui le finance ? Qui le fait vivre ? Une coordination exigeante : bouscule habitudes/ missions propres, indépendantes Tisser + de ponts avec le CHRU : ex. visiteurs Croix Rouge en EHPADs, Demain ? … des ‘‘référents de proximité’’ avec nos principaux partenaires (se soutenir, mener des ‘‘visites tournantes’’ dans leurs quartiers respectifs ?)

9 Quelques messages de conclusion … Ouvertures … Q Besoin « caché » à faire émerger Rôle prépondérant de la coordination (réunion mensuelle) Nécessité de temps de « partage de culture commune » entre associations Nécessité de mise en place d’un système d’informations partagées