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Le projet d'éclairage Fabrice ZAMPROGNO.

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1 Le projet d'éclairage Fabrice ZAMPROGNO

2 Projet d'éclairage 1. La salle, ou le lieu à éclairer Ses dimensions, sa forme, la couleur de ses parois, ses spécificités (poutres, piliers…) 2. L’utilisation de la salle La nature de l’activité impose un niveau (quantité) , ainsi qu’une qualité d’éclairement. 3. La source lumineuse Choisie en fonction de la qualité d’éclairement souhaitée, de critères économiques liés au coût d’installation, de fonctionnement, d’entretien. 4. Le luminaire Conçu pour accueillir la source lumineuse, il répondra aux critères de directivité de l’éclairage à installer (classe), aux critères de classe électrique, d’indice de protection, mais aussi de coût. 5. Les calculs

3 1. LA SALLE, ou LE LIEU à ÉCLAIRER
1.1. Ses dimensions. - Hauteur suspension source lumineuse : « h’ » - Longueur : « a » - Hauteur entre le plan de travail et la source lumineuse : « h » - Largeur : « b » - Hauteur totale : « ht » - Hauteur plan utile : « hu » ht = hu + h + h'

4 1. LA SALLE, ou LE LIEU à ÉCLAIRER
1.2. Coefficients de réflexion Suivant la couleur des différentes parois, la réflexion de la lumière sur celles-ci sera plus ou moins importante Très clair clair moyen sombre nul Plafond 8 7 5 3 Mur 1 Sol Ces facteurs de réflexions pourront être utilisés soit sous forme de pourcentages, (7 = 70%...), soit sous forme de chiffres composés : (731 = plafond clair; mur moyen; plan utile moyen sombre). Il faudra s'adapter aux données des tableaux d’utilance dont on dispose.

5 2. UTILISATION de la SALLE
2.1. Exigences normatives Articles R à R et R à R du Code du Travail fixant les règles relatives à l'éclairage des lieux de travail auxquelles doivent se conformer les maîtres d'ouvrage Circulaire d'application du 11 avril 1984 relative au commentaire technique des décrets Arrêté du 23 octobre 1984 relatif aux relevés photométriques sur les lieux de travail et aux conditions d'agrément des personnes et organismes pouvant procéder à ces contrôles. NF EN Juin 2003 Lumière et éclairage - Éclairage des lieux de travail - Partie 1 : lieux de travail intérieur ; Partie 2 : lieux de travail extérieurs. FD CEN/TR Mai Éclairage public NF EN Octobre 1999 Lumière et éclairage - Éclairage des installations sportives.

6 2. UTILISATION de la SALLE
2.1. Exigences de la norme La norme européenne d’éclairage intérieur NF EN définit trois exigences principales d’éclairage sur les lieux de travail : - L’éclairement moyen à maintenir et l’uniformité d’éclairement ( Emini / Emoyen > 0,8) sur le plan de travail. Un tableau renseignera sur le nombre de « lux » nécessaires à l'activité de la salle. - La valeur minimale de l’IRC liée à l'activité de la salle. - Le contrôle de l’éblouissement direct des luminaires

7 3.1. Critères de choix d ’une source lumineuse
3. LA SOURCE LUMINEUSE 3.1. Critères de choix d ’une source lumineuse - Qualité de lumière désirée (donc température de couleur et IRC). - Critères économiques (durée de vie; coût; consommation électrique... 3.2. Interdiction de certaines lampes Paliers Lampes interdites 01 / 09 / 2009 - Lampes à incandescence et halogènes non claires (opales, blanches, dépolies, etc.) - Lampes fluorescentes compactes de classe énergétique B - Lampes de classes F et G - Lampes à incandescence ≥ 100 W - Lampes halogènes ≥ 75 W et de classes D et E 01 / 09 / 2010 - Lampes à incandescence de 75 W - Lampes halogènes de 60 W et de classes D et E 01 / 09 / 2011 - Lampes à incandescence de 60 W - Lampes halogènes de 40 W et de classes D et E 01 / 09 / 2012 - Lampes à incandescence de 25 et 40 W - Lampes halogènes de 25 W et de classes D et E 01 / 09 / 2013 - Lampes à culots S14, S15 et S19 (dites « Linolites ») 01 / 09 / 2016 - Lampes de classe C

8 4.1. Le choix d’un luminaire
4. LE LUMINAIRE 4.1. Le choix d’un luminaire Conçu pour accueillir la source lumineuse, il répondra aux critères : - de classe photométrique (de A à J en éclairage direct et/ou T en indirect), - de rendement  (  direct et  indirect) - d ’indice de protection (IK et IP), - de modes de poses : encastré; semi encastré; suspendu... - mais aussi de coût.

9 5.1. Flux lumineux total 5. CALCULS
Le flux lumineux total FT (lm) à installer dans la salle est obtenu par la relation : E : éclairement à obtenir sur le plan de travail a : longueur de la salle b : largeur de la salle d : facteur de dépréciation (de 1,2 à 1,6) i et s : rendement inférieur et supérieur Ui et Us : utilance inférieur et supérieure. 𝐹 𝑇 = 𝐸.𝑎.𝑏.𝑑 η 𝑖 . 𝑈 𝑖 + η 𝑠 . 𝑈 𝑠

10 5.2. Détermination de l’utilance : U
L'utilance est le rapport du flux utile (reçu par le plan utile) au flux total sortant des luminaires. C'est donc une valeur <1. Elle est déterminée à l'aide de tableau. Elle dépend de la classe photométrique, du facteur de suspension (J), des facteurs de réflexion de la salle, de l'indice du local (K). Le facteur de suspension. La relation est : Dans la pratique, on prendra J = 0 ou J = 1/3 Indice du local K. 𝐽= ℎ′ ℎ+ℎ′ 𝐾= 𝑎.𝑏 𝑎+𝑏 .ℎ

11 Utilance U. Exemple : Pour un luminaire de classe C, de facteur de suspension J=0, d'indice de local K = 1,25 et de facteur de réflexion = 731, on obtient : U = 0,72

12 5.3. Nombres de luminaires Le nombre de luminaire N est donné par la relation évidente : Avec Flampe = flux lumineux d'une lampe Et n = nombre de lampe par luminaire. 𝑁= 𝐹 𝑇 𝑛× 𝐹 𝑙𝑎𝑚𝑝𝑒

13 5.4. Implantation des luminaires
Pour garantir un éclairement uniforme de la salle, il faut répartir les luminaires de manière homogène en ligne et en colonne (disposition anarchique interdite) a b N = NbLigne * Nb colonne Ex : éclairage avec 12 luminaires Répartition possible sur : 3 ligne et 4 colonnes 5.5. Interdistances entre deux luminaires a b ea ea/2 eb/2 eb ea = a/NbLignes eb = b/NbColonnes Remarque : on retrouve ea/2 (ou eb) entre les luminaires et les murs.

14 5.6. Interdistances maximales entre deux luminaires
Pour garantir un éclairement uniforme de la salle (Emini / Emoyen > 0,8), il faut vérifier que l'écartement n'est pas plus grand que la valeur maximale autorisée dans les sens longitudinal el et transversal et . Cette valeur maximum dépend de la classe photométrique du luminaire et de la hauteur h. 5.6. Interdistances maximales entre deux luminaires et el

15 6. Vérification de l'éblouissement
Depuis octobre 2009, la vérification de l'éblouissement se fait avec la methode de l'UGR. Celle ci remplace l'ancienne methode de Bodmann et söllner) On utilise des tableaux pour déterminer les valeurs de lUGR (Unified Glare Ratio) dans le sens transversal et longitudinal Voir TD.


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