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Navigation maritime Règles et sécurité

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Présentation au sujet: "Navigation maritime Règles et sécurité"— Transcription de la présentation:

1 Navigation maritime Règles et sécurité
ASE 2013/2014

2 Sommaire Sauvetage Moyens de communication Le chef de bord
Risques en eaux côtières Règles de sécurité Matériels et documents obligatoires

3 Signaux de détresse

4 Sauvetage Les opérations de sauvetage en mer sont coordonnées par les CROSS (Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage). En méditerranée : CROSS LA GARDE RADIO VHF canal 16 ou téléphone portable : 16 16 Les CROSS coordonnent l’action des nombreux moyens de sauvetage en mer : Moyens nautiques : vedettes de la SNSM, des Affaires Maritimes, des Douanes ou de la Gendarmerie, bâtiments de la Marine Nationale. Moyens aériens : hélicoptères et aéronefs de la Marine / Gendarmerie / Douanes ou sécurité civile.

5 Moyens de communication

6 Moyens de communication
La VHF MARINE Moyen radiophonique, type talkie-walkie, FM, multicanaux, Communication avec les organismes de secours, (Cross, sémaphore, capitainerie, moyens de secours en mer) … qui veillent H24 le canal 16 (156.8 MHz) Communication de bateau à bateau, (… sur un N° canal autre que 16 !!!) Réception des bulletins météo, d’alerte ou d’urgence. Si vous utilisez une radio (pas obligatoire), vous devez posséder le certificat de radiotéléphoniste restreint (CRR), ainsi que la licence d’exploitation associée au matériel radioélectrique.

7 Moyens de communication
La VHF « ASN » « ASN » = Appel Sélectif Numérique : Réseau radio VHF sur canal 70, Chaque bateau est identifié par un numéro « MMSI » (mondial) A l’appui sur le bouton « détresse », un message numérique contenant N° MMSI est envoyé par réseau radio à l’ organisme de secours régional. Si une VHF ASN est couplée à un GPS, la position géographique est envoyée dans le message de détresse.

8 Moyens de communication
L’AIS - « AIS » = Automatic Identification System Réseau radio VHF GMSK (Canaux VHF 87 / 88), Chaque navire équipé émet automatiquement : Son identité (MMSI), sa position, route, vitesse, etc (cadence : 2 à 180 sec) Les détails sur son transit : port de destination, etc (cadence : 5 minutes) Deux profils matériels : Récepteur AIS, « Transpondeur » AIS (émetteur et récepteur). Deux intérêts en mer : Fonction émission : Signaler sa présence (nuit, brume/brouillard, etc… ) Fonction réception : Surveiller les environs (comparable à un radar)

9 Moyens de communication
Les téléphones portables GSM - Portée en mer limitée, Ne permet pas toujours de déterminer la position géographique, Peut être un complément pour joindre ses proches à terre en cas de détresse ou envoyer du secours au large (16 16 Cross, 112 n° urgence européen, etc)

10 LE CHEF DE BORD

11 Code de navigation maritime
Le « chef de bord » : - est le commandant à bord (« capitaine »), - est légalement responsable : De ses actes, De son équipage. - est soumis au « code disciplinaire et pénal de la Marine Marchande »

12 Chef de bord : les devoirs
Avant d'appareiller : Vérifier les conditions de sécurité : Inventaire et examen du matériel, complément ou échange si besoin Respecter les limitations (catégorie de nav, Nb personnes max, ..) Prendre la météo (actuelle et prévisions)

13 Chef de bord : les devoirs
En mer : Respect de la réglementation et de l'environnement : Assurer la veille visuelle et auditive, Rester à l'écoute de la météo (VHF / Chenal 16) - Respect de la distance max d'éloignement … en fonction de la catégorie et du matériel de sécurité embarqué !! - Adapter l'allure en fonction de l'état de la mer - Ordonner le port des brassières de sauvetage à ses équipiers, - En cas de détresse, employer tous les moyens pour sauver les personnes sans mettre en péril son bateau et ses occupants - En cas d'accident corporel ou perte du navire, déposer au retour un « rapport de mer » aux affaires Maritimes.

14 Chef de bord : Responsabilités
En cas de non-respect du RIPAM : Défaut de veille, Défaut de matériel sécurité, Défaut d’assistance à personne en danger, délit de fuite, Vitesse excessive, conditions de sécurité non assurées etc : … les conséquences peuvent être : Retrait du permis, Amende. (l’un, l’autre, ou les deux…)

15 Risques en eaux côtières

16 Plongée sous-marine Tout navire support de plongeurs doit se signaler au moyen de l'un de ces pavillons ou de marques de manœuvre restreinte : A la vue de ces signaux : - Naviguer avec précaution (vitesse - , veille +) - Passer à au moins 100 mètres des signaux.

17 Le mouillage Respect de l’environnement :
Le mouillage peut être interdit dans certaines zones pour éviter la dégradation des fonds marins (parcs nationaux); Se renseigner sur la nature des fonds avant de mouiller, Rincer la ligne de mouillage après emploi (éviter la prolifération d’algues)

18 Ski nautique Deux personnes à bord du bateau tracteur :
- 1 titulaire du permis mer, qui se consacre au pilotage - la 2ème personne surveille le skieur.

19 Engins pneumatiques tractés
Le bateau tracteur doit arborer une flamme orange à sa poupe. Le filin reliant l’engin au tracteur doit flotter et être de couleur vive. Les personnes embarquées sur l’engin pneumatique doivent porter un gilet de sauvetage.

20 Véhicules nautiques à moteur
Scooter des mers, Motos des mers, Jet-skis : Ne peuvent naviguent que de jour, et à 2 miles maximum d’un abri. Matériel de sécurité : Gilet de sauvetage pour chaque personne, porté en permanence, Un moyen de repérage lumineux, Un anneau + cordage (remorquage) Un dispositif coupant le moteur en cas d’éjection du pilote.

21 Règles de sécurité

22 quantité à emporter = quantité calculée + Marge de sécu.
SECURITE Autonomie en carburant : quantité à emporter = quantité calculée + Marge de sécu. 1 – Mesurer la distance à parcourir : « D = ? » (Parfois un trajet simple, plus souvent un aller et un retour !!!) 2 – Choisir une vitesse de transit : « V = ? », 3 – V détermine la consommation « C = ? » (doc du moteur) 4 – Durée : Du = D / V (durée de fonctionnement du moteur), 5 – Quantité de carburant nécessaire « Qn = ? » : Qn = Du . C ( Litres = Heures x Litres / heure) 6 – Appliquer une marge de sécurité : 30 % recommandé. Qe = Du . C . 1,3

23 SECURITE / CARBURANT Exemple : Vous partez sur un point de pêche situé à 6 Nq du port, votre vitesse sera 6 Nd, et à cette vitesse vous consommerez 10 litres par heure. 1 – Mesurer la distance à parcourir : « D = ? » 2 – Choisir une vitesse de transit : « V = ? », 3 – V détermine la consommation « C = ? » (doc du moteur) 4 – Durée : Du = D / V (durée de fonctionnement du moteur), 5 – Quantité de carburant nécessaire « Qn = ? » : Qn = Du . C ( Litres = Heures x Litres / heure) 6 – Appliquer une marge de sécurité : 30 % recommandé. Qe = Qn . 1,3

24 SECURITE / CARBURANT Exemple : Vous partez sur un point de pêche situé à 6 Nq du port, votre vitesse sera 6 Nd, et à cette vitesse vous consommerez 10 litres par heure. 1 – Mesurer la distance à parcourir : « D = ? » => = 12 Nq 2 – Choisir une vitesse de transit : « V = ? » => 6 Nd 3 – V détermine la consommation « C = ? » => 10 L/h 4 – Durée : Du = D / V => 12 / 6 = 2 Heures 5 – Quantité de carburant nécessaire « Qn = ? » : Qn = Du . C = = 20 Litres 6 – Appliquer une marge de sécurité : 30 % recommandé. Qe = Qn . 1,3 = ,3 = 26 Litres

25 SECURITE / LIMITATIONS
Les limitations dépendent de deux points : - la qualification du chef de bord : Permis mer - option côtier : 6 Nq max d’un abri (quel que soit le bateau utilisé) La compatibilité du bateau avec les conditions météo : La capacité à rester manœuvrable par conditions météo difficiles dépend des caractéristiques du bateau. Les limitations du bateau sont définies par sa « catégorie de conception  ».

26 SECURITE / LIMITATIONS
Catégorie de conception Force de vent max toléré Hauteur des vagues max tolérée (m) Remarques A > 8 > 4 Pleine mer B < 8 < 4 Au large des côtes C < 6 < 2 Proximité du rivage D < 0,5 Eaux protégées

27 SECURITE / LIMITATIONS
Connaissant les limitations fixées par la catégorie du bateau, la logique suivante est appliquée : Les plaisanciers ont le choix de naviguer : en zone basique (jusqu'à 2 milles d'un abri), ou en zone côtière ( jusqu'à 6 milles d'un abri), ou en zone hauturière (au delà de 6 milles d'un abri) … dans la mesure où : ils n'affrontent pas des conditions de mer et de vent supérieures aux capacités de leur navire ; ils emportent à bord les matériels de sécurité correspondant à leur zone réelle de navigation.

28 Plaque signalétique CE
Constructeur, Modèle, Nombre max de personnes / Catégorie de conception, Ici : Soit 7 max et en catégorie B Soit 8 max mais en catégorie C Charge maximale recommandée.

29 Matériels et documents obligatoires

30 Matériel de sécurité obligatoire
Gilet de sauvetage : 1 par personne + 10% Feux rouges automatiques : 3 Un compas magnétique (si nav. à + de 2 Nq d’un abri) Ligne de mouillage (= Ancre + Chaîne + amarre). RIPAM (règlement international pour prévenir les abordages en mer) Carte marine (papier ou électronique, routière : non !!) Bouée de sauvetage (non requis si chacun porte son gilet individuel) Extincteur (si la documentation du bateau l’impose) Lampe (ou moyen de repérage lumineux) Miroir de signalisation

31 Matériel de sécurité obligatoire
(suite : 2/2) Sonde à main ou sondeur Dispositif d'obturation de la coque (jeu de pinoches) Système de remontée à bord (échelle) Dispositif de pompage (sauf navire autovideur) Moyen de signalisation sonore Pavillon national

32 Documents obligatoires
Titre de conduite : Permis mer Titre de navigation : Acte de Francisation si navire supérieur à 7 mètres (Douanes) ou Carte de circulation si navire de moins de 7 mètres (Aff. maritimes). Manuel du propriétaire si navire marqué CE Règlement sécurité Carte marine de la région fréquentée Licence d'exploitation et Certificat restreint (CRR) pour l'opérateur radio (si VHF à bord)

33 FINEX


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