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Lignes directrices de pratique clinique 2010 pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose au Canada Papaioannou A et coll. CMAJ 2010, 12 oct. [publication.

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1 Lignes directrices de pratique clinique 2010 pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose au Canada Papaioannou A et coll. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression].

2 Introduction aux principales modifications apportées aux lignes directrices
Section un

3 Préparation des lignes directrices
Nous avons consulté des intervenants clés afin d’établir les priorités Nous avons procédé à des revues systématiques de la littérature dans deux principaux domaines : Évaluation du risque de fracture Traitements de l’ostéoporose Nous avons établi diverses catégories de recommandations à partir de ces revues  Notes pour le conférencier : Nous avons interrogé des intervenants clés afin d’établir les priorités de ces lignes directrices. Une fois ces priorités établies, nous avons procédé à des revues systématiques de la littérature pour mettre à jour nos connaissances dans deux domaines principaux : 1) l’évaluation du risque de fracture et 2) les traitements de l’ostéoporose. Les experts et les médecins de premier recours ont inclus d’autres thèmes jugés importants dans la prise en charge de l’ostéoporose. Nous avons confié ces thèmes à des groupes de travail qui ont aussi effectué des revues systématiques de la littérature. Les recommandations reposent sur ces revues. Nous avons assigné à chaque étude un niveau de preuve selon les critères qui avaient servi à l’élaboration de la précédente version des lignes directrices sur l’ostéoporose. Les recommandations de pratique clinique se fondent sur les preuves les plus probantes et nous avons assigné une catégorie à chaque recommandation, conformément à l’approche utilisée lors de la précédente version des lignes directrices. Référence : Papaioannou A, Leslie WD, Morin S et coll Clinical Practice Guidelines for the Diagnosis and Management of Osteoporosis in Canada. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression]. Papaioannou A et coll. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression].

4 Population cible Femmes et hommes de > 50 ans
Lignes directrices 2010 Population cible Femmes et hommes de > 50 ans La portée des présentes lignes directrices n’englobe pas les autres groupes sujets aux fractures Notes pour le conférencier : La population cible de ces lignes directrices se compose des femmes et des hommes de 50 ans et plus. C’est pourquoi les revues systématiques se sont concentrées sur cette population. Bien que nous reconnaissions l’importance des autres populations exposées à un risque élevé de fracture (p. ex., personnes souffrant de maladie rénale chronique), les auteurs ont estimé qu’une revue en profondeur de ces problématiques dépassait le cadre de la présente version des lignes directrices. Référence : Papaioannou A, Leslie WD, Morin S et coll Clinical Practice Guidelines for the Diagnosis and Management of Osteoporosis in Canada. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression]. Papaioannou A et coll. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression].

5 Principales différences entre les versions 20021 et 20102 : Évaluation du risque de fracture
Les outils de prédiction du risque de fracture sur 10 ans tiennent compte d’autres facteurs de risque en plus de la densité minérale osseuse (DMO) pour améliorer la prise de décision clinique : CAROC : Initiative mixte de l’Association canadienne des radiologistes et d’Ostéoporose Canada3 OU FRAX : Outil d’évaluation du risque de fracture mis au point par l’Organisation mondiale de la santé4 Notes pour le conférencier : Depuis la publication des Lignes directrices de 2002 sur l’ostéoporose au Canada1, on a confirmé l’importance d’utiliser de multiples facteurs de risque pour prédire le risque quantitatif (absolu) de fracture. Les T-scores de densité osseuse sont difficiles à comprendre pour de nombreux patients, tandis que les médecins préfèrent la notion de risque absolu de fracture sur 10 ans, ce qui peut contribuer à faciliter le dialogue patient-médecin au sujet des risques et des avantages du traitement2. Par conséquent, en 2005, Ostéoporose Canada a adopté l’évaluation du risque absolu de fracture sur 10 ans comme méthode privilégiée pour établir le degré de risque et les résultats de la mesure de la densité minérale osseuse (DMO) chez les femmes et les hommes de 50 ans et plus3. Depuis lors, plusieurs outils ont fait leur apparition et peuvent être utilisés pour déterminer le risque de fracture sur 10 ans. Les recommandations de ne font référence qu’aux systèmes qui ont été testés et validés directement auprès de la population canadienne. Les deux outils validés sont CAROC3 et FRAX5. Références : 1. Brown JP, Josse RG clinical practice guidelines for the diagnosis and management of osteoporosis in Canada. CMAJ 2002; 167(10 Suppl):S1-34. 2. Leslie WD. Absolute fracture risk reporting in clinical practice: a physician-centered survey. Osteoporos Int 2008; 19(4): 3. Siminoski K, Leslie WD, Frame H et coll. Recommendations for bone mineral density reporting in Canada. Can Assoc Radiol J 2005; 56(3): 4. Papaioannou A, Leslie WD, Morin S et coll Clinical Practice Guidelines for the Diagnosis and Management of Osteoporosis in Canada. CMAJ 2010; sous presse. 5. Leslie WD, Goltzman D, Hanley D et coll. Canadian FRAX model calibration summary: CaMos and Manitoba BMD cohort comparisons (Technical Report, Osteoporosis Canada) 1. Brown JP, Josse RG. CMAJ 2002; 167(10 Suppl):S1-34. 2. Papaioannou A et coll. CMAJ 2010; sous presse. 3. Siminoski K et coll. Can Assoc Radiol J 2005; 56(3): 4. Leslie WD et coll. Technical Report, Osteoporosis Canada;

6 Principales différences entre les versions 20021 et 20102
Accent particulier sur les répercussions cliniques des fractures de fragilisation Accent particulier sur le fossé thérapeutique aux plans de l’identification et du traitement des personnes à risque élevé Notes pour le conférencier : La plus grave manifestation de l’ostéoporose est la fracture de fragilisation, définie par la survenue d’une fracture spontanée ou consécutive à un traumatisme mineur, comme une chute de la position debout ou d’une hauteur moindre1,2. Comparativement aux Lignes directrices de 2002,3 celles de 2010 mettent un accent particulier sur ces fractures et sur le fossé thérapeutique qui existe chez les personnes ayant subi ce type de fracture4. Références : 1. Kanis JA, Oden A, Johnell O et coll. The burden of osteoporotic fractures: a method for setting intervention thresholds. Osteoporos Int 2001; 12(5): 2. Bessette L, Ste-Marie LG, Jean S et coll. The care gap in diagnosis and treatment of women with a fragility fracture. Osteoporos Int 2008; 19:79-86. 3. Brown JP, Josse RG clinical practice guidelines for the diagnosis and management of osteoporosis in Canada. CMAJ 2002; 167(10 Suppl):S1-34. 4. Papaioannou A, Leslie WD, Morin S et coll Clinical Practice Guidelines for the Diagnosis and Management of Osteoporosis in Canada. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression]. 1. Brown JP, Josse RG. CMAJ 2002; 167(10 Suppl):S1-34. 2. Papaioannou A et coll. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression].

7 Principales différences entre les versions 20021 et 20102 (suite)
Augmentation de la dose quotidienne de supplément de vitamine D (D3)3 400 – UI pour les personnes de < 50 ans 800 – UI pour les personnes de > 50 ans Apport calcique quotidien moindre (de toutes sources) : mg Une approche des traitements actualisée et fondée sur des preuves Notes pour le conférencier : Les Lignes directrices incluent le récent énoncé d’examen et de recommandation d’Ostéoporose Canada au sujet de la vitamine D2, ce qui les distingue nettement des recommandations de Les Lignes directrices de 2010 incluent aussi un énoncé révisé sur l’apport calcique et une approche des traitements pharmacologiques actualisée et fondée sur des preuves. Références : 1. Papaioannou A, Leslie WD, Morin S et coll Clinical Practice Guidelines for the Diagnosis and Management of Osteoporosis in Canada. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression]. 2. Hanley DA, Cranney A, Jones G et coll. Vitamin D in adult health and disease: a review and guideline statement from Osteoporosis Canada. CMAJ 2010; 182: E610-E618. 3. Brown JP, Josse RG clinical practice guidelines for the diagnosis and management of osteoporosis in Canada. CMAJ 2002; 167(10 Suppl):S1-34. 1. Brown JP, Josse RG. CMAJ 2002; 167(10 Suppl):S1-34. 2. Papaioannou A et coll. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression]. 3. Hanley DA et coll. CMAJ 2010; 182: E610-E618.


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