La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Quelles perspectives pour les librairies independantes à l’heure du numérique ? Lyon 15 et 16 mai 2011.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Quelles perspectives pour les librairies independantes à l’heure du numérique ? Lyon 15 et 16 mai 2011."— Transcription de la présentation:

1 Quelles perspectives pour les librairies independantes à l’heure du numérique ? Lyon 15 et 16 mai 2011

2 La librairie sous le feu croisé de la révolution numérique et de la révolution commerciale
- Avancée de l’orientation-client. (plan Fnac « 100 % révolution client »), mais pas vraiment à la pointe.

3 La révolution numérique
Un nouveau circuit : le e-commerce La dématérialisation du produit De nouvelles habitudes d’achat et de consommation L’entrée de nouveaux acteurs avec de nouveaux modèles économiques

4 La révolution commerciale
De la distribution de masse « orientée produits » à un commerce « orienté client »

5 L’anticipation d’une accélération du changement
CREDOC / 31 mars 2017

6 Les deux grands facteurs de changement
Le choc des nouvelles technologies L’évolution des attentes et des comportements des consommateurs  Un environnement beaucoup plus concurrentiel  L’impérieuse nécessité d’une adaptation en profondeur : l’orientation-client CREDOC / 31 mars 2017

7 Un commerce « orienté-client »
CREDOC / 31 mars 2017

8 Le choix d’un scénario global
Les trois scénarios : - Le scénario du « règne du prix cassé », s’inscrit dans le sillage de la théorie de la roue de la distribution et fait jouer à la concurrence par les prix un rôle structurant. - Le scénario du « commerce de précision » met en scène un commerce qui prend acte de la diversité des attentes des consommateurs et généralise les stratégies de segmentation différenciation. - Le scénario du « commerce serviciel » décrit un commerce qui a dépassé une conception de son métier centrée sur l’achat pour la revente, pour se penser comme pourvoyeur d’effets utiles et apporteur de solutions. CREDOC / 31 mars 2017

9 Les acteurs du commerce physique de biens culturels
Engagement dans la révolution commerciale et la révolution numérique… mais à pas mesurés De fortes spécificités demeurent : Une forte « orientation produit » Très peu de « MDD » et de marques enseignes Une importante présence du commerce indépendant isolé

10 La prospective

11 La prospective Les facteurs partagés Les scénarios
La dynamique du commerce physique

12 1. Les facteurs partagés (1/2)
L’évolution du pouvoir d’achat : morosité en perspective. Les produits culturels encore épargnés ? L’évolution des comportements de consommation Achat malin et concurrence par les prix Un engouement pour le « petit » et le « proche » La sensibilité au développement durable Le vieillissement de la population Défavorable au marché du livre Favorable au commerce de proximité ?

13 1. Les facteurs partagés (2/2)
L’évolution de la géographie résidentielle et de la géographie du commerce La poursuite de l’étalement urbain ? Une chance pour le commerce de centre ville ? Des pôles de proximité périurbains ? Incertitude sur l’avenir des hypers Un risque d’apparition de surcapacités

14 2. Les scénarios La variable active : le rythme de la révolution numérique Trois scénarios : La pause La révolution tranquille Le big bang

15 La pause Arrêt de la dynamique de baisse de la part de marché
la dématérialisation ne s’opère qu’à un rythme lent la croissance du e-commerce marque un palier La conjoncture sur le marché des produits culturels est plutôt favorable

16 Les raison d’y croire Difficultés à faire émerger des modèles économiques convaincants et viables Le marché physique soutenu par les innovations et la baisse des prix Résistance des consommateurs Attachement à la matérialité Inertie des comportements Crainte du manque de « portabilité » Résistance des éditeurs/producteurs Riposte des distributeurs

17 La révolution tranquille
Poursuite des tendances des 5 dernières années Recul lent mais significatif de l’activité du commerce physique

18 Les raisons d’y croire Multiplication des offres et des modes d’accès (commerce de précision) Présence d’acteurs « rassurants » Amorce des rendements croissants (richesse de l’offre, baisse des prix, diffusion des terminaux…) L’inertie des modèles de consommation est progressivement vaincue Les éditeurs conservent la maîtrise du marché Efficacité relative des stratégies d’adaptation du commerce physique

19 Le big bang Accélération du processus de numérisation
Le commerce physique vit une crise grave La contraction du réseau déclenche un processus cumulatif

20 Les raisons d’y croire La montée en puissance des grands acteurs
Le combat des titans La diffusion accélérée des nouvelles pratiques (effet « boule de neige ») Les promesses du « cloud computing » Entrainement de gré ou de force des acteurs de l’amont de la filière DECE : Digital Entertainement Content Ecosysteml (55 acteurs)

21 3. La dynamique du commerce physique
Un appareil commerce en contraction : qui sort en premier ? Les hypers ? Convergence vers le livre ?

22 La dynamique du commerce physique
Accélération de la mise en place des stratégies d’adaptation amorcées Un commerce de précision : intelligence du marché, marketing relationnel, segmentation/différenciation Le développement des dimensions expérientielles et communautaires L’élaboration de nouveaux bouquets Le renforcement de la capacité de préconisation L’engagement dans le numérique comme support de l’orientation servicielle

23 Les priorités en matière d’adaptation
CREDOC / 31 mars 2017

24 Conclusion La dématérialisation prive le commerce d’une de ses raisons d’être principales : la fonction logistique d’acheminement des produits jusqu’aux consommateurs A un terme plus ou moins rapproché et avec une intensité variable selon le rythme auquel se déroulera la révolution numérique, la perspective d’une contraction de l’appareil commercial physique paraît inévitable

25 Inégale capacité d’adaptation des acteurs Les freins :
Un manque de familiarité avec la posture prospective Un fort attachement à l’organisation actuelle des filières culturelles Une culture « produit » peu favorable au marketing et à l’orientation-client Une taille moyenne trop petite

26 Les axes possibles d’une stratégie collective
Incitations aux regroupements, à la mutualisation Aides à l’investissement dans de nouvelles compétences (notamment intelligence du marché) Aides à l’expérimentation de nouveaux modèles économiques Profiter de la réforme de l’urbanisme commercial Mis en place d’outils de suivi et de diagnostic (centrale de bilans, suivi de l’évolution des représentations…)


Télécharger ppt "Quelles perspectives pour les librairies independantes à l’heure du numérique ? Lyon 15 et 16 mai 2011."

Présentations similaires


Annonces Google