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Roseline Le Squère, Responsable du développement de projets à l’UBS et experte EPALE 26 avril, Paris.

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1 Roseline Le Squère, Responsable du développement de projets à l’UBS et experte EPALE
26 avril, Paris

2 Un constat clair, une ambition forte
Grands enjeux sociétaux de la Grande École du Numérique lancée en 2015 suite à un constat très clair : emplois non pourvus dans les métiers du numérique en France Perspectives de emplois à pourvoir d’ici (cf. étude de la DARES 2015, Les besoins et l’offre de formation aux métiers du numérique Double ambition : former des personnes éloignées de l’emploi et de la formation aux métiers du numérique et répondre aux besoins des entreprises en termes de compétences du numérique Un réseau de formation  un label qui vient reconnaître la qualité de ces formations  des démarches pédagogiques pour un public éloigné de la formation et de l’emploi  une subvention d’amorçage Le but : initier / démarrer des formations sur des territoires

3 Les objectifs de la labellisation 1/2
Insérer socialement et professionnellement dans des métiers en lien avec le numérique Apporter une culture scientifique et technique Faire découvrir l’environnement économique et industriel impacté par le numérique Former avec et pour une conscience du développement durable : éco-conception, économie circulaire Accompagner au projet professionnel

4 Les objectifs de la labellisation 2/2
Pour obtenir le label, les formations doivent s’engager durablement pour faire du numérique un levier d’inclusion pour toutes et tous. Les formations s’adressent ainsi en priorité aux : jeunes peu ou pas qualifiés, ni en emploi, ni en formation femmes habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville Obligation d’une formation gratuite !

5 Le projet de Lorient Un travail d’un an pour repérer le public, structurer collectivement une offre pour garantir la réussite à 18 stagiaires de la formation Très forte implication politique Lien avec le GEN national très faible, mais ancrage régional et territorial très fort. Relais très bien fait Des problèmes se posent sur la pérennité de ce dispositif

6 Les mots-clés La valeur territoire est à prendre en compte : que peuvent faire les territoires pour identifier, accompagner, former, remettre à l’emploi les publics NEETS?

7 Les grandes réussites Une opportunité à tous les niveaux : pour les stagiaires mais aussi pour le territoire et les structures participantes La dimension projet est perçue comme une réussite. Cela nous renvoie aux années prochaines : sans le cadre projet, comment garantir le même niveau de réactivité du territoire? Comment assurer l’engagement des collectivités, des entreprises ? Avec quels outils?  par exemple : contrat d’engagement de 03 ans mini? Le fait d’avoir intégré les Quartiers Prioritaires de la Ville est un facteur de réussite. Cela signifie que DIGISKOL doit continuer à être indexé aux politiques stratégiques du territoire. La formation doit pouvoir s’adapter à son environnement et doit pouvoir revoir ses critères de recrutement, si nécessaire. (cf. aussi les documents de suivi sur l’emploi, barographe du Pays de Lorient)

8 Les points de vigilance
Ici, c’est très clair : priorité aux stagiaires: c’est le souci commun à toutes les parties prenantes Associer davantage de partenaires avec des offres « fermes » de stages, d’accueil en formation, voire d’emplois Veiller à rééquilibrer les modules de formation si nécessaire, et pour pouvoir s’adapter au marché de l’emploi Ajuster la procédure de recrutement dans le respect de critères de diversité

9 Les freins à la réussite des stagiaires
Les réponses sont beaucoup plus diversifiées, et liées aux types d’acteurs et au lien créé avec les stagiaires. Les répondants représentant les structures n’ayant pas vocation à être au contact quotidien avec les stagiaires n’évaluent pas les freins. C’est trop tôt. Pour les personnes étant en contact plus direct et plus fréquent : la diversité des items représentée ici montre une série élargie et variée de freins possibles qui doit continuer à retenir notre attention cette année mais aussi pour les suivantes : Compétences de bases non acquises (français, maths par exemple) Capacité à transférer les acquis dans d’autres contextes (de stages, de formation ou d’emploi) Contexte social et psychologique : grande fragilité chez plusieurs stagiaires Les rythmes d’apprentissage : le 1er stage arrive trop tôt Le recrutement : adaptation des profils Comment veiller à l’accompagnement pour l’ensemble de ces freins ?

10 La force d’un réseau

11 Chiffres clés 269 formations labellisées en France en avril 2017
En attente d’autres formations suite à l’appel à labellisation clôturé fin février 2017 (300 dossiers de candidature) 5 000 apprenants en cours de formation Objectif annoncé en 2015 : 200 formations et apprenants

12 Références 1. Les besoins et l’offre de formation aux métiers du numérique 2. A l’occasion du Salon Eduspot, Samia Ghozlane, directrice de la Grande École du Numérique, est revenue pour Ludomag sur les ambitions portées au quotidien par nos formations labellisées : le développement des compétences numériques et l’inclusion des publics éloignés de l’emploi et la formation: 3. Le site de la Grande Ecole du Numérique 4. Le site DIGISKOL 5. Le projet


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