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Château de Chenonceaux
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Chenonceaux Chenonceau est construit, aménagé et transformé par des femmes très différentes de par leur tempérament. Il est édifié par Katherine Briçonnet en 1513, enrichi par Diane de Poitiers et agrandi sous Catherine de Médicis. Il devient un lieu de recueillement avec la reine blanche Louise de Lorraine, puis il est sauvegardé par Louise Dupin au cours de la Révolution française et enfin, métamorphosé par madame Pelouze. C'est ainsi qu'il est surnommé le château des Dames2, car « cette empreinte féminine est partout présente, le préservant des conflits et des guerres pour en faire depuis toujours un lieu de paix. Château meublé, décoré de rares tapisseries et peintures anciennes, c'est le monument historique privé le plus visité de France, serti de plusieurs jardins d'agrément, un parc et un domaine viticole ». L'ensemble du domaine, propriété de la famille Menier, accueille annuellement 850 000 visiteurs. Le château est classé au titre des monuments historiques depuis son inscription sur la liste de 1840 et le parc par arrêté en date du 7 novembre 1962.
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Construit en 1513, le château de Chenonceau célèbre en 2013 cinq siècles d'histoire. À cette occasion, divers événements et expositions se déroulent dans ce chef-d'œuvre architectural du Val de Loire, de mai à décembre À partir du 5 avril 2013, est également célébré le centième anniversaire de l'acquisition par la famille Menier du domaine de Chenonceau en 1913 et de son mécénat pour la sauvegarde de ce prestigieux monument. L'histoire du château est marquée par les femmes qui en sont les propriétaires et les bâtisseuses, d'où son surnom de « château des Dames » Une pièce du château est également dédiée aux filles et belles-filles de Catherine de Médicis, la chambre des 5 Reines.
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La billetterie. Après avoir emprunté la grande allée d’honneur et passé les deux sphinx à l'entrée du château, voici l'avant-cour du domaine.
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Après avoir emprunté la grande allée d’honneur bordée de platanes sur presque 1 km et passé les deux sphinx à l'entrée du château, voici l'avant-cour du domaine. À droite et bordant l'avant-cour, le bâtiment des Dômes et le musée de Cires. Au centre, devant le château, la Cour d'Honneur avec la Tour des Marques. À gauche, la Chancellerie construite au XVIe siècle qui mène au Jardin de Diane.
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Il est constitué d'un corps de logis presque carré
Le logis Renaissance. Il est constitué d'un corps de logis presque carré (22 m sur 23) de deux étages (plus un sous-sol) flanqué de tourelles d'angle, construit sur les puissantes assises de pierre de l'ancien moulin bordant naguère la rive droite. Celui-ci est prolongé d'un corps de bâtiment de deux étages et d'un comble qui s'appuie sur la façade Sud du logis, construit par Philibert Delorme en 1560 dans un style déjà presque classique, et reposant sur un pont de cinq arches enjambant le Cher. L'étage inférieur est notamment occupé par une galerie. On accède au rez-de-chaussée du corps de logis principal par un escalier suivi d'un petit pont.
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La tour des Marques. La tour des Marques est le seul vestige visible de l'ancien château médiéval de la famille des Marques, rasé par Thomas Bohier en Elle correspond au donjon de l'ancienne bâtisse, constituée d'une tour ronde, ainsi que d'une tourelle abritant la cage d'escalier. Bohier va réhabiliter la tour en lui donnant un aspect plus moderne, dans le goût Renaissance, grâce au percement de larges fenêtres à meneaux, d'une porte ouvragée, de lucarnes en pierre blanche, et l'ajout d'un clocheton, dont la cloche porte la date de Il fait également installer de petites consoles sur le chemin de ronde, et recouvre l'ancienne maçonnerie de mortier, cachant ainsi les anciennes archères, mais il subsiste néanmoins des traces.
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Les extérieurs et le Cher.
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Dans le fond les jardins de
Catherine de Médicis.
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L'entrée donne sur un vestibule central ouvrant sur quatre pièces de part et d'autre. D'un côté : une salle des Gardes, par laquelle on accède à une chapelle, la « chambre de Diane de Poitiers » et le « cabinet de travail de Catherine de Médicis ». De l'autre se trouve, un escalier donnant accès aux cuisines situées au sous-sol, la « chambre François Ier » et le « salon Louis XIV ». Au bout du vestibule, on accède à la galerie inférieure. L'escalier, à doubles volées droites, est accessible derrière une porte qui se situe au milieu du vestibule d'entrée. Il permet d'accéder aux étages supérieurs s'ouvrant chacun sur un vestibule : Le premier étage est constitué par le « vestibule Catherine Briçonnet », autour duquel se trouvent quatre chambres : « la chambre des Cinq Reines », la « chambre de Catherine de Médicis » (au-dessus de son cabinet vert), celle de César de Vendôme, et celle de Gabrielle d'Estrées (favorite d’Henri IV). Au fond de ce vestibule, se trouve là aussi une porte donnant aux pièces situées au-dessus de la galerie (celles-ci non visitables). Le second étage comporte, outre le vestibule, quatre pièces dont seule « la chambre de Louise de Lorraine » est visitable.
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La salle des Gardes. La cheminée porte les armes de Thomas Bohier tandis que les murs sont décorés d'une suite de tapisseries des Flandres du XVIe siècle représentant la vie de château, une demande en mariage, ou encore une scène de chasse. Les coffres, gothiques et Renaissance, contenaient l'argenterie avec laquelle la Cour se déplaçait.
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La chapelle. On pénètre dans la chapelle à partir de la salle des Gardes, par une porte en chêne surmontée d'une statue de la Vierge. Mme Pelouze fit ouvrir les fenêtres couplées qui furent munies de verrières d'après les dessins d'un certain Steinheil. Cette chapelle fut sauvegardée pendant la Révolution, Madame Dupin ayant eu l'idée d'en faire une réserve de bois de chauffage.
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Chambre de Diane de Poitiers.
La cheminée par Jean Goujon et le plafond portent les initiales de Henri II et de Catherine de Médicis entrelacées. Le « H » et le « C » forment par ailleurs malicieusement le « D » de Diane de Poitiers, la favorite de Roi. Le mobilier est composé d'un lit à baldaquin du XVIIe siècle, ainsi que de fauteuils en cuir de Cordoue. Sur la cheminée, on voit un portrait du XIXe représentant Catherine de Médicis, par Sauvage.
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Le lit à baldaquin de la chambre de Diane de poitiers.
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Galerie du Rez-de-chaussée. La galerie, longue de 60 mètres, large de 6 mètres, et comportant 18 fenêtres, possède un sol carrelé de tuffeau et d'ardoise, ainsi qu'un plafond à solives apparentes, servant de salle de bal, elle fut inaugurée en 1577 lors des fêtes données par Catherine de Médicis et son fils Henri III. À chaque extrémité, deux cheminées de style Renaissance, dont l'une n'est qu'un décor entourant la porte Sud qui mène à la rive gauche du Cher.
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Chambre de François Ier
Cette chambre contient la plus belle cheminée du château. Sur les murs sont exposés un portrait de Diane de Poitiers en Diane Chasseresse par Le Primatice, qui l'a réalisé ici en 1556. Cette chambre était également celle de Madame Dupin au XVIIIe siècle, où elle rend son dernier soupir le 20 novembre 1799.
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Ce salon tendu de rouge évoque le souvenir du séjour que fit
Salon Louis XIV. Ce salon tendu de rouge évoque le souvenir du séjour que fit Louis XIV à Chenonceau le 14 juillet La cheminée de style Renaissance est ornée de la Salamandre et de l'Hermine, en référence au roi François Ier et à Claude de France.
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Vestibule de Catherine Briçonnet
Le vestibule du premier étage est pavé de petits carreaux de terre cuite marqués d'une fleur de lys traversée par une dague. Le plafond est à solives apparentes. Au-dessus des portes est disposée une série de médaillons en marbre rapportés d'Italie par Catherine de Médicis, représentant les empereurs romains Galba, Claude, Germanicus, Vitellius et Néron. La suite de six tapisseries d'Audenarde du XVIIe siècle représentent des scènes de chasses et de « pique-nique » d'après des cartons de Van der Meulen.
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Chambre de Gabrielle d'Estrées.
Le plafond à solives apparentes, le sol, la cheminée et le mobilier sont Renaissance. Chambre de Gabrielle d'Estrées. Le plafond à solives apparentes, le sol, la cheminée et le mobilier sont Renaissance. Chambre de Gabrielle d'Estrées. Le plafond à solives apparentes, le sol, la cheminée et le mobilier sont Renaissance.
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Chambre des Cinq Reines.
Cette chambre rend hommage aux deux filles et aux trois belles-filles de Catherine de Médicis : la reine Margot, Élisabeth de France, Marie Stuart, Élisabeth d'Autriche, et Louise de Lorraine.
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Chambre de Catherine de Médicis.
La chambre de Catherine de Médicis est meublée d'un ensemble du XVIe ainsi que de tapisseries des Flandres du XVIe retraçant la vie de Samson.
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Cabinet des Estampes. Ces petits appartements, ornés d'une cheminée de la fin du XVIIIe siècle dans la première pièce, d'une autre du XVIe dans la seconde, présentent une importante collection de dessins et d'estampes représentant le château datant de 1560 pour le plus ancien, du XIXe pour les plus récents.
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La Galerie du premier étage.
La Galerie Haute sous Catherine de Médicis est divisée en appartements par des cloisons dont l'usage vraisemblable est destiné aux domestiques du château. Elle est reliée directement à la Grande Galerie du rez-de-chaussée par deux escaliers à vis, situés à l'extrémité opposée. La seule décoration est celle des deux cheminées sculptées d'esclaves enchaînés, qui se font face.
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Ce vestibule, qui conserve des traces de la restauration menée au XIXe siècle par Roguet, disciple de Viollet-le-Duc constitue un document décoratif.
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Chambre de Louise de Lorraine,
reflète le deuil de la femme d'Henri III. On y remarque la couleur noire dominante des lambris, les peintures macabres,
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Cuisines du sous-sol. Les cuisines sont installées au sous-sol auquel on accède par un escalier situé entre la galerie et « la chambre de François Ier ». Aménagées dans les piles assises du moulin ayant précédé le château qui forme un énorme soubassement, elles sont composées de plusieurs salles, dont l'office, salle basse aux deux voûtes en croisées d'ogives comportant une cheminée, la plus grande du château. À côté se trouve le four à pain.
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L'office dessert la salle à manger du personnel du château, la boucherie dans laquelle sont exposés les crochets pour suspendre le gibier et les billots pour les dépecer, ainsi que le garde-manger. Un pont se tient entre l'office et la cuisine à proprement parler. Le mobilier du XVIe siècle a été remplacé pendant la Première Guerre mondiale en un équipement plus moderne, pour soutenir les besoins de l'hôpital.
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Jardin de Diane. Le jardin de Diane de Poitiers, dont l'entrée est commandée par la maison du Régisseur : la chancellerie, construite au XVIe siècle ; au pied de laquelle se trouve un embarcadère, agrémenté d'une vigne, accès indispensable à toute promenade sur le Cher. En son centre se trouve un jet d'eau, d'une conception surprenante pour l'époque, le jet d'eau jaillit d'un gros caillou taillé en conséquence et retombe « en gerbe » vers un réceptacle pentagonal de pierre blanche.
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Jardin de Catherine de Médicis.
Le jardin de Catherine de Médicis est plus intime, avec un bassin central, et fait face au côté Ouest du château. La décoration florale des jardins, renouvelée au printemps et en été, nécessite la mise en place de 130 000 plants de fleurs cultivés sur le domaine.
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La galerie des Attelages.
La galerie des Attelages est créée au mois de janvier 2014 à l'intérieur de la ferme du XVIe siècle et expose une collection de voitures hippomobiles du XVIIIe jusqu'au XIXe .
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et des citronniers. Elle sert aujourd'hui de salon de thé et
Orangerie. Situé face au jardin vert, l'orangerie abritait à l'époque des orangers et des citronniers. Elle sert aujourd'hui de salon de thé et de restaurant gastronomique.
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Salle exposition. Infirmerie (guerre 14/18 ).
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Ferme du XVIe siècle. L'ensemble datant du XVIe siècle comprend les écuries de Catherine de Médicis, un potager et un atelier floral où travaillent aujourd'hui deux fleuristes pour la mise en fleurs des pièces du château. Le potager accueille plusieurs variétés de légumes et de plantes, dont plus de 400 rosiers.
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La Chancellerie .
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Le bâtiment des Dômes.
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Photos prises à la nuit tombante en rejoignant le parking.
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Quelques une du net avec la documentation.
Photos perso + Quelques une du net avec la documentation. Musique d’accompagnement . Mars
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