Elève en difficulté/ élève en échec. Aucun problème (gênant) de comportement mais passivité.

Présentation au sujet: "Elève en difficulté/ élève en échec. Aucun problème (gênant) de comportement mais passivité."— Transcription de la présentation:

1 Elève en difficulté/ élève en échec

2 Aucun problème (gênant) de comportement mais passivité

3 Agitation, hyperactivité

4 Gestion du temps

5 L'élève manque de temps, il en prend beaucoup pour entrer dans la tâche, il est souvent perdu par le rythme du cours mais il reste accroché si l'enseignant s'adapte à lui. Il ressent souvent une impression d'overdose (trop à assimiler en une séquence)

6 L'élève a trop de temps. Parfois il n'arrive pas à entrer dans la tâche ou y entre beaucoup trop vite. Très vite dépassé, il souhaite que le cours se termine le plus tôt possible d'où un sentiment d'ennui.

7 Relation à l'enseignant

8 L'élève sollicite de l'aide car il sait où sont ses erreurs.

9 Il ne sollicite pas d'aide car il ne parvient pas à s'évaluer, alors qu'il aurait besoin d'être guidé pas à pas.

10 Relation au groupe- classe

11 Le groupe peut aider l'élève à progresser et souvent l'élève est demandeur de ce type de travail

12 Le groupe gêne l'élève qui ne sait pas en tirer parti ou l'élève gêne le groupe par un comportement difficile

13 Relation à l'apprentissage

14 L'élève désire se corriger, s’améliorer. Mais il a du mal à comprendre, à réfléchir sur ses manières d’apprendre

15 L'élève est soit intolérant à l'incertitude, soit indifférent (il ne perçoit pas l'enjeu du travail). La correction de ses erreurs n'améliore pas ses performances. Il dit « avoir compris ». Ses travaux sont souvent décentrés par rapport à la consigne. Le sens du travail scolaire n'est pas compris voire rejeté.

16 L'écriture et la lecture

17 L'élève commet beaucoup de fautes (orthographe, syntaxe) et la graphie est mal contrôlée. La lecture est lente. L’élève manque de confiance en ses compétences et est paralysé par l’incompréhension partielle.

18 Les phrases sont partielles, tronquées, souvent phonétiques et presque illisibles. Mais l’élève a trop confiance dans ses compétences (ou fait semblant) et lit ce qu’il a envie de lire.

19 L’élève qu’on dit « trop scolaire »

20 L’élève qu’on dit « pas assez élève »