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Publié parsam mustapha Modifié depuis plus de 5 années
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CULTURE C'est l'ensemble des valeurs, des savoirs et des modes de pensée, des techniques, et des modes d'action, des modes d'expression et de communication qui sont communément partagés par une collectivité ou une population.
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DÉFINITION DE LA CULTURE D’ENTREPRISE La culture d’entreprise peut être définie comme étant l’ensemble des éléments particuliers qui expliquent les bases du fonctionnement d’une entité spécifique. Elle est un ensemble de valeurs, de mythes, de rites, de tabous et de signes partagés par la majorité des salariés d’une entreprise donnée. La culture d’entreprise est une variable essentielle pour expliquer le vécu quotidien et les choix stratégiques réalisés par un groupe social.
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MANAGEMENT INTERCULTUREL L'ensemble des stratégies ou modes de gestion des hommes ou des marchés qui prennent en compte les cultures nationales des interlocuteurs (clients, personnel, partenaires, pouvoirs publics, opinion publique).
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Composantes d’une culture d’entreprise 1.Les Valeurs: 4 Éthique Engagement Orientation client Esprit d'équipe Justice Honnêteté Simplicité Convivialité Ouverture au débat démocratique Professionnalisme Compétences managériales Confiance Communication Innovation Réputation Environnement Ambition Responsabilité
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récit phares héros un rôle décisif Sont des récit phares de l’histoire de l’entreprise, souvent construits autour des héros qui ont présidé aux destiné de l ’entreprise, ou qui ont eu un rôle décisif a un tournant de son histoire. mytheshéros locaux histoires propres Chaque entreprise a ses mythes, ses héros locaux, ses histoires propres, que l’on raconte aux nouveaux arrivant et aux visiteurs. 2.Les Mythes:
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3.Les Tabous: L’entreprise fonctionne comme une cellule familiale, elle a ses secrets, ses fautes, ses non-dits… 4.Les Symboles: Représentent l’image de l’entreprise. Différentiation avec les autres entreprises. 5.Les Rites: Ils sont pratiqués à l’occasion : d’une mutation, d’un départ a la retraite,
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Comment se forme une culture d’entreprise 7
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Modèles de de la culture d’entreprise Toutes les relations sont basées sur le pouvoir. Ce genre de culture résulte souvent dans des querelles internes concernant les statuts et les privilèges. Ces rapports durs et compétitifs effraient certains employés. 8 La culture du pouvoir :
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La culture des rôles définis : Ce genre de culture se retrouve surtout dans les institutions gouvernementales. Toutes les tâches, responsabilités et compétences sont reprises en détail dans les règlements et les manuels.
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La culture de la répartition des tâches : Cette culture de la répartition des tâches permet une action efficace et laisse de l'espace à l'improvisation. Les règlements et les processus qui ralentissent le travail sont donc bannis. Les aspects socio-émotionnels ne reçoivent pas beaucoup d'attention. Celui ou celle qui ne parvient pas à suivre le rythme sera tout simplement remplacé. 10
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La culture de l'individu: Ici, l'individu est l'élément central. L'entreprise est au service des gens, et non l'inverse. On y accorde beaucoup d'attention au développement de vos talents et à la réalisation de vos idées. Cette culture se retrouve surtout dans des structures jeunes et idéalistes.
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MANAGER L’INTÉGRATION CULTUELLE L'approche d'HOFSTEDE : L'analyse factorielle multicritères Cette approche repose sur une analyse statistique des critères culturels déterminants dans le management des hommes, qui a été réalisée au sein du groupe IBM au moyen de 116.000 questionnaires administrés en 20 langues dans 72 pays du monde. Les quatre critères déterminants du management permettant des comparaisons internationales sont:
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a.la distance hiérarchique Lorsqu'elle est élevée, elle signifie, pour HOFSTEDE, les principales caractéristiques suivantes: le pouvoir est un fait social de base les rapports économiques et sociaux sont marqués par l'inégalité et la dépendance Exemple: les pays méditerranéens, latins, arabes ou latino-américains ont généralement une forte distance hiérarchique à l'inverse des pays anglo-saxons, scandinaves…
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b. L'individualisme et le collectivisme Exprime le degré de liberté d'un individu par rapport à un groupe. Autrement, exprime le degré d'autonomie par rapport au groupe et aux normes sociales, le degré d'attachement aux valeurs communautaires. L'individualisme : Les intérêts individuels sont privilégiés dans le fonctionnement des organisations. le sens communautaire : Les intérêts collectifs y sont privilégiés. Exemple: la plupart des pays occidentaux sont individualistes. Exemple: la plupart des pays occidentaux sont individualistes. Les pays latino-américains, arabes, d'Extrême Orient et d'Afrique sont communautaires.
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c. La dimension masculine/féminine La masculinité peut signifier pour HOFSTEDE, une différenciation des sexes dans les rôles socioprofessionnels, mais elle ne signifie pas nécessairement que la masculinité soit une attitude des hommes, ou que la féminité soit une attitude des femmes. La masculinité se caractérise par les éléments suivants: l'affirmation de soi, l'absence de pudeur, l'importance accordée à la réussite, à l'argent et à l'image extérieure, l'ambition et la volonté de réalisation personnelle. Exemple: la masculinité est marquée que l'axe Tokyo -Berlin- Rome, mais aussi dans les pays anglo-saxons, dans les pays de la Méditerranée orientale et les pays arabes.
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c. La dimension masculine/féminine A l'inverse, la féminité signifie notamment la priorité accordée à l'harmonie relationnelle, plutôt qu'à l'affirmation de soi: la féminité est la recherche du consensus et de l'harmonie, l'importance accordée aux relations humaines. Exemple: la féminité se retrouve donc dans les pays scandinaves et aux Pays-Bas, mais aussi au Portugal. La France se situe à peu près au milieu de l'échelle mais plutôt du côté féminin.
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d. le contrôle de l'incertitude : Désigne le degré de tolérance qu'une culture peut accepter face à l'inquiétude provoquée par les événements futurs. La relation à l'incertitude est différente selon les entreprises. Certaines utilisent des prévisions et des dispositifs pour gérer les événements (comme le principe de précaution en France). D'autres sociétés se font moins de soucis face à l'incertitude. Exemple: le contrôle de l'incertitude est fortement marqué dans les pays latins et au Japon mais il est faible dans les pays anglo-saxons et scandinaves.
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Pour chacun des quatre critères ci-dessus, HOFSTEDE tire des tableaux de situation managériales dans lesquels les différentes cultures nationales peuvent être positionnées selon l'indice qu'elles obtiennent respectivement pour ce critère dans l'analyse factorielle. Les critères sont ensuite combinés deux à deux pour en tirer des modèles illustrant différents types de comportements managériaux dans le monde. On peut ainsi interpréter les combinaisons de critères effectuées par HOFSTEDE pour établir des modèles managériaux comparatifs dans les trois domaines suivants:
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le style de commandement, selon les critères distance hiérarchique et individualisme/sens communautaire. le mode de motivation, selon les critères masculinité/féminité et contrôle de l'incertitude. le modèle d'organisation, selon les critères distance hiérarchique et contrôle de l'incertitude.
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La culture d’entreprise est un ensemble complexe, qui permet à chaque individu de s’identifier à son organisation. Face à un environnement instable et complexe, les entreprises cherchent à dynamiser leur potentiel humain. la culture d’entreprise semble être une des réponses au développement de ce potentiel.
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