QUESTIONS OUVERTES : QUELQUES REFELEXIONS TIREES DU CAS FRANCAIS

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1 QUESTIONS OUVERTES : QUELQUES REFELEXIONS TIREES DU CAS FRANCAIS
Joël POIVRE, direction des Archives de France Séminaire ERPANET, Fontainebleau, février 2003

2 RAPPEL HISTORIQUE Une première étape : CONSTANCE
Deuxième étape : une chargée de mission pour l ’informatique Troisième étape : création du DITN (Département de l ’Innovation Technologique et de la Normalisation)

3 LA POLITIQUE DU DITN Sensibiliser les décideurs Former les archivistes
Normaliser et conseiller

4 LES OUTILS DE CETTE POLITIQUE
Le Manuel pratique sur les archives électroniques et ses suites Des journées annuelles de rencontre professionnelle La normalisation (ex. : grille de recensement d ’applications informatiques) Les recherches et études (ex. : archivage du courrier électronique)

5 QUELLE(S) METHODE(S) DE CONSERVATION ?
Migration Emulation UVC (Universal Virtual Computer)

6 QUELLE ORGANISATION TERRITORIALE ?
De plus en plus de documents sont… des registres électroniques nationaux dont les équivalents papiers sont conservés localement

7 QUELQUES EXEMPLES L ’état-civil Les minutes notariales
Les téléprocédures

8 QUELLES COOPERATIONS ? Au sein du réseau des services publics d ’archives : où archiver (AN, AD) ? Entre administration et services d ’archives Entre institutions patrimoniales (Archives et Bibliothèques, etc.) Entre le secteur public et le secteur privé

9 LES QUESTIONS JURIDIQUES
Signature électronique et migration : un mariage impossible ? L ’aspect archivistique de la notion d ’authenticité

10 DES ARCHIVISTES « NUMERIQUES »?
L ’archivage électronique une affaire de spécialistes ? Où plutôt d ’équipes pluridisciplinaires L ’archivage électronique concerne tous les archivistes

11 REFERENCES Site internet de la direction des Archives de France :
Manuel pratique, édition en ligne :