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Estrategias de lectocomprensión para Francés II

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Présentation au sujet: "Estrategias de lectocomprensión para Francés II"— Transcription de la présentation:

1 Estrategias de lectocomprensión para Francés II
Comentarios a modo de ejemplo sobre L’étranger d’Albert Camus (Leçon 4)

2 Acciones/herramientas que conducen a la comprensión lectora:
Hallar la idea principal y diferenciar hechos importantes de detalles secundarios Resumir (incluyendo palabras e ideas principales y descartando las secundarias) Reconocer secuencias (en una narración, descripción frente a acción; en un texto argumentativo, tesis u opinión del autor frente a informaciones generales) Inferir Relacionar conocimientos previos Distinguir hechos de opiniones Comparar y contrastar con otros textos

3 Etapas Identificar qué tipo de texto es Cómo son su estructura/partes
Detectar pasajes relevantes y NO relevantes Entender primero VERBOS o sustantivos clave Buscar el resto del léxico

4 Elementos que dan pistas sobre el contenido del texto:
Los paratextos: título, subtítulo, destacados tipográficos (negrita, cursiva, subrayados), imágenes, epígrafes, gráficos, notas al pie, etc. Por ejemplo: Camus + L’étranger Chapitre VI ( O sea, es una novela, por lo tanto nos encontraremos con un fragmento, no con un texto completo)

5 Elementos que dan pistas sobre el contenido del texto:
Las preguntas/consignas sobre la actividad. Ejemplo: Explique lo que ocurre con los Árabes 1) Hay en el texto una acción importante referente a unos Árabes; marcaré cada vez que esta palabra aparezca en el texto para analizar esos pasajes en primer lugar:

6 Il y avait déjà deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant. A l'horizon, un petit vapeur est passé et j'en ai deviné la tache noire au bord de mon regard, parce que je n'avais pas cessé de regarder l'Arabe. J'ai pensé que je n'avais qu'un demi-tour à faire et ce serait fini. Mais toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière moi. J'ai fait quelques pas. L'Arabe n'a pas bougé. Malgré tout, il était encore assez loin. Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l'air de rire. J'ai attendu. La brûlure du soleil gagnait mes joues et j'ai senti des gouttes de sueur s'amasser dans mes sourcils. C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. A cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter, j'ai fait un mouvement en avant. Je savais que c'était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d'un pas. Mais j'ai fait un pas, un seul pas en avant. Et cette fois, sans se soulever, l'Arabe a tiré son couteau qu'il m'a présenté dans le soleil. La lumière a giclé sur l'acier et c'était comme une longue lame étincelante qui m'atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, l’épée éclatante du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. J'ai secoué la sueur et le soleil. J'ai compris que j'avais détruit l'équilibre du jour, le silence exceptionnel d'une plage où j'avais été heureux. Alors, j'ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s'enfonçaient sans qu'il y parût. Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur.

7 2) Luego de una lectura general (y sin detenerme) del texto, identificaré los verbos que rodean el sustantivo Árabe para entender lo que ocurre con él. Si no los entiendo, ahora sí los busco en el diccionario: je n'avais pas cessé de regarder l'Arabe.  = (yo) no había parado de mirar al Árabe J'ai fait quelques pas. L'Arabe n'a pas bougé. = Di algunos pasos. El Árabe no se movió l'Arabe a tiré son couteau = el Árabe sacó su cuchillo

8 3) No encuentro más la palabra « árabe » pero deduzco que algo más debe ocurrir para que me lo estén preguntando en la consigna. Como encontré la palabra « cuchillo », pienso que debe ser importante la palabra « revolver » más abajo (que además es transparente en castellano). Traduzco lo que rodea la palabra revolver:  et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé = mi mano se crispó sobre el revólver. El gatillo cedió

9 4) Finalmente, leo varias veces el fragmento y las frases concernientes al Árabe para asegurarme de que no haya más información que haya pasado por alto. Elaboro una síntesis de lo que entiendo que ocurre con él: Respuesta a la pregunta: El narrador protagonista, en su recorrido, se encuentra con el Árabe y lo mira fijamente en un momento de tensión. El Árabe lo amenaza con un cuchillo; el narrador saca un revólver y le dispara.

10 Marque en el texto palabras del campo semántico del paisaje/clima
Al leer esta pregunta, me doy cuenta de que va a haber en el texto muchas palabras referentes al clima/paisaje. Por lo tanto, en la lectura general, ya iré subrayando las que me parezca que puede pertenecer a ese campo léxico. Luego, con el diccionario, lo corroboraré.

11 Il y avait déjà deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant. A l'horizon, un petit vapeur est passé et j'en ai deviné la tache noire au bord de mon regard, parce que je n'avais pas cessé de regarder l'Arabe. J'ai pensé que je n'avais qu'un demi-tour à faire et ce serait fini. Mais toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière moi. J'ai fait quelques pas. L'Arabe n'a pas bougé. Malgré tout, il était encore assez loin. Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l'air de rire. J'ai attendu. La brûlure du soleil gagnait mes joues et j'ai senti des gouttes de sueur s'amasser dans mes sourcils. C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. A cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter, j'ai fait un mouvement en avant. Je savais que c'était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d'un pas. Mais j'ai fait un pas, un seul pas en avant. Et cette fois, sans se soulever, l'Arabe a tiré son couteau qu'il m'a présenté dans le soleil. La lumière a giclé sur l'acier et c'était comme une longue lame étincelante qui m'atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, l’épée éclatante du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. J'ai secoué la sueur et le soleil. J'ai compris que j'avais détruit l'équilibre du jour, le silence exceptionnel d'une plage où j'avais été heureux. Alors, j'ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s'enfonçaient sans qu'il y parût. Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur.

12 Procedo luego de la misma forma que con la pregunta sobre el Árabe: trato de entender las palabras que rodean a esas más transparentes que ya identifiqué, por si hay más del mismo campo léxico. Ejemplo: La mer a charrié un souffle épais et ardent. = el mar trajo un soplo espeso y ardiente Por lo tanto, además de haber mucho sol en la playa, hace calor, el clima es pesado…Puedo incluir “souffle épais et ardent” en mi lista de campo léxico.

13 Describa con sus palabras el paisaje y el clima que rodea la acción
Describa con sus palabras el paisaje y el clima que rodea la acción. ¿Qué efecto tienen sobre el narrador? Deduzco, antes que nada, que hay un efecto sobre el narrador que tengo que encontrar en el texto. Es decir, cada vez que el narrador mencione las palabras del campo léxico del paisaje (que ya tengo identificadas gracias a la pregunta anterior!), voy a estar atenta a qué dice el protagonista que le provocan o inspiran esos elementos de la naturaleza:

14 J'ai pensé que je n'avais qu'un demi-tour à faire et ce serait fini
J'ai pensé que je n'avais qu'un demi-tour à faire et ce serait fini. Mais toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière moi. J'ai fait quelques pas. L'Arabe n'a pas bougé. Malgré tout, il était encore assez loin. Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l'air de rire. J'ai attendu. La brûlure du soleil gagnait mes joues et j'ai senti des gouttes de sueur s'amasser dans mes sourcils. C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. A cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter, j'ai fait un mouvement en avant.

15 Pasos para la traducción
Separar en oraciones todo el párrafo: hay una POR VERBO (no necesariamente una por cada punto): Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières // et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. // Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. // Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, l’épée éclatante du couteau toujours en face de moi. // Cette épée brûlante rongeait mes cils // et fouillait mes yeux douloureux.

16 Pasos para la traducción
2) Ver si el verbo está en singular o plural. Ej.: étaient = plural  por lo tanto, el sujeto tiene que ser « mes yeux », NO « ce rideau de larmes » 3) Encontrarle un sujeto y otros complementos si los hay (Objeto Directo, Indirecto, de Circunstancias, etc.). Ej.: “aveuglés” = “ciegos” (complemento del verbo étaient); “derrière ce rideau de larmes et de sel” = detrás de aquella cortina de lágrimas y de sal (circunstancial = responde a la pregunta ¿dónde?) 4) Ahora sí, terminar de traducir ordenar la oración partiendo del verbo: “Mis ojos estaban ciegos detrás de aquella cortina de lágrimas y de sal.”

17 C'était le même éclatement rouge
C'était le même éclatement rouge. Sur le sable, la mer haletait de toute la respiration rapide et étouffée de ses petites vagues. Je marchais lentement vers les rochers et je sentais mon front se gonfler sous le soleil. Toute cette chaleur s'appuyait sur moi et s'opposait à mon avance. Et chaque fois que je sentais son grand souffle chaud sur mon visage, je serrais les dents, je fermais les poings dans les poches de mon pantalon, je me tendais tout entier pour triompher du soleil et de cette ivresse opaque qu'il me déversait. A chaque épée de lumière sortie du sable, d'un coquillage blanchi ou d'un débris de verre, mes mâchoires se crispaient. J'ai marché longtemps. Je voyais de loin la petite masse sombre du rocher entourée d'un halo aveuglant par la lumière et la poussière de mer. Mais quand j'ai été plus près, j'ai vu que le type de Raymond était revenu. II était seul. Dès qu'il m'a vu, il s'est soulevé un peu et a mis la main dans sa poche. Moi, naturellement, j'ai serré le revolver de Raymond dans mon veston.

18 En clase Lectura global del texto Idea/acontecimiento principal
Identificar la parte más descriptiva y la parte que hace avanzar el relato Intentar comprender/traducir la parte más relevante (verbo, luego buscarle sujeto y complementos) En la parte descriptiva, fijarse en léxico del paisaje + su efecto en el narrador

19 La mer a charrié un souffle épais et ardent
La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. J'ai secoué la sueur et le soleil. J'ai compris que j'avais détruit l'équilibre du jour, le silence exceptionnel d'une plage où j'avais été heureux. Alors, j'ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s'enfonçaient sans qu'il y parût. Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur.


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