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Publié paroptimiste optimiste Modifié depuis plus de 5 années
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Résultat: Un fragment de 510 pb du gène CYP2E1, était amplifié par la méthode PCR, Les résultats sont présentés sur la figure 1.gure 1 La figure 2 montre le profil de digestion de fragment amplifié par l'enzyme de restriction Rsa I pour 3 individus.figure 2 L'individu 1 présente 2 bandes de taille 360 pb et de 150 pb, donc le site de restriction de l'enzyme Rsa I est présent sur les deux chromosomes par conséquent, l'individu 1 présente un génotype sauvage (C1/C1). L'individu 2 présente 3 bandes de taille 510 pb, et de 360 pb et de 150 pb donc le site de restriction de Rsa I est présent sur un seul chromosome, par conséquent l'individu 2 présente un génotype hétérozygote (C1/C2). L'individu 3 présente une seule bande de 510 pb donc le site de restriction de Rsa I est absent sur les deux chromosomes. Cet individu présente un génotype homozygote muté (C2/C2). Figure 1 Figure 2
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L'analyse allélique a montré pour l'allèle sauvage C1 est associé significativement au groupe témoins plus que le groupe des patients (p = 0,016) et forme un facteur protecteur pour le NPC (OR = 0,33) En revanche, l'allèle muté C2 était beaucoup plus fréquent chez le groupe des patients avec une fréquence de 6 par apport au groupe des témoins avec une fréquence de 2. Cette différence de répartition était significative avec un p = 0,016 et cette forme allélique mutante C2 augmente 2,99 fois le risque d'apparition du cancer du nasopharynx (tableau II).tableau II Détermination des fréquences alléliques:
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