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La danse à la cour de Louis XIV

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Présentation au sujet: "La danse à la cour de Louis XIV"— Transcription de la présentation:

1 La danse à la cour de Louis XIV
Sara Baruchello, Ishikabye Jankoo, Alice Laudicina, Sara Lotti, classe 4AL

2 Les premières phases du ballet de cour
Le Ballet Comique de la Reine (1581) Baldassarre da Belgioioso Cathérine de Médicis La grande tradition des ballets de cour en France fut inaugurée par le Ballet comique de la Reine (1581), créé par l’Italien Baldassarre da Belgioioso (Balthasar de Beaujoyeulx) à la cour de Catherine de Médicis. Entre 1581 et 1670, les ballets de cour contribuèrent à former le courtisan idéal.

3 Les danses principales
La bourrée La gavotte Les danses les plus pratiquées étaient: la bourrée, la gavotte, la branle, la pavane, la courante. Des ces genres, se sont dévéloppées les danses populaires, en effet le ballet pendant cette période était si diffusé que le peuple dansait aussi. Madame de Sévigné a commenté: “Après souper, tous danseaient!” La pavane

4 La révolution de la danse sous Louis XIV
La danse fut, en effet, un véritable instrument politique dans les mains de Louis XIV ( ): elle est devenue un moyen de propagande royale pour exalter le pouvoir et l'importance du roi à fin de s'imposer sur les nobles, que le roi voulait contrôler, et ses courtisans. Louis XIV a rendu la culture obligatoire à sa cour. En ce qui concerne la danse, les nobles devaient apprendre au moins douze danses différentes, et les pratiquer pour pouvoir les danser parfaitement. La perfection dans la danse se traduisait en grâce et courtoisie, les caractéristiques que Louis XIV cherchait chez ses favoris. L'étiquette était l'aspect le plus important de la vie à la cour. Tout le monde cherchait l'honneur de danser avec le roi alors la danse et les bonnes manières étaient très importantes à la cour de Versailles. En outre, le roi voulait au moins un ballet de cour chaque année. Son père, Louis XIII Louis XIV à 13 ans

5 Louis XIV danseur Louis XIV était un danseur éxéllent et, comme son père Louis XIII, qui se plaisait à régler lui-même les ballets, le jeune souverain s’entraînait régulièrement et, depuis l’âge de treize ans, se produisait dans des spectacles à la cour. Étant vu la santé faible du roi, les médecins royaux étaient vraiment préoccupés, car le jeune souverain s'entraînait trop. Il suivait des cours de jeux des armes, de musique, de littérature et des cours de danse. Au début Louis XIV danseait seulement pour s'amuser, mais après quelques années il a commencé à vouloir danser dans les ballets officiels, dont les premiers sont “Le Ballet de Cassandre” (1651) et “Le Ballet des Fêtes des Bacchus” (1651, 3 mois plus tard). Plus tard, il a dansé aussi dans “Le Ballet des Saisons” (1661), “Hercule Amoureux” (1662), “Le Ballet des Arts”, “La Naissance de Vénus”, “Le Ballet des Muses”, “Amants Magnifiques” (1670). Ballet des Saisons (1661) Ballet des Muses (date unconnue) Ballet des fêtes de Bacchus (1651)

6 L’Académie Royale de la danse
Le roi était si fasciné par la danse, qu'il voulait la diffuser et l'encourager le plus possible, donc il a fondé l'Académie Royale de la Danse (1661) et de la Musique (1662), qui aujourd’hui est connue comme « Académie Nationale de la Danse et de la Musique ». À partir de cet ensemble on a dévéloppé l'Opéra de Paris avec sa troupe, qui en 1713 était déjà composée de douze danseurs et dix danseuse professionnels, dont la première danseuse était Mademoiselle de la Fontaine. Mademoiselle de la Fontaine L’Académie Nationale de la Danse et de la Musique aujourd’hui

7 Le «roi Soleil» dans le rôle d’Apollon
Le Ballet Royal de la Nuit (1653) Le “Ballet royal de la Nuit” se composait de quarante-cinq entrées, divisées en quatre veilles, où des épisodes allégoriques, mythologiques, exotiques et chevaleresques alternés avec des scènes pittoresques et comiques, à la ville et à la campagne. À la fin de la quatrième veille, lÉtoile du point du jour (Monsieur) apparaissait sur la scène, suivie de l’Aurore dans son char portant la rosée et les douze heures du jour; puis tous se retiraient lorsque le Soleil levant (le roi) apparaissait, annoncé par le récit de l’Aurore: «Le Soleil qui me suit c’est le jeune LOUIS.» . Le roi dansait ensuite le «grand ballet» final, accompagné des génies de l’Honneur, de la Grâce, de l’Amour, de la Valeur, de la Victoire, de la Renommée, de la Justice et de la Gloire. Le souverain, sans masque ni perruque, avance sur la scène avec élégance et dignité: ses bras ouverts et ses mains gracieusement levées, paumes vers le bas, soulignent l’équilibre dont il se veut l’emblème absolu. La position des jambes et des pieds fut reprise un demi-siècle plus tard par Hyacinthe Rigaud dans le portrait officiel du roi. Le costume de scène reprend de manière obsessionnelle le motif du soleil rayonnant, mis en évidence par la couleur dorée. Au-delà de son luxe, cette tenue renvoie à la double signification allégorique du personnage incarné et interpreté par Louis XIV: Apollon, le dieu du soleil et des arts. Grâce au rôle que le souverain a joué dans ce ballet et à son costume, il a pris l'appellatif de “Roi Soleil”. Le «roi Soleil» dans le rôle d’Apollon Portrait officiel de Louis XIV par Hyacinthe Rigaud (1701)

8 Les Noces de Thétis et Pélée (1654)
Ballet du 1654, dans ce ballet la fusion de l’opéra italien et du ballet de cour est aussi complète que possible. Isaac de Benserade apparaît donc bien ici comme un précurseur de la comédie puis de l’opéra-ballet de Molière puis Quinault et Lully. Il est vrai qu’on ne se soucie de vraisemblance et de logique classique. Le chant et la langue italienne, peu familière au grand public, permettent de faire abstraction des incidents burlesques et incohérents imaginés par le librettiste. Dans ses grandes lignes, l’intrigue au demeurant est peu complexe. Conduit par le centaure Chiron, Pélée, avec l’aide de Prométhée, réussit à évincer deux puissants rivaux, Jupiter et Neptune, et à conquérir Thétis fille de Protée. Sur ce thème mythologique, Torelli a inventé des décors fastueux dont les fréquents changements à vue émerveillent les spectateurs. Ceux-ci s’abandonnent au plaisir visuel et s’accordent à considérer en définitive le spectacle comme un ballet. Le Résident florentin Barducci parle de «gran balleto reale». Le roi Soleil joue les rôles de Furie et d'Apollon escorté de ses neuf Muses. Dans un autre tableau du même ballet, il incarne la Guerre. Apollon, joué par Louis XIV Furie, toujours interprétée par le roi

9 Le Ballet des Plaisirs (1655)
Dansé le 4 février 1655 au Louvre, puis les 6, 7 et 8 février. En 25 entrées, Benserade, le librettiste, énumère les plaisirs de la vie. Cinq morceaux sont attribués à Lulli, dont une sarabande et l'entrée des Filous. Le compositeur y incarna un satyre, un Égyptien, un débauché et un baigneur. La 1ère partie est relative aux plaisirs de la campagne. Au cours d'une noce, les paysans assistent à la mascarade des plaisirs champêtres : Pan sort d'une antre, escorté par des satyres. Suivent des chasseurs, des nymphes de l'Astrée et les chevaliers qui les ont ravies, quatre chevaliers de la Cour d'Amadis. Une entrée d'Egyptiens clôt cette 1ère partie. La 2ème partie montre les plaisirs de la ville. Des débauchés sortent d'un cabaret, les comédiens français et italiens jouent la comédie à leur façon. Un Maître instruit ses élèves. Les Joueurs, les Amoureux, les Filous, un Baigneur, un Vieillard, des Danseurs et Courtisans illustrent les plaisirs citadins. Partitions du Ballet des Plaisirs

10 Le Ballet Royal de Flore (1669)
Il s'agit du dernier ballet dansé par Louis XIV, comme il avait des problèmes de santé très graves. Dernier ballet que dnsa Louis XIV et ultime représentant du ballet de cour traditionnel, le Ballet de Flore fut créé dans le Grand salon des Tuileries le 13 février 1669, et repris plusieurs fois au cours des semaines suivantes. Dans ce ballet, le dearnier avant qu’il ne s’attaque à la composition d’opéras, Lully donne une place considérable à la musique vocale (nombreux récits, duos, trios, un quatuor vocal, des chœurs…) comparé à ses ballets précédents. Dans l’œuvre de Lully, ce ballet représente donc une avancée importante vers l’opéra. Représenté pour célébrer le retour de la paix en Europe, après la fin de la Guerre de Dévolution, le divertissement était tout entier à la gloire de Louis XIV, dont ce fut l’une des apparitions en Soleil sur la scène. Ce ballet comporte 15 entrées. L’auteur du livret en est Isaac de Benserade, premier librettiste de Lully, qui signe ici sa dernière œuvre pour la cour. Le roi Soleil avec son costume

11 Index bibliographique des images - 1

12 Index bibliographique des images - 2

13 Index bibliographique des vidéos
La bourrée La gavotte La pavane

14 Merci beaucoup pour votre attention!
Liceo Scientifico N. Copernico, anno scolastico 2018/2019 14


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