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Publié parCécile Alain Modifié depuis plus de 5 années
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Rate of decline (ml/an) Différence versus LAMA/LABA
BPCO - Triple association à dose fixe CSI/LABA/LAMA en ‟vraie vie” chez les exacerbateurs fréquents (1) Efficacité versus LABA/LAMA sur le déclin de la fonction pulmonaire chez des patients BPCO exacerbateurs fréquents : ≥ 2 exacerbations dans l’année précédant, âge ≥ 40 ans, antécédents de tabagisme ou tabagisme actif Différence de 15,2 ml (IC95 = - 2,3 ; 32,8 ; p = 0,089) en faveur de la triple association VEMS prédit (ml) Rate of decline (ml/an) Différence versus LAMA/LABA p Pas de traitement -31 (-62,9 ; 0,9) 6,6 (-28,3 ; 41,5) 0,711 ICS, LAMA ou LABA -37,3 (-52,3 ; -22,2) 0,4 (-19,7 ; 20,4) 0,973 ICS + (LAMA ou LABA) -35,8 (-54,7 ; -16,8) 1,8 (-20,6 ; 24,3) 0,872 LAMA/LABA -37,6 (-53,7 ; -21,5) Référence Trithérapie -22,4 (-34,7 ; -10,1) 15,2 (-2,3 ; 32,8) 0,089 R Années Pas de traitement LAMA/LABA ICS, LAMA ou LABA en monothérapie Trithérapie ICS + (LAMA ou LABA) Critère principal d’évaluation : déclin moyen du VEMS (ml/an) sur la période de suivi ATS D’après Voorham J et al. Poster P503, actualisé
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BPCO - Triple association à dose fixe CSI/LABA/LAMA en ‟vraie vie” chez les exacerbateurs fréquents (2) Différence non significative qui le devient (p = 0,044) chez les fumeurs actifs (différence de + 20 ml/an sous triple association entre les fumeurs actifs et les anciens fumeurs). Anciens fumeurs VEMS prédit (ml) ml/an LAMA/LABA -6,7 (-30,5 ; 17,1) Trithérapie -16,4 (-29,6 ; -3,2) Années Pas de traitement LAMA/LABA ICS, LAMA ou LABA en monothérapie Trithérapie ICS + (LAMA ou LABA) Fumeurs actifs R VEMS prédit (ml) ml/an LAMA/LABA -64,3 (-85,2 ; -43,4) Trithérapie -34,1 (-49,2 ; -19,1) Années Pas de traitement LAMA/LABA ICS, LAMA ou LABA en monothérapie Trithérapie ICS + (LAMA ou LABA) ATS D’après Voorham J et al. Poster P503, actualisé
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Étude SENSCIS : nintedanib dans les PID-ScS (1)
Tolérance et l’efficacité du nintedanib (150 mg x2/j) versus placebo : 580 patients avec une PID-ScS étendue à plus de 10 % sur le scanner thoracique MMF chez près de 50 % des patients À l’inclusion : CVF moyenne à 72,4 % et extension de la fibrose au scanner de 36,8 % dans le groupe nintedanib (respectivement 72,7 % et 35,2 % dans le groupe contrôle) Taux annuel de déclin de la CVF (ml/an) [critère principal] Variation depuis l’inclusion de la CVF (ml) sur 52 semaines Variation moyenne absolue de la CVF depuis l’inclusion (SE) (mL) Taux annuel ajusté de déclin de la CVF (SE) (mL/an) Différence : 41,0 ml/an (IC95 : 2,9 ; 79,0) ; p = 0,04 RR : 44 % Semaines Patients (n) 288 283 281 273 278 265 262 241 280 268 257 ATS D’après Distler O et al. Session B17, actualisée
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Étude SENSCIS : nintedanib dans les PID-ScS (2)
INPULSIS (IPF)1 Taux annuel ajusté de déclin de la CVF (SE )(ml/an) Taux annuel ajusté de déclin de la CVF (SE)(ml/an) Différence : 41,0 ml/an (IC95 : 2,9 ; 79,0) RR : 44 % Différence : 109,9 ml/an (IC95 : 75,9 ; 144,0) RR : 49 % 1. Richeldi L, et al. N Engl J Med 2014;370: 16 % d’arrêt de traitement (nintedanib) versus 8,7 % (placebo), principalement en raison de la survenue de diarrhées (75,7 % dans le bras nintedanib) Pas de différence sur la variation de la DLCO ou la QDV Étude se poursuit en ouvert ATS D’après Distler O et al. Session B17, actualisée
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Réhabilitation Respiratoire – étude CORe (1)
Schéma Étude Danoise multicentrique randomisée et controlée, de supériorité avec 2 groupes parallèles ayant inclus au total 134 patients Réhabilitation conventionnelle (PR) : pluridisciplinaire (pneumologue, IDE, diététicien, psychologue, MKR et APA) comporte deux séances de réentraînement à l’effort de 60 minutes, une séance d’éducation thérapeutique par semaine pendant 12 semaines Télé-réhabilitation (PTR) : programme de réentraînement à l’effort de 35 minutes 3 fois par semaine, séances d’éducation thérapeutique de 25 minutes 3 fois par semaine avec une équipe composée uniquement d’une IDE et un MKR Inclusion : BPCO et VEMS/CVF < 70 % VEMS < 50 % Dyspnée MRC ≥ 2 Pas de RR dans les 6 derniers mois Traitement médical optima Exclusion : Démence, troubles des fonctions cognitives ou troubles psychiatriques Troubles visuels ou auditifs Incapacité à comprendre ou parler le Danois Objectif principal : TM6 à S10 semaines avec une supériorité de 26 mètres par rapport au programme conventionnel ATS D’après Hansen H et al., Session C17, actualisée
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Réhabilitation Respiratoire – étude CORe (2)
Critère principal de supériorité du TM6 de 26 mètres dans le groupe télé- réhabilitation non atteint : malgré une amélioration dans les 2 groupes du TM6 par rapport à sa valeur initiale Variation du TM6 entre les groupes Inclusion Post-réhab 6 mois de suivi Différence entre les groupes PTR versus PR Post-RR -9,2 (-24,9 ; 6,6) 6 mois de suivi 5,3 (-18,3 ; 28,9) * 85 % des patients en télé-réhabilitation ont achevé leur programme contre 65 % des patients en réhabilitation conventionnelle (p = 0,01) * 70 % ont adhéré au programme sans différence entre les 2 groupes ATS D’après Hansen H et al., Session C17, actualisée
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Réhabilitation Respiratoire – étude CORe (3)
Critères secondaires : aucune différence entre télé-réhabilitation et réhabilitation ambulatoire (CAT, mortalité, ré-hospitalisations …) Variation du CAT entre les groupes PTR PR Probabilité de survie 6 mois de suivi depuis l’inclusion Inclusion Post-rehab 6 mois de suivi Post-intervention Différence entre les groupes PTR versus PR Post-RR -1,4 (-3,0 ; 0,1) 6 mois de suivi 0,6 (-2,6 ; 3,7) Jours Pas de différence sur la mortalité Absence de supériorité du programme de télé-réhabilitation sur un programme conventionnel (refaire une étude en non-infériorité ?) ATS D’après Hansen H et al., Session C17, actualisée
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La réhabilitation respiratoire (RR) peut-elle améliorer la survie ? (1)
Étude rétrospective cas témoin : patients > 65 ans/1 508 hôpitaux aux États-Unis 2,7 % (n = 3 321) ont commencé une RR dans les 3 mois après leur sortie RR initiateurs Non-initiateurs Plus jeunes (75 versus 78) Moins de comorbidités (3,8 versus 4,7) Moins fragiles (20 versus 30 %) Moins de ré-hospitalisations (40 versus 49%) Plus volontiers sous O2 à domicile (42 versus 35 %) 14,7 % sont décédés dans l’année suivant la sortie 5,5 % chez ceux ayant initié une RR ; 15 % chez les non-initiateurs ATS D’après Lindenauer P et al., Session C17 actualisée
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La réhabilitation respiratoire (RR) peut-elle améliorer la survie ? (2)
Amélioration de la survie à 1 an significative dans le groupe RR versus le groupe sans intervention : risque de décès réduit de 36 % (HR = 0,64 ; IC95 = 0,56-0,73) – modèle de Cox sur la totalité de la cohorte Survie à 1 an avec application du score de propensité Mortalité à 1 an : 5,5 % NNT = 24 Mortalité à 1 an : 9,6 % Survie (%) Réhabilitation respiratoire Sans intervention p < 0,001 Jours depuis la réhabilitation respiratoire ATS D’après Lindenauer P et al., Session C17 actualisée
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La réhabilitation respiratoire (RR) peut-elle améliorer la survie ? (3)
Bénéfice/survie d’autant plus marqué que le nombre de séances de RR est élevé (pour ≥ 21 sessions HR = 0,38 ; IC95 : 0,20-0,72) Une initiation de la RR dans les 6 semaines suivant la sortie d’hospitalisation est en revanche associée à une mortalité plus élevée Mortalité en fonction du délai d’initiation de la RR 1,5 1,3 1,1 0,9 0,7 0,5 Amélioration de la survie chez les patients BPCO initiant une RR dans les 90 jours suivant une hospitalisation pour EA Limites : absence de randomisation, caractère rétrospectif, hétérogénéité des programmes de RR En défaveur de la RR HR En faveur de la RR ATS D’après Lindenauer P et al., Session C17 actualisée
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