La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

L’école néo-classique

Présentations similaires


Présentation au sujet: "L’école néo-classique"— Transcription de la présentation:

1 L’école néo-classique
C’est un courant pragmatique développé par des praticiens/consultants dont la base théorique s’inspire de l’école classique. Ces principes sont: Le but de l’entreprise est la maximisation du profit. Ce dernier mesure le degré d’efficience organisationnelle. Il y a une pluralité d’objectifs secondaires qui doivent être atteints en vue de maximiser le profit. L’entreprise est le moteur principal de la richesse économique. Le management requiert des compétences propres, des outils spécifiques et des techniques distinctes. Tout en intégrant des postulats de l’école psychosociologique sur l’homme au travail, ce courant pense que chaque homme lutte pour sa survie: les meilleurs accédants aux postes clés, les moins performants étant élimés.

2 Les auteurs néo-classiques A.P SLOAN
Il a consacré sa carrière à General Motors dont il a fait durant une dizaine d’année la première entreprise mondiale par l’application d’une décentralisation reposant sur quatre principes: Autonomie des divisions: elles sont jugées d’après la rentabilité du capital investi. La direction générale ne doit pas s’occuper d’exploitation mais de la stratégie générale. Certaines fonctions clés comme les finances ou la communication doivent être centralisées. L’organigramme doit prévoir des passerelles afin que chaque division soient représentées dans les autres divisions. la coordination doit se faire par une circulation horizontale des informations. Ainsi, la décentralisation procure initiative, responsabilité, efficacité et une réduction du temps dédiée à la prise de décision.

3 Les auteurs néo-classiques Peter Drucker
Consultant et gourou du management, il a conseillé les plus grands chefs d’entreprises nord-américaines. Selon lui, l’équipe de direction doit: Fixer la mission spécifique de l’organisation et déterminer des objectifs clairs et réalistes. Mettre en place une organisation de travail efficace et productive, ce qui satisfera les employés. Prendre en compte les impacts sociaux de l’entreprise sur son environnement et des influences de celui-ci sur les orientations de l’organisation. Investir dans la recherche-développement et le marketing qui sont sources de profit. Ce dernier ne reflète que l’excellence du management.

4 Les auteurs néo-classiques Peter Drucker
Après une étude de 18 mois au sein de General Motors : interview 90 personnes ddu PDG (Sloan) aux ouvriers.: il livre une réflexion sur la corporation comme institution centrale d'une société industrielle en émergence. Il en déduit des propositions qui vont dans le sens de changements profonds en matière de politiques d'emploi et de relations industrielles: octroi de salaires annuels garantis restructuration du travail emploi souple des méthodes modernes de production de masse reconnaissance du droit à l'iniative les salariés ne doivent pas être considérés comme un cout mais comme une ressource. Ford ou general Electric se sont reorganisées en s'inspirant de ces propositions. P. Druker est surnommé le 'pape du management'.

5 Les auteurs néo-classiques Octave Gélinier
Il a œuvré pour la Direction Participative par Objectifs (DDPO) car: Le fonctionnement de l’entreprise doit reposer sur des principes clairs, simples et concrètement applicables; Une définition de la politique générale de l’entreprise à long terme est fondamentale; Définir les objectifs permet à l’organisation de s’adapter aux mutations de l’environnement. Les objectifs permettent de déléguer l’autorité, de définir des responsabilités, d’intégrer des services, de trouver une structure adéquate, de superviser et motiver les salariés. La DDPO favorise l’innovation permanente, source de compétitivité La poursuite d’objectifs d’utilité sociale à l’extérieur et à l’intérieur de l’entreprise est aussi source de compétitivité.

6 Le prolongement: L’école néo-classique ou le mouvement empirique
Cette école, composée en majorité de consultants et dirigeants d’entreprise, s’est insurgée entre le gouffre séparant la pratique et la théorie. Fin des années 70, les principes sur lesquels reposait le management (OST, décentralisation limitée, planification long terme) sont ébranlés par la crise économique. Auteurs: Peter Drucker, A.P Sloan, A.D. Chandler, O.Gélinier: ils s’appuient sur leurs expériences au sein de la direction générale. Mise au point d’outils de gestion opérationnels et adaptés aux besoins.

7 L’école néo-classique ou le mouvement empirique
5 postulats communs: La maximisation du profit: condition de survie et développement de l’entreprise. Ils préconisent des structures par centres de profit (unités quasi autonomes disposant chacune de son équipement). Selon P. Drucker, Il s’agit d’obtenir un profit suffisant pour couvrir les risques de l’activité économique et éviter ainsi des pertes mettant en péril l’entreprise. La décentralisation des responsabilités et des décisions vers le bas de la hiérarchie: s’accompagne d’une répartition de la production entre plusieurs départements responsables d’une gamme de produits. Hausse supposée de la motivation et du profit. La direction par objectifs: issue de la combinaison entre décentralisation et hiérarchisation d’objectifs précis. Elle permet d’intégrer l’activité des services autonomes. Des objectifs principaux et secondaires sont fixés. Leurs réalisations ou non ont des conséquences directes sur l’organigramme. Ceci accroît le sens des responsabilités des cadres.

8 L’école néo-classique ou le mouvement empirique
5 postulats communs: Le contrôle par analyse des écarts : nécessaire du fait de la décentralisation des responsabilités et se réalise, a posteriori, par comparaison des réalisations aux objectifs. La motivation par la compétitivité: au contraire des classiques, ces auteurs prennent en compte les motivations des individus et des groupes, les relations de pouvoir. Ils tentent d’opérationnaliser des concepts issus des sciences humaines afin d’emporter l’adhésion des individus et groupes aux objectifs de l’entreprise.

9 L’école néo-classique Les critiques & les limites :
Cette école fournit des principes, des règles, des outils pragmatiques et opérationnels qui permettent aux dirigeants de simplifier et améliorer leur travail. Les théoriciens académiques, bien qu’ils aient des difficultés à construire des théories opérationnelles, mettent en garde contre le simplisme issu des principes néo-classiques suivants: Il est possible de trouver un bon modèle applicable en toutes circonstances. Les problèmes et les conflits naissent de la mauvaise application des règles de l’organisation ou de règles inadaptées. Les individus sont interchangeables une fois formés à leur poste. Non seulement l’homme est interchangeable mais il se réduit toujours à sa fonction. La maximisation du profit passe bien au-devant du bien-être du personnel même s’il est admis dans le monde occidental qu’un personnel satisfait est source de productivité. Les auteurs néo-classiques peuvent apparaître comme des gourous aux méthodes creuses et vite rendues obsolètes.


Télécharger ppt "L’école néo-classique"

Présentations similaires


Annonces Google