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DANS LE MONDE. RAPPORT DE LASSEMBLÉE PARTIELLE DE LA MEL. Mars 2006.

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4 DANS LE MONDE.

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8 RAPPORT DE LASSEMBLÉE PARTIELLE DE LA MEL. Mars 2006

9 A- CONTEXTE SOCIO- POLITIQUE

10 I- CLIMAT POLITIQUE

11 QUATRE TRAITS PEUVENT RÉSUMER LA SITUATION POLITIQUE DES PAYS DE LA RÉGION.

12 1. Les Pays Où La Culture Démocratique Senracine Dans Le Jeu Politique : BÉNIN KENYA, AFRIQUE DU SUD NIGER MALI MADAGASCAR

13 CONGO-KINSHASA CÔTE DIVOIRE RWANDA TCHAD… 2. Les Pays Sortis de Guerre dans Lesquels La Paix est un Acquis Fragile et Précaire ou en Voie dInstauration :

14 3. Les Pays où est Vécue une Caricature de la Démocratie : Manipulation de la loi fondamentale, Élections non transparentes. Non séparation des pouvoirs. Refus de lalternance politique. CAMEROUN. BURKINA. ÉTHIOPIE…

15 4. Pays dEnfantement Douloureux de la Démocratie sur Fond de Violences et dAssassinats Politiques : TOGO…

16 II- FAMILLE

17 1. LES FORMES ACTUELLES DE LA FAMILLE: La Famille passe de plus en plus de la forme élargie à la forme nucléaire. Le nombre de familles mono-parentales saccroît également et la polygamie reste toujours en vigueur (un homme marié vivant avec plusieurs femmes dans une résidence ou dans des résidences différentes).

18 On constate également lexistence de familles recomposées. Parmi les couples vivant en situation matrimoniale, peu sont unis par les liens du mariage. Par ailleurs, le divorce devient plus fréquent.

19 2. LES SUBSTITUTS FAMILIAUX Dautres instances suppléent aux défaillances de la famille normale. Les substituts familiaux sont des personnes physiques ou morales remplaçant la famille dans son rôle éducatif: –Les personnes physiques : un membre de la famille (oncle, tante, frère, sœur…), les tuteurs, les parents adoptifs. Les personnes morales ou institutions : orphelinats, les centres de rééducation ou de réinsertion, linternat

20 3. LES INCIDENCES DE LA FORME DE FAMILLE SUR LES JEUNES –Aspect psychoaffectif : on retrouve les enfants à problèmes affectifs dont la souffrance se manifeste par limpolitesse, la délinquance, le repli sur soi, la prostitution, la consommation de drogue. –Aspect social et religieux : on assiste de plus en plus chez les jeunes à une dépravation des mœurs, au manque de repères, à la perte du sens du sacré…

21 –Les familles sont paupérisées du fait dune mauvaise répartition des richesses nationales et de très faibles salaires. –Les guerres successives quont connues certains pays ont gravement perturbé de nombreuses familles et le processus éducatif des enfants : de nombreux déplacés de guerre, enfants de la rue, enfants soldats. 4. RÉALITÉS SOCIO-ÉCONOMIQUES DES FAMILLES

22 –La forte prévalence de linfection au VIH-SIDA entraîne une augmentation du nombre denfants orphelins.

23 III- LÉDUCATION

24 1. LA CARTE SCOLAIRE Les États, malgré leurs efforts de création de nouveaux établissements, narrivent pas à répondre à la forte demande de scolarisation. Aussi, à côté du public, des établissements privés confessionnels, des établissements privés laïcs se sont multipliés. En zone rurale, les paysans suppléent à la carence des États en organisant leurs propres écoles. De façon générale, le taux de scolarisation est très variable selon les pays, mais partout le combat pour une éradication totale de lanalphabétisme reste dactualité.

25 2. LA PRATIQUE ÉDUCATIVE -La forte demande de scolarisation conduit à la constitution de classes aux effectifs pléthoriques dans les établissements publics et privés laïcs. Les élèves souffrent de linsuffisance, de linexistence et de linadéquation des manuels scolaires. Il en est de même pour les enseignants en ce qui concerne le matériel pédagogique. -Certains professeurs manquent de motivation car ils entrent dans lenseignement plutôt par nécessité que par vocation.

26 -Les filières de formation sont assez diversifiées : écoles denseignement général, technique et professionnel. Par ailleurs, des institutions éducatives non formelles accueillent les élèves en échec dans les écoles classiques. Dans lenseignement supérieur, des universités, restées avec les mêmes infrastructures depuis leur création, sont dépassées par la forte demande détude des jeunes

27 LA PRATIQUE ÉDUCATIVE (suite) -La faible rémunération des professeurs entraîne : la multiplication des heures de cours, linstabilité à leur poste, un frein à lacquisition du sentiment dappartenance à létablissement. -Les écoles lasalliennes jouissent dune grande audience du fait :

28 -Dun bon climat organisationnel, -Dun meilleur accompagnement des élèves, dune bonne qualité de lenseignement, -Dune éducation morale et spirituelle, -Deffectif des classes gérable

29 IV- LE CLIMAT RELIGIEUX

30 La liberté dexpression et de culte promue par louverture démocratique a favorisé la prolifération de nouveaux mouvements religieux. Jeunes et adultes confrontés aux difficultés de la vie constituent le public de ces nouvelles églises. Ces églises constituent un défi pour lÉglise catholique et les écoles lasalliennes. Ces dernières, dans la formation religieuse des jeunes attirent lattention sur :

31 le vrai sens de la relation à Dieu ; -une meilleure lecture et compréhension de la Parole de Dieu ; -les démarches appropriées pour la vie de prière ; -le sens et la richesse des sacrements et leur célébration

32 -Dautre part, nombreux sont les jeunes qui vivent leur foi à travers : -la participation à un mouvement, -des groupes de prière et des temps de récollections et de retraites, -des actions caritatives.

33 B- CONTENUS THÉMATIQUES

34 I- MISSION ÉDUCATIVE LASALLIENNE

35 1. ANALYSE DE LA SITUATION a) Les réalités : -Lenfant reste le centre dintérêt de la mission et il y a des efforts pour être attentif à sa situation et à ses besoins, pour faire connaître et défendre les droits des enfants. -Il y a un service authentique des pauvres : bourses détude, aides aux délinquants mineurs en prison, centres daide pour adultes en vue de leur autosuffisance, centres danimation féminine pour jeunes filles pauvres.

36 -Adaptation des structures en fonction des besoins de la mission. -Effort de bonne gestion financière grâce à la formation des administrateurs. -Mise en place de structures de coresponsabilité pour le fonctionnement et lanimation des œuvres. Les réalités(suite):

37 SOUTH AFRICA

38 b) Les tendances : - Ouverture à la prise en charge de nouvelles formes de pauvreté. - Revitalisation de la tradition lasallienne de la réflexion du matin. - Retour au primaire et présence au supérieur dans lenseignement. - Association dune formation technique pratique à la formation dans lenseignement secondaire classique. - Formation des enseignants. - Des efforts de responsabilisation des parents des élèves.

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40 c) Les obstacles : - Les parents ne participent pas à léducation de leurs enfants pour diverses raisons (incompétence, démission, manque de temps…) - Ingérence des paroisses et des diocèses dans la gestion financière des œuvres. - La forte demande de places dans nos écoles fait diminuer la qualité du service. - Les changements trop fréquents dans ladministration et linstabilité du corps professoral ne favorisent pas la mission. - Difficultés à concilier le manque dargent et la volonté de servir les pauvres.

41 - La situation socio-économique des enseignants les empêche de remplir convenablement leur mission. - Réticence de certains enseignants à sengager dans la mission lasallienne déducation par ignorance ou par mauvaise volonté. - Focalisation sur une réalisation scrupuleuse des programmes scolaires au détriment des objectifs de la mission. - Le nomadisme scolaire des élèves

42 Lycée d'Enseignement Professionnel Issa Béri BP : 11091, Niamey, Niger

43 - Création de structures pour les jeunes que lécole classique ne peut recevoir. - Tenir compte des pauvres dans toutes les décisions concernant la création ou lorientation dune œuvre. - Constituer des équipes éducatives et des communautés viables pour gérer les œuvres. d) Les défis :

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45 - La continuité de lœuvre exige que léquipe dirigeante reste assez longtemps en place. - Besoin dun renforcement du spirituel dans nos œuvres afin de répondre aux besoins des jeunes. - Création de structures de recyclage pédagogique et spirituel pour les enseignants. - Implication des laïcs dans léveil des vocations à la vie religieuse. 2. LES PERSPECTIVES.

46 - Conscientiser les parents et les anciens élèves en vue de la mise en place dun système daide scolaire au bénéfice des plus pauvres. - Rendre transparent à tous les niveaux la gestion financière de nos œuvres : élaboration, réalisation, évaluation du budget. - Rechercher les sources de financement hors de lécole pour aider le système éducatif. - Encourager et fortifier lengagement des laïcs dans lassociation lasallienne. - Créer un réseau déchanges entre les différents établissements lasalliens. 3. LE PLAN DACTION

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48 II- LASSOCIATION

49 - Lassociation est généralement bien comprise, mais des problèmes surgissent dans le vécu du fait des réticences tant de la part des religieux lasalliens que des laïcs, réticences dues au manque de formation et dinformations sur lassociation. 1. ANALYSE DE LA SITUATION. a) Les obstacles à lassociation lasallienne.

50 -Lorsque lÉtat prend en charge tout ou partie du salaire des laïcs enseignants, ceux- ci se sentent moins engagés dans la mission parce quils y sont imposés par lÉtat dune part et dautre part il y a le fait que le salaire ne satisfait pas les enseignants qui se voient toujours obligés de recourir à des engagements hors de la mission.. -Lidentité des laïcs et des religieux est mal assimilée au sein de lassociation et cela cause des inquiétudes ou des incompréhensions

51 - Il y a des problèmes de communication entre Frères et laïcs parce quils nont pas la même compréhension de lassociation. Il y a des cas dindifférence à la mission et par conséquent à lassociation. -Certains Frères ont peur de voir des laïcs sorganiser en groupe de revendication de type syndical sous le couvert de lassociation. - Il y a encore des enseignants qui considèrent le frère comme le patron de linstitution.

52 - Il y a de la part de certains Frères la peur de perdre leurs privilèges si on développe lassociation. - La prolifération actuelle des sectes influent parfois sur le vécu de lassociation qui ne souvre pas sur la mission. (risques de dérive…)

53 - Développer entre Frères et Associés une réflexion sur la place de largent dans les institutions lasalliennes. - Trouver les voies et moyens pour stabiliser le corps enseignant en recrutant, par exemple, des permanents. - Partager la mission en association avec des éducateurs dautres confessions religieuses. - Favoriser les rencontres entre Frères et laïcs pour mieux comprendre et vivre lassociation b) Les défis de lassociation

54 Volontaires Lasalliens

55 Les étapes à franchir pour parvenir à une association lasallienne. - La véritable association lasallienne suppose un processus de formation et dappropriation des valeurs lasalliennes. 2. PERSPECTIVES

56 - Les Frères doivent sefforcer de partager largement avec les associés les informations et les décisions concernant la vie de la famille lasallienne en général et de linstitution en particulier. -Faire connaître et comprendre les valeurs du projet éducatif lasallien et aider les institutions à élaborer le leur.

57 -Accompagner les engagements et les évaluer en association. -Que les associations lasalliennes souvrent à toutes les dimensions et à toutes les formes de pauvreté. - Favoriser, organiser des rencontres entre Frères et laïcs pour définir la place et lidentité de chacun au sein de lassociation.

58 -Que lon organise la formation des associés au plan régional -Mettre en place des commissions de lassociation au niveau de la région, des districts, des sous-districts et délégations. -Élaborer des plans de formation pour associés et partenaires laïcs. 3. PLAN DACTION

59 -Proposer aux laïcs des schémas de démarches spirituelles dans leurs engagements lasalliens. -Former des leaders lasalliens pour dynamiser lassociation. -Donner une place importante à lassociation dans la formation initiale des jeunes Frères.

60 III- STRUCTURES DORGANISATION

61 1. ANALYSE DE LA SITUATION a) Réalités Au niveau local : -Direction de létablissement par un conseil de frères et laïcs avec pouvoir délibératif. -Comité de classe et système de tutorat. -Œuvres lasalliennes dirigées exclusivement par des laïcs mais intégrées dans le district. -Association des parents délèves

62 Au niveau du district : -Les districts fonctionnent sur le mode traditionnel mais dans certains districts des commissions de la MEL et Association ont été mises en place avec un rôle consultatif. -Dans certains districts, il existe un secrétariat de la MEL -Participation des laïcs au chapitre de district avec voix consultative. Réalités(suite)

63 -Participation des œuvres lasalliennes à des structures de collaboration avec lÉtat (enseignement catholique), avec lÉglise locale, structures variables selon les pays.

64 Au niveau régional : -Existence dun début dassociation entre Frères, Partenaires et Associés depuis le CLAF à Saa au Cameroun et diverses rencontres sectorielles de la région. Réalités(suite)

65 - Intégration des commissions MEL dans les structures de direction de lécole. - Existence dun noyau de professeurs stables pour lanimation pédagogique et lasallienne de lécole. - Souci des laïcs de sengager dans des associations lasalliennes répondant aux besoins des jeunes. b) Tendances

66 - Mise en place de programmes de formation lasallienne des Partenaires et Associés. - Existence de structures composées de Frères et Partenaires pour travailler avec le frère Visiteur et son Conseil.

67 - Manque douverture suffisante desprit de la part de certains Frères et de laïcs pour saccepter et travailler ensemble. - Refus de certains frères et particulièrement des jeunes frères qui viennent des études à accepter et à vivre lassociation. c) Obstacles

68 -Prise de décisions de la part des Frères sans concertation avec les partenaires. - Mauvaise utilisation des compétences à la tête dune œuvre ou dun domaine dactivité dans certains districts.

69 2. PERSPECTIVES -Création dun conseil de la MEL / ASSOCIATION dans chaque district. -Processus dappropriation des documents de lInstitut dans le cadre de la mission partagée par les Frères et les Partenaires.

70 3. PLAN DACTION -Mise en place dune commission de la MEL au niveau du district nommée par le Frère Visiteur et investie dune autorité et dune compétence sur lensemble des œuvres lasalliennes du district. -Créer un fonds autonome pour le fonctionnement de la MEL.

71 -Mettre un comité de la MEL au niveau régional qui aura des réunions régulières, selon les possibilités financières de la région. -Mettre en place des réseaux de communication au niveau de la région pour les partages et les échanges entre les différents districts, sous districts, délégations de la région…

72 AFRICA FSC & LAÏCS Associés TERRE DE MISSION

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