La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

MASTER: Management des Entreprises Social et Territoire

Présentations similaires


Présentation au sujet: "MASTER: Management des Entreprises Social et Territoire"— Transcription de la présentation:

1 MASTER: Management des Entreprises Social et Territoire
ENTREPRISE SOCIALE, ANCRAGE TERRITORIAL ET DYNAMIQUE TERRITORIALE Encadré par: Mme Bouchra DEBBAGH Réalisée par: AFARFAR Chaimae ELFIZAZI Jihane OUTASRA Anas MAALEM Ayoub MAMOUNI Taoufiq ELMOUSSAID Mohammed Amine 

2 INTRODUCTION L’expression d'économie sociale apparaît pour la première fois au début du XXe siècle et précisément en 1912, dans un ouvrage intitulé "les institutions du progrès social" dont l'auteur est Charle GIDE. Dès le milieu des années 70, et surtout à partir de 1980 (début d'application des programmes d'ajustement structurel dans plusieurs pays), on assiste à l'émergence d'un ensemble de pratiques de l'économie solidaire. Une des particularités de l'économie sociale est son étroite imbrication avec le développement des territoires, il y a un lien fort entre l'entreprise sociale et son territoire, ce lien est nommé "ancrage territorial ". Ici, on va s'interroger sur les différentes dynamiques territoriales utilisées pour le développement du territoire, la lutte contre la pauvreté....etc.

3 PROBLEMATIQUE Dans notre exposé nous allons traiter ‘Entreprise sociale, ancrage territorial et dynamiques territoriales’ sous la problématique suivante : Comment une entreprise sociale à travers un ancrage territoriale peut créer une dynamique territoriale ?

4 PLAN PARTIE 1: Cadre historique d’Entrepreneuriat social et Entreprise sociale PARTIE 2 : Intersection entre Entreprise sociale, Ancrage territorial et Dynamique territoriale PARTIE 3 :Etude du cas : SPL AIN NOQBI

5 CADRE HISTORIQUE D’ENTREPRENEURIAT SOCIAL
Officialisé à travers le monde durant les 20 dernières années, le concept d’entrepreneuriat social se retrouve actuellement au cœur des débats portés sur le social. L’Europe et les Etats-Unis constituent notamment les principaux pionniers de cette conceptualisation. Européenne anglo-saxonne 

6 CADRE HISTORIQUE D’ENTREPRENEURIAT SOCIAL
Approche anglo-saxonne : C’est au début des années 1990 que la notion d’entrepreneuriat social signe son intégration officielle aux Etats-Unis. Différentes organisations et grandes universités, dont celles de New York, Columbia, et de Yale, sont les principaux initiateurs de l’émergence du concept. Ceci étant, aux Etats-Unis, la notion d’entrepreneuriat social ne s’identifie pas à travers une définition précise. Sa conception diffère selon les penseurs.

7 CADRE HISTORIQUE D’ENTREPRENEURIAT SOCIAL
Dans le cadre de cette diversité conceptuelle, deux écoles ont été identifiées : « l’école de l’innovation sociale » et « l’école des ressources marchandes » : L’école de l’innovation sociale L’école des ressources marchandes 

8 CADRE HISTORIQUE D’ENTREPRENEURIAT SOCIAL
Approche Européenne : La naissance du concept d’entrepreneuriat social se trouve en Italie. En 1991, l’Italie a créé un statut spécifique de coopératives de solidarités sociales qui est la première référence européenne explicite à l’entrepreneuriat sociale.

9 CADRE HISTORIQUE D’ENTREPRENEURIAT SOCIAL
Quelques années après l’apparition du statut de « coopérative sociales » en Italie, de nombreux pays européens se retrouvent déjà en pleine concrétisation du concept. En 2004, le Royaume-Uni décide notamment de se pencher un peu plus sur le côté social, et crée une « cellule entreprise sociale » dans le but d’apporter plus de lumières aux entreprises sociales. La Belgique contribue également à l’expansion du concept d’entreprenariat social en permettant, à partir de l’année 1995, la qualité de « société à finalité sociale » aux entreprises pourtant commerciales.

10 L’émergence d’entreprise sociale
Aux Etats-Unis En Europe Au Royaume-Unis Au Maroc Entreprise sociale

11 ENTREPRISE SOCIAL Définition d’entreprise sociale
Une entreprise sociale est définie comme étant une entreprise dont le but est de générer un bénéfice social ou environnemental et non pas des plus values pécuniaires, ses actionnaires savent bien qu’ils ne recevront pas de dividendes de leur placement, les employées du social business sont salariés et s’ils touchent des primes ou bonus, ceux-ci sont en fonction du bénéfice sociale qu’ils ont généré.

12 ENTREPRISE SOCIAL * les caractéristique d'entreprise sociale
Les caractéristiques et les principes d’entreprise sociale * les caractéristique d'entreprise sociale les principes d'entreprise sociale

13 ENTREPRISE SOCIAL Les formes d’entreprise sociale

14 « AT » « DT » « ES » Définition de l’ancrage territoriale selon ISO 26000 La norme ISO définit l'ancrage territorial comme étant « le travail de proximité proactif d'une organisation vis-à-vis de la communauté. Il vise à prévenir et à résoudre les problèmes, à favoriser les partenariats avec des organisations et des parties prenantes locales et à avoir un comportement citoyen vis-à-vis de la communauté. »

15 « AT » « DT » « ES » Chiffres à retenir :
Les entreprises estiment que leur engagement social et sociétal contribue favorablement à : • 90% à leur image externe, • 86% à leur intégration dans l’environnement local, • 83% à la performance globale de l’entreprise, • 75% au climat interne et à la cohésion sociale dans l’entreprise, • 72% à l’attractivité et la fidélisation des salariés .

16 « AT » « DT » « ES » Ancrage territorial, un investissement des entreprises au sein de leur territoire

17 « AT » « DT » « ES » De plus en plus souvent, on entend parler de l'ancrage territorial des entreprises et de leur investissement dans le système productif territorial. À l'heure où la délocalisation des productions est de plus en plus transcendante, les chercheurs et les collectivités locales cherchent à comprendre pourquoi les entreprises restent sur leur territoire ou pourquoi ne restent-elles pas(PERRAT, J., ZIMMERMANN, J-B., 2003).

18 « AT » « DT » « ES » Les entreprises ont tendance à être de plus en plus nomades avec les nouvelles technologies et les nouveaux moyens de transports. Au fil des cycles des produits et des technologies, elles sont amenées à reconsidérer le bien-fondé de leur implantation en un site donné. Ceci tient certes à des considérations de coûts des facteurs de production en un lieu donné, mais aussi et surtout à leur insertion dans une organisation industrielle globale intra comme intersectorielle (que l’on pense par exemple à l’importance, dans certaines industries, d’une proximité avec les entreprises clientes). Si certaines firmes font le choix d'être nomades ou de se délocaliser, c'est qu'elles n'ont pas trouvé la ressource dont elles ont besoin pour améliorer leur profit. Au contraire, une entreprise qui s'implante de façon pérenne sur un territoire aura trouvé ce dont elle a besoin pour se développer.

19 « AT » « DT » « ES » De plus, selon FUJITA M. et THISSE J.F. (1997), le territoire ne doit pas être considéré comme simple réceptacle des facteurs de production. Il est le résultat d'un processus de construction entre les différents agents économiques. Les entreprises lient nécessairement des relations diverses avec les acteurs locaux. Ces interactions étant plus ou moins intenses, l'ancrage territorial qui en découle sera plus ou moins important.

20 « AT » « DT » « ES » Finalement, l'ancrage territorial montre la stratégie d'implantation territoriale d'une entreprise. Les capitaux, le savoir-faire, l'emploi et les technologies de l'entreprise vont être directement injectés sur le territoire. Ces apports vont ainsi permettre au territoire de se développer. Ajouté à cela, l'entreprise va réaliser des actions en faveur de son territoire, pouvant se manifester par un dialogue et des rencontres avec les acteurs locaux, des partenariats locaux, un transfert de savoir-faire, la préservation de l'emploi et du tissu économique local.

21 REPRSENTATION UTILISE POUR DECRIRE LES DYNAMIQUES TERRITORIALES
« AT » « DT » « ES » REPRSENTATION UTILISE POUR DECRIRE LES DYNAMIQUES TERRITORIALES Intro : -Analyse de La Dynamique Territoriale dans ces derniers années est ce qu’ils ont une convergence ou bien divergence avec les analyses des années 1990 ? On parle de l’évolution des analyses. Deux Types de Dynamiques peuvent être fondés à travers l’interaction entre coordination et ressources territoriales ou résiliaires.

22 « AT » « DT » « ES » Les dynamiques territoriales : proposition de synthèse

23 « AT » « DT » « ES » Les dynamiques territoriales peuvent être définies à travers l’interaction de deux concepts : la coordination et ses répercussions à l’échelle territoriale, les ressources construites sur un territoire. Les dynamiques territoriales expliquées comme suit : Basée sur l’interaction d’acteurs. Les ressources sont créées et transformées au cours de la coordination. (variable et dépend des positionnements théoriques des auteurs). Elle est illustré par des micro-projets qui naissent en différente lieux du territoire.

24 « AT » « DT » « ES »

25 « AT » « DT » « ES » 1/ Coordination : La coordination a été approchée à travers deux grilles de lectures : les proximités et la gouvernance. 1.1/ Les proximités : *Grille de lecture d’inspiration institutionnaliste basée sur une distinction entre 3 formes de proximités (institutionnelle, organisationnelle et géographique). *Grille de lecture plus récente qui distingue 2 types de formes de proximités : géographique et organisée. => Ces formes sont utilisées pour décrire la qualité de la coordination. 1.2/ La gouvernance : *mode d’articulation d’enjeux privés et publics, apparait plus facile quand les jeux d’acteurs sont bien identifiés. *mode d’intégration des logiques individuelles et institutionnelles, est d’autant plus facile s’il y a un projet, si un milieu le porte.

26 « AT » « DT » « ES » 2/ La question des ressources.
2/ La question des ressources.  On a abordé plus haut la question des interactions entre ressources et coordination. Cette relation est d’intensité variable. Elle dépend à la fois de la nature de la coordination et de celle des ressources.

27 « AT » « DT » « ES » 2.1/ La nature générique et spécifique :
L’utilisation d’un facteur générique n’exerce de l’influence que sur la coordination, alors que l’utilisation d’un facteur spécifique provoque des modifications, notamment à travers des formes d’apprentissage se traduisant par la constitution de routines et d’irréversibilités. Une ressource spécifique est définie à travers son lien indéfectible à la coordination, à la fois path binding et past binding, tandis qu’une ressource générique est plus facilement redéployable.

28 « AT » « DT » « ES » 2.2/ la nature latente et disponible :
Les ressources disponibles : entendu au sens de pouvant être achetées et vendues sur un marché-, directement utilisables. Elles sont caractérisées par une quantité, un prix et une qualité. Ce qui entre en compte est la dotation en ressources. Les ressources latentes : ne sont pas immédiatement disponibles :au sens de faisant l’objet de relations d’achat/vente sur un marché. HIRSCHMAN (1958) attribue à ces ressources latentes un rôle de catalyseur des dynamiques économiques, transposable aux dynamiques territoriales.  Le territoire est considéré comme un support de ressources, au plus un valorisateur de ressources.

29 « AT » « DT » « ES » APPROCHE RESEAU Définition :
Le terme de réseau territorialisé est en fait un terme générique qui peut désigner bon nombre de réseaux dont le champ d’action est limité à un territoire. En effet, selon S. Ehlinger et al. (2007), les réseaux territorialisés « peuvent se définir comme des ensembles coordonnés d’acteurs hétérogènes, géographiquement proches, qui coopèrent et participent collectivement à un processus de production » .

30 « AT » « DT » « ES » L’objectif :
L’objectif des réseaux territorialisé d’organisation (RTO) est d’encourager les coopérations inter-organisationnelles entre des entreprises de tailles diverses, des laboratoires de recherche ou encore des organismes de formation, dans le but de stimuler l’innovation. Ces RTO entendent renforcer les proximités géographiques par une proximité organisationnelle et reposent sur une intensification des coopérations entre acteurs pouvant aller jusqu’à des formes de mutualisation à différents niveaux.

31 « AT » « DT » « ES » Dans la catégorie des réseaux territorialisés, on trouve à la fois (clusters, grappes, districts industriels, systèmes productifs locaux, milieux innovateurs, pôles de compétitivité, spécialisation intelligente…), elles partagent toutes un principe commun : une coopération étroite et active entre les diverses catégories d’acteurs.

32 « AT » « DT » « ES » réseaux territoire d'organisation
cluster systéme productif local district industriel pole de compétitivité

33 « AT » « DT » « ES » cluster :selon Mickaël PORTER (1998, p. 197) « un cluster est la concentration géographique d'entreprises interdépendantes : fournisseurs de biens et de services dans des branches industrielles proches ; les firmes livrant le produit final coopèrent avec les universités, et leurs concurrentes ». le district industriel: selon Giacomo Becattini c’est « une entité socio-territoriale caractérisée par la présence active d’une communauté de personnes et d’une population d’entreprises dans un espace géographique et historique donné » , autrement dit, par « de véritables intensifications localisées d’économies externes qui déterminent d’intenses agglomérations d’entreprises, fabriquant le même produit ou gravitant autour d’une production typique » .

34 « AT » « DT » « ES » système productif local : Bernard Pecqueur défini le SPL comme "concentration géographique des entreprises dans en liaison ou non avec une ou plusieurs grandes entreprises situées dans un même espace de proximité (local ou sous-régional) autour d'un métier, voire de plusieurs métiers industriels. Il existe un réseau dense d'interdépendances entre les diverses entreprises appartenant au SPL .il repose sur système de régulation qui fait appel non seulement aux règles du marché mais aussi à un code social, à des formes sociales: règles, valeurs, etc. Pole de compétitivité : : « un pôle de compétitivité se définit comme la combinaison, sur un espace géographique donné, d’entreprises, de centres de formation et d’unités de recherche publiques ou privées, engagées dans une démarche partenariale destinée à dégager des synergies autour de projets communs, au caractère innovant. Ce partenariat s’organisera autour d’un marché et d’un domaine technologique et scientifique qui lui est attaché et devra rechercher la masse critique pour atteindre une compétitivité mais aussi une visibilité internationale » .

35 « AT » « DT » « ES » Caractéristiques des dynamiques
Relation à l’espace Acteurs et gouvernance District industriels Activités industrielles semblables et complémentaires concourant a la réalisation de produits finis spécifiques. La flexibilité dans la réponse aux tandences du marché stimule la productivité et la compétitivité. Le système est lié à un territoire précis et bien défini prédominance du développement endogène. Principalement des PME un système auto-organisé construit dans la duré, mixant compétition et coopération entre acteurs de taille équivalente, basé sur de fortes normes culturelles. La gouvernance et principalement privé.

36 « AT » « DT » « ES » Systèmes productifs locaux
même chose que ci-dessus, mais les types de productions peuvent être plus divers : produit finis, composants, ensembles complexe…. Même chose que ci-dessus. Un système largement auto-organisé mais dans les acteurs peuvent être de type plus divers : déférentes tailles de firme, industrielles ou non (service , etc.) La gouvernance est principalement privé (aves des règles plus lâches que dans un district industrielle) mais les acteurs publics peuvent être requis par l’amélioration.

37 « AT » « DT » « ES » Pole de compétitivité
Pour la gouvernement française, les PC spécifient (( un partenariat entre entreprise , centres de formation , centres publics et privés de recherche )) organisé ((autour d’un marché et le champ technologique et scientifique qui lui est lié )). Le but est de faire franchir ponctuellement des étapes significatifs en terme d’innovation ou de production. Une telle combinaison doit être réalisé sur un espace géographique donné, mais cet espace peut être d’échelles variées, la coopération entre plusieurs régions étant souhaitée. La logique est clairement exogène et tirée par le marché. Il s’agit la d’un politique publique volontariste et sélective, portant sur un nombre limité de projets ayant une masse critique et une visibilité internationale. Ce sont les grandes firmes nationales et étrangères qui doivent être les pilotes se ces dynamiques et de leur gouvernance.

38 « AT » « DT » « ES » Cluster Dans la langage courant, il s’agit d’un conglomérat d’éléments ensemble de firme et éventuellement d’autre acteurs (recherche, formation , services ) dans le degré d’interactions n’est pas défini ( de taches à très fortes. La cohérence est apporté par la convergence entre un plus ou moins large champ d’activité identifiées par leur relation au marché. La relation à l’espace est très vague, depuis un territoire défini jusqu’à l’espace large d’un réseau de firmes. Le développement induit est principalement exogène et tiré par le marché. Les acteurs privés sont en charge de la dynamique et de la gouvernance, même quand un acteur public veut ( ou est sollicite pour introduire plus de soutien organisationnel ou financier .

39 « AT » « DT » « ES » Les réseaux d'entreprises, les pôles de compétitivité, les districts industriels ,cluster etc. sont autant d'exemples de production quotidienne et évolutive de nouveaux territoires. Plus qu'une confrontation entre réseaux et territoires, c'est plutôt un ajustement mutuel que l'on observe. Loin de les opposer, la géographie réunit donc les deux concepts sur un même terrain, celui des rapports de l'individu au collectif. Elle les réunit aussi autour d'une problématique commune, celle du vivre ensemble. Comme le rappelle Jean-Yves Piot, « les géographes se sont saisis précocement de la question à travers la notion "d'habitabilité" de la terre ».

40 « AT » « DT » « ES » INTERSECTION
L’entreprise sociale a une relation directe avec son territoire. Son rôle est la dynamisation, le mouvement, le changement, et le développement du territoire à travers l’ancrage territorial. L’ancrage territorial présente un enjeu politique et économique fort car il apparait comme un objectif de la gouvernance des territoires permettant une création endogène d’emplois et un moyen de sédentariser l’entreprise. l’ancrage est le processus et le résultat d’interactions entre entreprise et territoire, fondés sur la création collective des ressources communes, spécifiques, permettant une longue période de sédentarité d’une entreprise.

41 « AT » « DT » « ES » l‘entreprise social ne peut avoir d’importance et ne peut jouer son rôle que si elle prend en considération les valeurs de l’économie sociale. c.-à-d. que l’entreprise sociale doit répondre aux besoins de la population, en créant des emplois aux membres des collectivités. Aussi l’activation des ressources par l’offre des produits et services à partir des ressources locaux et de façon saine, pour répondre aux besoins locaux. Ce qui entraine à l’amélioration de la créativité, l’innovation, la création de la valeur ajoutée, la coordination des acteurs, la participation, l’attractivité, l’amélioration des ressources territoriales. L’entreprise sociale crée aussi son ancrage territorial à partir des réseaux territoriaux d’organisation qui participent à la solidarité et la compétitivité au sein de l’entreprise sociale, au sein du territoire et entre les différentes entreprises qui appartiennent aux mêmes ou divers réseaux (clusters, districts…etc.).

42 DYNAMIQUE TERRITORIALE
« AT » « DT » « ES » CONCLUSION E/se SOCIAL ANCRAGE TERRITORIALE DYNAMIQUE TERRITORIALE TERRITOIRE

43 Etude de cas : SPL Dans le contexte actuel de régionalisation, et selon la spécialisation territoire, les régions du Maroc bénéficient de spécificités territoriales qui constituent des facteurs de leur développement et de leur dynamisme. En effet, la vieille Médina de Fès constitue la Capital des arts traditionnels et Vitrine du savoir-faire de l’artisanat du Maroc.  Sachant que la particularité de ce territoire influe sur son développement et constitue une forme spatiale porteuse de dynamiques socioéconomiques propre.

44 Etude de cas : SPL La dimension sociale
L’artisanat procure du travail et des revenus pour plus de artisans représentant plus de 17% de la population active de la région Fès- Boulemane, répartis dans unités de production et plus de 205 métiers, 83% des artisans de la région exercent dans la ville de Fès dont 47% à l’ancienne Médina. L’artisanat à Fès fait vivre directement ou indirectement plus de habitants, soit 33% de cette ville et plus de 75% de la population de l’ancienne Médina.

45 Etude de cas : SPL La dimension économique
Les recettes en devises que procure l’artisanat à la région dépassant 22 Mdhs d’exportation qui constitue 47% des exportations nationales dans le secteur artisanale. A ce chiffre il conviendrait d’ajouter les achats directs des touristes (exportations indirectes) qui s’élèvent à DH .

46 Etude de cas : SPL Donc l’artisanat est porteur de richesses, d’emploi, et donc participe à une dynamique territoriale. Mais, il y a des contraintes qui sont liées au les conditions du travail. Ahmed KECHMAR (artisans depuis 30 ans et membre de coopération OUED ZHOUN de tannage) déclare que la situation est en crise car le secteur a été abandonner dans les 10 dernières année , selon lui cette crise est due a l’augmentation du prix de matière première et manque d’espace de commercialisation , ainsi que l’impact de la crise mondiale sur l’économie marocain , sans oublier les produit chinois qui ont envahi le marché

47 Etude de cas : SPL PROJET SPL AIN NOKBI
Il y a un capital réel de solidarité au sein de l artisanat, qu’il conviendrait de mettre à profil pour une gestion solidaire des contraintes et de développement des SPL Pour faire face a ces contrainte et développer le SPL un projet a été mise en place afin d’améliorer les deux dimension sociale et économique et ajouter la dimension environnementale

48 Etude de cas : SPL OBJECTIF :
Il s’agit d’un projet de lotissement artisanal pour le transfert des activités polluantes (DINANDERIE et TANNERIE) de la MEDINA DE FES au QUARTIER AIN NOKBI LES OBJECTIF ATTENDUS SONT : La sauvegarde du tissu historique de la MEDINA DE FES, contre nuisances des machines utilisées . La protection de l’OUED SEBOU de la pollution, une des principales ressources en EAU DU ROYAUME. En effet, les rejets de produits chimiques : chrome, acide sulfurique et chaux, produit utilises dans les activistes à transférer ont des conséquences assez grave sur l’environnement hydrique. La restructuration, l’organisation et l’amélioration des condition de production des secteur de la DINADERIE et la TANNERIE a FES Amélioration des conditions de travail des artisans Réduire au minimum les émissions de gaz et de liquides polluants, créer des espaces verts et sensibiliser les bénéficiaires et les usagers à l'importance de faire d'Aïn Nokbi un espace agréable de vie et de travail pour les artisans.

49 Etude de cas : SPL MAITRE D’OUVRAGE : holding d’amenagement ALORMANE
BENEFICIAIRES : les artisans des secteure de la dinanderie et de la tannerie exercant principalement a la MEDINA DE FES SITUATION DU PROJET : arrondissement JNANE EL OUARD –PREFECTURE DE FES SUPERFICIE DU PROJET : 6,70 HA COUT ESTIMATIF DU PROJET : MDH CONSISTANCE DU PROJET : -240 lots pour les DINANDIERS -10 lots pour les TANNEURES -4 FOUNDOUKS pour les petits artisans DINANDIERS (environ 450 ARTISANS ) FINANCEMENT DU PROJET : (Fond Hassan II // ADER // Communauté urbain de Fes // Ministere charge de l’artisanat // les benificiares // MCC )

50 Ce projet répond aux caractéristiques d'un SPL.
Etude de cas : SPL un SPL, selon la grille d’analyse de Coulet, se caractérise par trois fondamentaux éléments : la coopération entre entreprises ; la complémentarité entre entreprises ; et les compétences distinctives. Ce projet répond aux caractéristiques d'un SPL.

51 Après l’application du projet
Etude de cas : SPL Après l’application du projet Suite a une rencontre avec Mr Mohammed AQESBI artisans et représentant de la chambre des artisans : Jusqu’aujourd’hui Seul les travaux de dinanderie qui sont attenu , La plupart des travaux de tannerie n’on pas respecter le temps prévu Les attend des artisans n’on pas été prise en compte a savoir : Les subventions en matière premier L’aide à la commercialisation Fournir des moyennes de transport Assurer la sécurité a AINE NOKBI

52 Etude de cas : SPL

53 Etude de cas : SPL

54 contraintes qui bloquent son expansion
Etude de cas : SPL  contraintes  qui bloquent son expansion Problème de financement Blocage et retard dans la procédure (acquisition de terrain , création des comptes bancaire) Manque de relation de bouclage entre ressource et coordination

55 Etude de cas : SPL

56 Etude de cas : SPL Un projet qui ne met pas la vie des artisans en première place est condamné a échec « Mohammed EOUAZANI »

57 Merci de votre attention


Télécharger ppt "MASTER: Management des Entreprises Social et Territoire"

Présentations similaires


Annonces Google