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Le livret de compétences Stage « socle commun » I.U.F.M D. GILLET - 27 novembre 2007.

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1 Le livret de compétences Stage « socle commun » I.U.F.M D. GILLET - 27 novembre 2007

2 1884, le cahier de devoirs mensuels Pour « habituer : - les élèves et leurs parents à mesurer les progrès de chaque enfant par comparaison, non avec les autres mais avec lui-même, de manière à proportionner le mérite non pas au succès, mais à leffort ; - les maîtres à sassurer périodiquement si la classe suit bien le programme et profite bien des leçons dans toutes les parties de lenseignement ; - les inspecteurs à prendre pour base des appréciations, non plus seulement des impressions, mais un ensemble de documents qui permettent dentrer dans tout le détail de la vie scolaire et dêtre scrupuleusement équitable envers chaque école, chaque maître, chaque élève… »

3 Dans les pratiques jusque dans les années 70 n Des contrôles sous formes de compositions trimestrielles, interrogations écrites et orales, privilégiant la mémoire et donnant lieu à une note globale. n Documents rassemblés dans le cahier de devoirs n Classement des élèves.

4 1969, les premiers éléments relatifs aux compositions, notes et classements n « Ce qui importe de sont les progrès de lélève par rapport à lui-même et leur constatation nexige pas nécessairement une note chiffrée… » n le contrôle continu se substitue aux compositions (contrôle sommatif et final) ; n léchelle de notation de 0 à 20 est remplacée par une échelle dappréciation globale en 5 points (A à E ou 1à 5); n les classements sont proscrits

5 Dans les pratiques jusque dans les années 80 n Les contrôles névoluent guère, ni dans leur forme, ni dans leurs objectifs. n Transcrit dans un bulletin scolaire qui restera la plupart du temps chiffré, le contrôle des acquis des élèves conservera, jusque dans les années 80, un caractère avant tout global et normatif. Rapport IGEN, juin 2007.

6 Loi dorientation de 1989, les cycles « les différents seuils de souplesse introduits dans le système de lécole primaire rendent indispensable un instrument institutionnel de liaison qui permettent notamment : - un suivi de lélève dans le cycle et dun cycle à lautre ; - lassurance d une continuité véritable du service public en cas de changement décole par exemple ; - une information régulière des parents. »

7 1990, du bulletin au livret scolaire n Institué en 1990, diffusé en 1992 : modèle officiel proposé mais non imposé. n En cohérence avec « les cycles à l école primaire » qui définit les compétences à acquérir au cours de chaque cycle. n un livret composé de 3 fascicules, un par cycle et doit permettre une évaluation régulière des acquis et un bilan à la fin du cycle. n destiné « à aider les enseignants dans leur réflexion ».

8 Le livret scolaire ministériel n Pour le domaine de la langue et les mathématiques, 3 colonnes par période : - programme de travail (PrT) : pour cocher les compétences qui font l objet du programme de travail pour la période ; - acquisitions-observations : pour préciser les contenus abordés, les acquisitions réalisées, les difficultés éventuelles et toutes les remarques jugées utiles ; - constat : pour indiquer le degré d acquisition de la compétence atteint par l élève : compétence confirmée (1), à renforcer(2), en cours d acquisition(3), non acquise(4).

9 Le livret scolaire ministériel n Bilan de fin de cycle : une case pour faire la synthèse des acquisitions de lélève et des observations des maîtres par domaine de compétence. Si consolidation nécessaire ou prolongation de scolarité, les indications données doivent permettre l individualisation du parcours de lélève. n Tableau de synthèse : pour chaque période un bilan global des appréciations et observations signé par le directeur et les parents

10 1995, des référentiels de fin de cycle n Il sagit délaborer un outil lisible et dutilisation simple, répondant à la fois aux exigences relatives au suivi de lélève et à linformation des familles. n Le choix du livret relève de la responsabilité pédagogique des conseils de maîtres et est validé comme tout choix pédagogique par linspecteur. n La forme du livret importe peu et les enseignants doivent construire progressivement un document de liaison contenant : - la liste de toutes les compétences à travailler dans le cycle ; - les compétences abordées et les exercices correspondant à une période donnée.

11 Dans les pratiques, à partir de 1995 n de nombreuses écoles se sont dotées dun livret dévaluation - de nombreuses équipes ont construit leur propre livret ; n la notation traditionnelle est moins présente; n lévaluation est plus souvent intégrée aux apprentissages ; n une communication régulière est faite aux familles

12 2002 : des objectifs de fin ce cycle en termes de compétences n « L équipe pédagogique doit envisager l évolution du livret scolaire utilisé dans l école pour qu il soit en cohérence avec les compétences définies dans les nouveaux programmes.

13 2006 : après la nouvelle loi d orientation n « Lévaluation continue des élèves doit aboutir à la constitution dun livret scolaire retraçant la scolarité de l élève dans le premier degré et dressant le constat objectivé des compétences quil y a acquises en vue de l entrée au collège. Cest sur la base de ce livret que seront organisés les échanges entre les maîtres du premier et du second degré afin de garantir la continuité des enseignements. »

14 Dans les pratiques actuelles n Des livrets existent dans de nombreuses écoles n Les évaluations restent insuffisamment objectives n La communication reste difficile avec les parents mais aussi entre les degrés du système éducatif. Rapport IGEN, juin 2007.

15 La définition des compétences reste problématique Dans les textes : pas de progression dans la mise en œuvre des compétences au cours des différents cycle. Réflexion déléguée aux écoles. Il faudrait : - donner des repères plus précis aux enseignants - définir plus clairement la notion de compétence et ce que lon souhaite évaluer : compétence globale, composante, connaissances...

16 Les pratiques dévaluation restent diverses Des tentatives locales pertinentes mais un manque dunité : une évaluation comparable dune classe à lautre, dune école à lautre reste à mettre en place. Rien ne permet de sassurer actuellement que toutes les compétences font lobjet dun véritable travail permettant lapprentissage. Les livrets ne permettent ni de vérifier la pertinence de ce qui est prévu, ni de relier le prévu et le réalisé, le réalisé et le réussi.

17 Information des familles n Lobjectif d avoir un outil unique, à la fois pour organiser le travail des enseignants et pour informer les familles, sest révélé à lusage trop contraignant.

18 Des livrets de conception différente dune école à lautre n Ce livret a du mal a trouvé son équilibre entre deux extrêmes : - document très analytique regroupant sur de multiples pages un grand nombre de compétences, peu lisible par les familles - document, proche du bulletin, donnant des résultats globaux par discipline

19 2007 : le livret personnel de compétences Il vous sera présenté la prochaine fois


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