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Problématiques du chapitre 1 (classique et néo-classique, …)

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1 Introduction au chapitre 1 : Des approches linéaires de l’innovation technologique
Problématiques du chapitre 1 (classique et néo-classique, …) Les sources de l’innovation et du changement technique (d’où provient l’innovation ?) La vitesse et les modalités de diffusion de l’innovation dans le système économique (de « l’innovation » au « progrès technique » macro) Perspective : comprendre pour mener des politiques (macro) économiques (à l’initiative de la puissance publique) visant à soutenir l’innovation, sur les deux plans Une approche macro-économique : il existe des dynamiques globales qui ne se limitent pas à la somme des dynamiques locales Enjeux : quoi faire pour améliorer l’avantage compétitif d’une nation (d’un système productif) en matière de capacité à innover ? Ex. : extension du droit du brevet ? Soutien public aux fonds de capital risque ? Aides directes aux entreprises ou aux institutions ? Démarche suivie : les capacités de certaines grilles d’analyse (modèles théoriques) à rendre compte de la réalité (modèle/cas/critique)

2 Section 1 – L’innovation dans les théories classiques et néo-classiques
Innovation et changement technique dans la théorie « classique » (Smith, Babbage, Ricardo) Source : une innovation endogène ou exogène ? L’innovation hors du champs de la sciences économique et de l’activité économique ? (créationnisme/endogénéisation de l’innovation) Smith (1776): 1ère endogénéisation : la source de l’innovation est la division du travail et de la mécanisation qu’elle autorise : division du travail ->spécialisation et simplification /usage de machine et économie de répétitivité-> gain de productivité Division technique du travail (dans l’usine) et division sociale (entre industries) Également, Rôle du « savoir faire des ouvriers » et du « travail des savants ou théoriciens » Ex. : « L’usine d’épingle : au lieu de l’artisan isolé, la manufacture d’épingle (rassemblement d’artisan salariés) : un travail « segmenté » « division du travail ». Simplification. Recours à machine. Intérêt : la mécanisation requiert la « simplification » du travail et des taches : idem pour informatisation. Toute le capitalisme industriel basé là dessus (avec « modernisation » management japonais). Ex. Travail à la chaîne, ou « travail en petit groupe » ?( japonais/moteur) -> une limite à la division du travail du à des coûts de coordination hiérarchique et/ou = une organisation peu propice à l’innovation ?

3 Babbage (1832) : un approfondissement :
Extension de la taille du marché -> augmentation de la production -> [autorise et rend nécessaire] spécialisation, division du travail, mécanisation, Commentaire/Analyse : Un certain déterminisme de la technique sur le social : la machine détermine une certaine organisation du travail Impact en terme de politique économique et stratégie industrielle organisationnelle : favoriser configuration industrielle avec grande part de marché (« grande industrie », -> fordisme) Favoriser l’organisation du travail « fordiste »

4 Innovation et changement technique dans la théorie « néo-classique »
2 temps : l’approche néo-classique, et ses enrichissements avec l’approche néo-classique dite « standard ». Principes fondamentaux de l’économie néo-classique et critiques: a)Un principe de rationalité optimisatrice pour modéliser les comportements des agents (rationalité et information parfaite) b) Une analyse menée essentiellement en terme d’équilibre statique, c) Le rôle privilégié du marché. Difficulté de rendre compte de l’innovation dans ce cadre: caractère dynamique de l’innovation, incertitude (non probabilisable), activités « hors marché ».

5 Exogéneité de l’innovation dans le cadre néo-classique,
Le firme comme « boite noire », la firme « automate » Immédiateté de l’innovation dans le cadre néo-classique Quelques enrichissement au sein de l’approche néo-classique contemporaine ( dite « standard ») la connaissance technologique « reconnue » comme information, et comme « bien » économique (Arrow). Un « bien public » ? La diffusion selon les modèles épidémiologiques de Mansfield et de Stoneman

6 La diffusion selon les modèles épidémiologiques de Mansfield et de Stoneman
Le modèle épidémiologique de la diffusion de l’innovation (la « courbe en S ») (Mansfield): Le diagramme : Population d’utilisateurs-consommateurs « potentiels »/temps 4 phases : émergence, croissance, maturité, et déclin Les mécanismes sous-jacents : L’incertitude vis-à-vis des performances économiques obtensibles avec l’usage de l’innovation; Différenciation des acteurs selon leur assomption du risque; Diffusion progressive d’informations sur les performances au cours du temps/expériences; Comportements d’imitation (analogue à la « contagion »). L’enrichissement par Stoneman : la différence d’assomption des risques (et de propension à adopter) entre les firmes est corrélée avec l’indicateur « taille ». Seuil de rentabilité différencié, adoption progressive avec baisse des prix.

7 Apport et limites Apports : Théorie + « réaliste » : De l’immédiateté à la progressivité de la diffusion de l’innovation. Action envisageables sur certains de ces mécanismes. Utilisations : management d’innovation / pol. d’innovation. Limites : Un modèle « explicatif » (dans certains cas et a posteriori) mais aucunement « prédictif ». Versus : nous guider face à l’incertain. Ex. : « négociation » resp. projet R&D avec son supérieur. Une innovation considérée comme « donnée » et « figée ». Versus : l’innovation est en continuelle évolution. Ex. : 1G, 2G, 3 G en téléphonie mobile. Une population d’utilisateur-consommateurs potentiels considérée comme donnée et figée. Versus : la population « potentielle » évolue, notamment avec l’évolution de l’innovation. Ex. : la population « imprévue » des fans de « texto » /la population des 1G, 2 G 3 G. L’indicateur « taille » : pas le seul (réducteur). Conclusion sur ce modèle : « séduisant » de simplicité, mais peu rigoureux (robustesse), et surtout peu opérant (mais « mobilisé »).


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