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Revue des marchés des capitaux Juillet 2014. 2  L’économie américaine s’est contractée au premier trimestre en raison du mauvais temps inhabituel, mais.

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1 Revue des marchés des capitaux Juillet 2014

2 2  L’économie américaine s’est contractée au premier trimestre en raison du mauvais temps inhabituel, mais la situation ne devrait pas persister puisque nous avons déjà remarqué des preuves de raffermissement de la croissance au deuxième trimestre.  En Europe, les craintes ont maintenant pour objet la déflation et la croissance anémique.  Les marchés émergents sont aux prises avec des excès de crédit et un affaiblissement des marchés du logement et ralentissent.  Les estimations générales de la croissance mondiale ont été abaissées pour 2014, mais légèrement rehaussées pour 2015.  Nous estimons que l’amélioration imminente de l’économie dans le monde développé compensera largement les risques de baisse et, par conséquent, nos prévisions pour la croissance sont légèrement supérieures à celles des analystes. L’économie

3 3  Les données économiques mondiales demeurent mitigées : les marchés développés gagnent du terrain tandis que les marchés émergents fléchissent.  Dans les économies développées, les indices des directeurs d’achat (PMI) ont généralement monté ; l’indice PMI de l’ISM pour le secteur manufacturier des États-Unis s’est nettement redressé après un hiver difficile.  Les indices PMI reculent dans la plupart des marchés émergents. Bien que l’indice PMI de la Chine ait monté en mai, il affiche une tendance baissière depuis le début de 2013. L’économie PMI composite des marchés émergents* * Indice composite pondéré en fonction du PIB des indices PMI de la Chine, de la Russie, de la Corée du Sud, du Brésil et de l’Inde

4 4  À l’avenir, la hausse des prix du pétrole accentuera l’incertitude économique.  Le graphique ci-dessous montre que l’augmentation du prix du pétrole a généralement un effet négatif sur les données économiques.  Un pétrole plus cher entraîne une hausse du coût des intrants pour les entreprises et une baisse du revenu disponible des consommateurs, puisque le prix de l’essence est plus élevé.  Par conséquent, les données économiques pourraient reculer si le prix du pétrole demeure élevé. L’économie

5 5  La Fed continue de réduire son programme d’assouplissement quantitatif et elle devrait y mettre fin d’ici la fin de 2014.  Elle a déclaré qu’un taux directeur situé entre 0 % et 0,25 % restera adéquat longtemps après la fin de l’assouplissement quantitatif, et le changement d’orientation de la politique monétaire dépendra de l’emploi et de l’inflation.  Bien que l’emploi ait affiché des progrès considérables depuis la crise financière, le chômage demeure élevé.  L’inflation a grimpé le mois dernier, mais elle reste inférieure à la cible de 2,0 % fixée par la Fed.  D’après la majorité des membres du comité de l’open market, la première hausse des taux d’intérêt devrait avoir lieu en 2015. L’économie Taux cible de la Fed : 2,0 % Dernier relevé : 1,62 % Inflation Indice de prix des dépenses de consommation personnelle Variation annuelleen % Nombre de membres Le bon moment pour resserrer la politique Estimations des membres du comité de l’open market relativement à la politique monétaire appropriée

6 6  Les consommateurs reprennent confiance, notamment ceux dont les revenus dépassent 50 000 $.  C’est un élément important, car les personnes qui ont des revenus élevés sont celles qui contribuent le plus aux dépenses discrétionnaires.  Grâce à l’amélioration des perspectives économiques, les gens sont rassurés par rapport à l’avenir de leurs revenus. Ils épargnent moins et dépensent davantage.  La hausse de la consommation demeurera un facteur crucial de la croissance économique, puisqu’elle représente près de 70 % du PIB des États-Unis. L’économie Taux d’épargne personnelle aux États-Unis Épargne personnelle en % du revenu disponible Dernier relevé : 4,0 Source : Bureau of Economic Analysis, Haver Analytics, RBC GMA

7 7  Les pires moments de la crise de la dette européenne semblent derrière nous et les inquiétudes sont maintenant centrées sur la déflation et la faiblesse de la croissance.  En vue de raviver l’activité économique et l’inflation, la Banque centrale européenne (BCE) a mis en place un dispositif de soutien au crédit qui prévoit des baisses de taux et un apport de liquidités aux banques, et elle a annoncé que les taux resteraient bas pendant une longue période.  Par conséquent, les taux obligataires ont chuté dans la zone euro, et l’écart entre le taux des obligations du Trésor américain à 10 ans et les taux de titres comparables en Espagne et en Italie s’est resserré au point d’être pratiquement nul. L’économie Écarts de taux des obligations d’État à 10 ans Écart de taux (pb) Source : RBC GMA Espagne – É.-U. Italie – É.-U. Allemagne – É.-U.

8 8  Si les données économiques se sont améliorées en mai, les tendances à long terme continuent de laisser entrevoir un ralentissement de la croissance et de l’activité économique globale en Chine.  L’excès de crédit et le ralentissement du marché immobilier demeurent des obstacles pour l’économie chinoise.  La récente diminution des prix du minerai de fer donne une indication de l’affaiblissement du marché du logement, puisque la demande pour les matières premières s’atténue lorsque la construction est en baisse.  La Chine continue d’apporter la plus forte contribution à la croissance mondiale et les autorités chinoises travaillent avec diligence pour assurer un atterrissage en douceur. L’économie Prix au comptant du minerai de fer Prix au comptant des importations chinoises de fines de minerai de fer 62 % Fe, en $ par tonne métrique sèche

9 9 Taux d’intérêt à court terme  Les taux à court terme mondiaux restent faibles dans les pays développés, mais nous commençons à constater une certaine divergence dans les tendances des politiques monétaires à l’échelle mondiale.  Au Royaume-Uni, le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, a exprimé ses inquiétudes concernant la surchauffe du marché du logement et il a fait savoir qu’une hausse des taux pourrait survenir plus tôt que prévu.  Maintenant que les États-Unis mettent fin à leur programme d’assouplissement quantitatif, nous attendons un resserrement de la politique monétaire au milieu de 2015.  La BCE et la Banque du Japon continuant d’assouplir leur politique monétaire, nous ne prévoyons pas de hausse des taux avant 2016 en Europe et 2017 au Japon. Prévisions au 16 juin 2014 PRÉVISIONS DE TAUX DIRECTEURS Taux actuel : juin 14Taux prévu : mai 15 É.-U.0,25 % Canada1,00 % Europe0,15 %0,10 % Royaume-Uni0,50 %0,75 % Japon0,10 % (Source : RBC GMA)

10 10 Titres à revenu fixe  Après une longue période d’ajustement à la hausse, les taux des obligations ont baissé au dernier trimestre.  À court terme, la faiblesse de l’inflation et les politiques monétaires très accommodantes dans la plupart des pays développés continuent de maintenir les taux à de bas niveaux.  En outre, comme la croissance mondiale a été plus lente que prévu au premier trimestre, les taux d’intérêt réels ont baissé.  Par conséquent, les taux des obligations, qui avaient grimpé au-dessus du niveau d’équilibre de notre modèle au cours du premier trimestre, sont maintenant revenus à leur juste valeur.

11 11  Dorénavant, nous croyons que les taux des obligations augmenteront graduellement en réaction à la normalisation continue de l’économie et à la remontée des taux d’intérêt réels vers la moyenne à long terme.  Nous prévoyons que la hausse des taux sera lente et graduelle, puisque les corrections majeures qui étaient nécessaires lorsque les taux étaient extrêmement bas en 2013 ont déjà eu lieu.  À l’aide d’une fourchette d’opération tactique de 2,50 % à 3,00 %, nous avons géré activement notre sous-pondération en obligations.  La baisse des taux survenue lors des dernières semaines nous a donné l’occasion de réduire davantage nos positions en titres à revenu fixe. Titres à revenu fixe Prévisions au 16 juin 2014 PRÉVISIONS DE TAUX D’INTÉRÊT À LONG TERME Taux actuel : juin 14Taux prévu : mai 15 Oblig. américaines 10 ans2,64 %3,50 % Oblig. canadiennes à 10 ans2,35 %3,25 % Oblig. allemandes à 10 ans1,39 %2,50 % Obligations du R.-U. à 10 ans2,72 %3,75 % Obligations du Japon à 10 ans0,60 %1,00 % (Source : RBC GMA)

12 12  Les marchés boursiers mondiaux continuent de se redresser et se sont rapprochés du niveau d’équilibre de notre modèle.  L’indice S&P 500 est légèrement au-dessus de la juste valeur pour la première fois depuis la crise financière mondiale, puisque les risques se sont atténués et que la confiance des investisseurs a augmenté.  Étant donné que les évaluations s’approchent de la pleine valeur, nous avons revu à la baisse nos prévisions de rendement total, mais elles demeurent favorables. Marchés boursiers La juste valeur est le cours minimal qui va de pair avec une inflation modérée et de faibles taux d’intérêt dans un contexte de croissance économique. Une hausse des cours supérieure à la moyenne demeure possible si le contexte revient à la normale. En outre, de bonnes occasions se présentent, étant donné que les valorisations des principaux marchés demeurent toujours en deçà des niveaux minimums prévus. Des corrections sont toujours possibles et les valorisations ne limiteront pas le risque de dommages résultant de chocs systémiques, mais les perspectives relatives aux rendements des marchés boursiers sont généralement supérieures lorsque les actions se situent sous la juste valeur au point médian de la fourchette.

13 13  Les marchés subissent une volatilité extrêmement faible.  Les indices VIX, CVIX et MOVE, qui donnent respectivement une mesure de la volatilité des actions, des devises et des obligations, ont tous affiché une tendance baissière au cours des cinq dernières années.  Dans les marchés des actions, l’indice S&P 500 n’a pas subi de correction de 10 % depuis le deuxième semestre de 2011 et les baisses mensuelles - la perte maximale possible au cours d’un mois donné - ont fléchi.  Si la faible volatilité des actions contribue fortement à rehausser la confiance des investisseurs dans les marchés, elle peut aussi avoir des conséquences néfastes, car elle risque de pousser les investisseurs à trop s’endetter. Marchés boursiers Indices de volatilité S&P 500 Hausses et baisses les plus fortes par mois civil Hausse la plus forte Baisse la plus forte Rendement réel de la période Source : RBC GMA Indice de volatilité CBOE/S&P 500 (VIX) Indice MOVE de Merrill Lynch Indice de volatilité de la Deutsche Bank (CVIX) Sources : Bloomberg, RBC GMA

14 14  Malgré le fait que les marchés boursiers touchent de nouveaux sommets, l’humeur des investisseurs n’a pas encore atteint des niveaux dangereux.  Le sondage sur la confiance des investisseurs de l’AAII s’approche de la zone d’un trop grand optimisme, mais il demeure à des niveaux raisonnables, c’est-à-dire en deçà d’un écart-type par rapport à la moyenne.  De plus, les stratégistes recommandent toujours une pondération modeste en actions.  Si les marchés ont certainement connu une belle envolée au cours des deux dernières années, ces mesures n’indiquent pas encore que les investisseurs sont trop confiants, mais la situation doit sans contredit est surveillée de près. Marchés boursiers Sondage sur la confiance des investisseurs de l’AAII Optimistes moins pessimistes Optimisme exagéré Pessimisme exagéré Dernier relevé : 23,4 Sources : Bloomberg, RBC GMA, Bank of America Merrill Lynch Pondération des actions recommandée par les stratèges du S&P 500 Pondération des actions (gauche) S&P 500 (droite)

15 15  À l’avenir, la croissance des bénéfices représentera une source plus durable de rendements futurs.  Comme la reprise prend de la force, nous prévoyons que la croissance du PIB se traduira par des ventes accrues.  Si les entreprises parviennent à maintenir les marges bénéficiaires, la nouvelle croissance des revenus devrait contribuer à l’accélération des bénéfices et pourrait favoriser la prochaine hausse des marchés boursiers. Marchés boursiers Prévisions au 16 juin 2014 PRÉVISIONS RELATIVES AUX MARCHÉS BOURSIERS Taux actuel : juin 14Taux prévu : mai 15 Indice S&P 50019442025 Indice composé S&P/TSX1489215550 Indice MSCI Europe18281975 Indice FTSE 10068397450 Indice Nikkei1497416 000 Indice MSCI Marchés émergents 10561150 (Source : RBC GMA)

16 16  Nous avons maintenu une pondération en titres à revenu fixe inférieure à celle de la référence, compte tenu du fait qu’une hausse graduelle des taux diminuera les revenus d’intérêts et entraînera de faibles rendements globaux pour les porteurs d’obligations.  Bien que la hausse des évaluations à des niveaux avoisinant leur pleine valeur nous ait incités à diminuer nos prévisions de rendement total pour les actions, le rendement à long terme des actions par rapport aux obligations laisse croire que les titres de participation ont un plus grand potentiel de rendement relativement aux titres à revenu fixe.  Nous recommandons, pour un portefeuille équilibré mondial, la combinaison d’actifs suivante :  59 % en actions (référence : 55 % dans une fourchette de 40 % à 70 %) ;  37 % en obligations (référence : 40 % dans une fourchette de 30 % à 60 %) ;  les 4 % qu’il reste en liquidités. Composition de l’actif Composition de l’actif au 16 juin 2014 PRÉVISIONS RELATIVES AUX MARCHÉS BOURSIERS INDICE DE RÉFÉRENCE FOURCHETTE PASSÉE NOUVELLE ANNÉE 2014 PRINTEMPS 2014 ÉTÉ 2014 Liquidités5,0 %1,5 % - 16,0 %4,0 % RÉ40,0 %25 % - 54 %38,0 % 37,0 % Actions55,0 %36 % - 65 %58,0 % 59,0 % (Source : RBC GMA)

17 17 DÉCLARATION Le présent document a été préparé par RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA) aux fins d’information uniquement. Il n’a pas pour objectif de fournir des conseils juridiques, comptables, fiscaux, financiers, liés aux placements ou autres, et ne doit pas servir de fondement à de tels conseils. RBC GMA prend des mesures raisonnables pour fournir des renseignements à jour, exacts et fiables, et croit qu’ils le sont au moment de leur impression. En raison de la possibilité que survienne une erreur humaine ou mécanique ainsi que d’autres facteurs, notamment des inexactitudes techniques et des erreurs ou omissions typographiques, RBC GMA décline toute responsabilité à l’égard des erreurs ou des omissions que pourrait contenir le présent document. RBC GMA se réserve le droit, à tout moment et sans préavis, de corriger ou de modifier les renseignements, ou de cesser de les publier. Tout renseignement prospectif sur les placements ou l’économie contenu dans le présent rapport a été obtenu par RBC GMA auprès de plusieurs sources. Les renseignements obtenus de tiers sont jugés fiables, mais ni RBC GMA, ni ses sociétés affiliées, ni aucune autre personne n’en garantissent explicitement ou implicitement l’exactitude, l’intégralité ou la pertinence. RBC GMA et ses sociétés affiliées n’assument aucune responsabilité à l’égard des erreurs ou des omissions. Le présent rapport peut contenir des déclarations prospectives sur le Fonds, son rendement futur, ses stratégies ou perspectives ainsi que sur d’éventuelles mesures prises à son sujet. L’emploi des modes conditionnel ou futur et des termes « pouvoir », « se pouvoir », « devoir », « s’attendre à », « soupçonner », « prévoir », « croire », « planifier », « anticiper », « évaluer », « avoir l’intention de », « objectif » ou d’expressions similaires permet de repérer les déclarations prospectives. Les déclarations prospectives ne garantissent pas le rendement futur. Les déclarations prospectives comportent des risques et des incertitudes inhérents, tant sur le fonds que sur les facteurs économiques généraux, de sorte qu’il se peut que les prédictions, les prévisions, les projections et les autres déclarations prospectives ne se réalisent pas. Nous vous recommandons de ne pas vous fier indûment à ces déclarations, puisqu’un certain nombre de facteurs importants pourraient faire en sorte que les événements ou les résultats réels diffèrent considérablement de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans les déclarations prospectives liées au fonds. Ces facteurs comprennent notamment les facteurs généraux d’ordre économique et politique ou liés au marché du Canada, des États-Unis et du monde entier, les taux d’intérêt et les taux de change, les marchés mondiaux des actions et des capitaux, la concurrence, les évolutions technologiques, les changements législatifs et réglementaires, les décisions judiciaires et administratives, les actions en justice et les catastrophes. La liste de facteurs essentiels ci-dessus, qui peut avoir une incidence sur les résultats futurs, n’est pas exhaustive. Avant de prendre une décision de placement, nous vous invitons à prendre en compte attentivement ces facteurs-ci ainsi que d’autres. ® / MC Marque(s) de commerce de la Banque Royale du Canada, Utilisation sous licence. © RBC Gestion mondiale d’actifs Inc., 2014.


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