Télécharger la présentation
La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez
1
La confédération canadienne
Histoire 30S R-A Chaput
2
A. Les facteurs externes
La menace Américaine : Entre , les États-Unis sont déchirés par la guerre civile La Grande-Bretagne continue à avoir des relations commerciales avec les États du Sud, ce qui motive un sentiment anti-britannique dans les États du Nord. On propose dans les journaux d’attaquer et d’annexer le Canada-Uni.
3
La volonté de désengagement de la Grande-Bretagne :
L’Angleterre tente se désengager de la défense de ses colonies nord-américaines La fin de la réciprocité : en 1865, les É-U annoncent la révocation du Traité de réciprocité qui garanti la libre circulation des matières première entre eux et les colonies de l’Amérique du Nord britannique.
4
B. Facteurs internes Le développement ferroviaire : les colonies manquent d’argent pour compléter la construction de certains tronçons de voies ferrées (ex. Halifax). Ils cherchent donc à avoir accès aux fonds des banques britanniques. Les banques seraient mieux disposés à prêter les fonds si les colonies unissaient leurs forces sur le plan politique (plus de stabilité).
5
L’intérêt pour l’ouest : tente réclamer les terres de l’ouest
Pour soulager la pression démographique Craintes que les Américains vont réclamer le territoire L’impasse politique : incapacité de former un gouvernement stable George Brown réussit à rallier les conservateurs canadiens-français (Étienne Cartier) et les conservateurs du Canada-Ouest (Macdonald). Grande Coalition : procéder à la création d’une nouvelle entité politique qui regroupe toutes les colonies britanniques d’A-N (nouveau pays).
6
C. Les trois conférences
Charlottetown (septembre 1864) : Participants – Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Canada-Uni, Ile du Prince-Édouard Débats et décisions : l’union des Maritimes est la raison d’être de la conférence; mais les représentant du Canada-Uni réussissent à convainque les participants que l’union de toute les colonies auraient plus d’avantages. Traits du futur pays : lié à la couronne britannique; gouvernement à deux paliers (provincial et fédéral); gouvernement à deux chambres (1ère élue, 2ième nommée)
7
Québec (octobre 1864) : Même participants
Le Canada-Uni (John A. MacDonald) désirait un gouvernement centralisé : la majorité du pouvoir serait entre les mains du fédéral L’Atlantique voulait le contraire, un gouvernement décentralise les régions (provinces) auraient le pouvoir
8
Entente : système mitoyen
des pouvoirs généraux au fédéral des pouvoirs spécifiques aux provinces. Les Maritimes craignaient être minorisés Solution: la représentation dans les Communes sera proportionnelle à la population Dans le Sénat, chaque région aura 24 représentant chaque. Résultat : les 72 résolutions proposées à Londres Terre-Neuve et IPE rejettent les 72 résolutions
9
Londres (décembre 1866) : Participants : Canada-Uni, Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick et le parlement de Londres Ils ajoutent dans le texte constitutionnel une clause qui promet la construction du chemin de fer intercolonial (pour apaiser les Maritimes). Le parlement britannique adopte le projet sans même l’amender. Les habitants du futur Canada rédigent l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique
10
D. L’Acte de l’Amérique du Nord Britannique (AANB)
Sanctionné par la reine Victoria, l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique entre en vigueur le 1er juillet 1867 Création d’un nouveau pays, le Dominion du Canada Quatre provinces (Ontario, Québec, Nouveau-Brunswick et Nouvelle-Écosse)
11
E. Le Manitoba Au moment de la confédération, les politiciens du Canada-Uni tente annexer au nouveau pays les territoires de la CBH. (nord des É-U, de l’Ontario jusqu’au Pacifique. 1869, la CBH cède les territoires qui seront maintenant administrés par un lieutenant gouverneur et d’un Conseil nommé par Ottawa. Population du territoire : quelques dizaines de milliers d’Autochtones, plus de Métis et une minorité blanche le long de la rivière Rouge
12
Louis Riel Des arpenteurs canadiens se rendent à la colonie de la rivière Rouge et commence à découper le territoire en Townships. Officiellement le gouvernement avait donné l’ordre de respecter les lots occupés par les Métis, mais ceci ne c’est pas produit. Les occupants sont chassés Louis Riel prend la parole des Métis afin de les défendre au niveau national
13
Louis Riel repousse les représentants du gouvernement et crée un gouvernement provisoire afin de tenter contrôler le territoire Métis. Plusieurs colons anglophones se rebelles contre le gouvernement provisoire. Thomas Scott, un rebelle, sème le désordre dans la colonie. Il se fait emprisonner à plusieurs reprise et est finalement jugé en cours martiale et exécuté par le gouvernement provisoire. Cet incident rallie les Français du côté de Riel mais enrage les Anglophones.
14
MacDonald doit tenter d’apaiser les deux côtés (francophone et anglophone)
Il accepte les revendications des Métis en créant la province du Manitoba. Il refuse l’amnistie à Riel qui doit donc quitter le pays. Le 15 juillet, 1870, la province du Manitoba est créée avec l’acceptation de L’Acte du Manitoba. 1600 km de côté La province est bilingue et le gouvernement promet acres de terres gratuites aux Métis à titre de premiers occupants.
15
F. Le sort des Métis Le gouvernement ne respecte pas leur engagement face aux territoires promis; La majorité des Métis quittent donc la région pour l’ouest afin de pouvoir conserver leur mode de vie.
16
1884, les Métis de la vallée de la Saskatchewan demandent à Louis Riel de prendre à nouveau la tête de leur mouvement de revendication. Riel établit un gouvernement provisoire à Batoche, et suite à des négociations sans succès, il retourne vers une résistance armée. Le clergé catholique ne le support pas Il reçoit l’appui de 2 chef Autochtone : Poundmaker et Big Bear Grâce au chemin de fer, MacDonald réussi à envoyer assez de soldats pour rapidement arrêter l’insurrection.
17
Louis Riel subit un procès pour haute trahison à Régina :
On le trouve coupable et on le condamne à mort MacDonald refuse de lui accorder pardon Louis Riel est pendu le 16 novembre 1885 Les répercussions de l’affaire Riel se feront sentir durant plusieurs années sur les relations entre francophones et anglophones.
18
G. L’addition de nouvelle provinces
19
1. Colombie Britannique Problèmes :
Très isolé par les Rocheuses, elle ne semble pas être destinée à faire parti du nouveau pays. Une dette qui augmente ET la fin de la de la ruée vers l’or l’incitent à rechercher une sécurité politique et économique: les habitants songent aux États-Unis. Cependant, plusieurs étaient loyales à la Grande-Bretagne et les achats de terres de la CBH par le gouvernement avaient ouvert les portes à l’annexion de la Colombie-Britaanique au Canada.
20
Le gouvernement fédéral s’engage à:
Propositions : Le gouvernement fédéral s’engage à: construire un chemin de fer jusqu’au Pacifique (en 10 ans); absorber les dettes de la Colombie-Britannique. La Colombie-Britannique accepte et entre dans la confédération le 20 juillet 1871.
21
2. L’Île du Prince-Édouard
Problèmes : La colonie est aussi endettée grâce à la construction de son chemin de fer (sur l’île). La colonie est aussi en retard dans son développement agricole – système de propriétaires absents.
22
Propositions : Le Canada offre de prendre possession du chemin de fer et d’assumer toutes les dettes associées. Le Canada promet aussi d’établir un service de traversier entre l’île et la terre ferme. Le Canada offre aussi d’acheter toutes les terres des propriétaires absents pour $. IPE devient province le 1er juillet 1873.
Présentations similaires
© 2024 SlidePlayer.fr Inc.
All rights reserved.