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SIMCA
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Histoire de la marque SIMCA
Généralités Histoire de la marque SIMCA Chronologie des modèles SIMCA Les modèles SIMCA
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Histoire de la marque SIMCA
Origine du nom : SIMCA : Société Industrielle de Mécanique et Carrosserie Automobile. Histoire condensée : Simca était, à l'origine, une firme automobile franco-italienne, créée par Fiat pour construire en France ses véhicules sous licence, vendus sous la marque Simca-Fiat. Ce procédé a permis à Fiat de vendre ses modèles sur le territoire français sans payer de taxes d'importations et de droits de douanes, car Simca était une entreprise basée en France et à l'époque il n'y avait pas de politique de libre-échange. Créée juridiquement le 2 novembre 1934, sa production ne démarra que le 1er juillet La marque sera reprise successivement par Chrysler puis par Peugeot, elle sera abandonnée en 1980, par Peugeot au profit de Talbot (prestigieuse marque de voitures de sport et de luxe de l'entre-deux-guerres, rachetée par Simca en 1958 et disparue en 1960, qu'elle préféra ressusciter). La marque Simca fait aujourd'hui partie du patrimoine de PSA Peugeot-Citroën. Retour menu Histoire de la marque Détails de l’histoire
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Au début la SAFAF L'histoire de SIMCA débute avec Ernest Loste, un ancien coureur cycliste de talent qui, pour sa reconversion, décide d'ouvrir un garage automobile à Paris. En 1907, il devient distributeur exclusif des automobiles Fiat pour la France. Après guerre, ses affaires deviennent si florissantes que la maison-mère italienne commence à juger que laisser une petite officine française distribuer ses produits n'est plus concevable. En 1926 est créée la Safaf « Société Anonyme Française des Automobiles Fiat » filiale française de Fiat-Italie chargée d'assurer la distribution des voitures dans tout l'hexagone. Loste est nommé président de la société mais n'est plus qu'un actionnaire minoritaire, les associés italiens de Fiat détenant l'essentiel du capital. Fiat impose à Loste un jeune directeur général turinois de 28 ans, Enrico Théodoro Pigozzi qui a pour mission d'organiser le réseau de vente. En 1929, la crise économique mondiale provoque le recul de la production industrielle mondiale et le repli sur soi de l'ensemble des nations. Dans un souci de protectionnisme, les droits de douanes sont considérablement accrus : face aux productions françaises, les automobiles Fiat ne sont plus du tout concurrentielles. Les barrières douanières étant devenues trop fortes et l'assemblage de voitures à partir de pièces d'importation n'étant plus possible, Pigozzi - qui a francisé ses prénoms en Henri Théodore - réussit alors à convaincre les actionnaires de Fiat de produire leurs automobiles directement en France.
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En 1932, la Safaf, tout en gardant le même sigle acronymique devient alors la « Société anonyme française pour la fabrication en France des automobiles Fiat ». Pigozzi se heurte à un grave problème, car il ne s'agit pas simplement d'assembler des pièces venues d'Italie mais de véritablement fabriquer les pièces et de monter les véhicules. En l'absence d'usine Safaf, Pigozzi met sur pied une nébuleuse de petits sous-traitants qui produisent les pièces à partir des plans italiens tandis que l'atelier de Suresnes est chargé de l'assemblage des automobiles. En 1932 Fiat présente en Italie sa nouvelle Fiat 508 Balilla rebaptisée 6 CV en France. Ces voitures se reconnaissent à leur calandre droite et disposent de 3 vitesses. En avril 1934, quelques mois après Fiat en Italie, la Safaf présente la nouvelle version de la 6 CV équipée d'une boîte à 4 vitesses dont la nouvelle ligne sacrifie à la mode pseudo « aérodynamique ».La 6 CV connaît un vif succès en France qui conduit à une évidence : il devient désormais indispensable de fabriquer les voitures à grande échelle dans une véritable usine et non pas de manière irrationnelle éparpillée chez une constellation de sous-traitants.
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Sur la calandre des Fiat françaises apparaît, pour la première fois en juillet 1935, le nom Simca en diagonale sur le logo Fiat. La gamme Simca-Fiat est déjà importante. La 11 CV Fiat 518 Ardita inaugure dans sa version « Grand Luxe », la ligne « Comète » caractéristique des productions françaises. Si les modèles produits à Nanterre restent de simples copies des versions italiennes de Fiat. Avec l'été le cabriolet 6 CV adopte à son tour la ligne « Comète », bientôt imité par les berlines et le coupé. Simca présente alors la Simca Cinq (Fiat 500 Topolino) qui rencontre rapidement un franc succès auprès de la clientèle hexagonale (la Simca Cinq est même dévoilée en France avant la Fiat 500 en Italie) bien que les manifestations du Front populaire en perturberont quelque peu la mise en production.
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Le 2 novembre 1934, la Société Industrielle de Mécanique et Carrosserie Automobile (SIMCA) - une entreprise au capital de huit millions de francs, 100 % française, dont tous les actionnaires sont français (Fiat étant dissimulé derrière cette façade française) et dont le fondateur officiellement désigné dans les statuts est le comte Henri Amaury du Boisrouvray - est créée dans le but d'acheter la très moderne usine Donnet à Nanterre, ce constructeur étant en déconfiture. Simca rachète alors Donnet en L'usine est entièrement réaménagée par les spécialistes italiens de Fiat. Le 28 juin 1935, ceux qui dirigeront la nouvelle firme Simca sont cooptés par les actionnaires fondateurs. Il s'agit de Roger Fighiéra, nommé président et d’Henri Pigozzi, nommé directeur général. Le 1er juillet 1935, l'usine entre en production et les toutes premières SIMCA-FIAT sortent de la chaîne tandis que la Safaf est englobée dans Simca. La 6 CV simple, économique se vend toujours bien en 1937 malgré l'atmosphère de crise croissante. Son prix de base de F correspond à 10 mois de salaire d'un ouvrier qualifié. La 11 CV, de présentation luxueuse, coûte elle F. En 1938, la Simca 8 prend la relève de la 6 CV vieillissante qui reste quelques mois au catalogue dans la version fourgonnette 300 kg. La 11 CV disparaît également du catalogue. Les techniques modernes de fabrication, de promotion et de gestion des produits permettent à Simca de devenir très vite le quatrième constructeur français.
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Mi-1938, un nouvel écusson orné d'une hirondelle (symbolisant le slogan de ses voitures : "un appétit d'oiseau") devient l'emblème de la marque tandis que toute allusion à la société mère Fiat disparaît. Puis la guerre survient et les activités sont en partie gelées. En partie seulement... Les vainqueurs allemands veulent que toutes les entreprises participent à l'effort de guerre, notamment pour produire des véhicules destinés au front russe. Chaque usine se voit affecter un administrateur désigné par l'occupant. Mais Fiat, firme dont le pays, l'Italie, est allié de l'Allemagne, réussit à obtenir que l'administrateur de Simca soit l'un des directeurs de Fiat-Allemagne. De fait, l'usine de Nanterre va continuer à produire des automobiles pendant encore trois ans, contrairement aux usines Citroën ou Peugeot ou Renault, contraintes à fabriquer du matériel militaire pour l'armée allemande. En 1943, les revers de l'armée allemande conduisent à la cessation du traitement de faveur dont jouissait Simca. L'usine est affectée à la maintenance des véhicules militaires et à diverses fabrications pour l'occupant, notamment des éléments mécaniques pour les moto chenilles Kettenkraftrad NSU (filiale allemande de Fiat).
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L'apogée En 1942, SIMCA avait été intégré à la Générale Française Automobile (GFA) en compagnie de Delahaye-Delage, Unic, Laffly et Bernard, avec pour objectif de rationaliser la fabrication automobile. À la libération, la fabrication reprend progressivement d'autant plus que l'usine a échappé aux bombardements. Le Président de la Chambre syndicale des constructeurs automobiles, Charles Petiet, remet Simca sur les rails grâce à l'appui du ministre de la Production industrielle d'alors mais, en échange, l'entreprise s’engage à fabriquer l'AFG mise au point par Jean-Albert Grégoire, devenu directeur général technique en octobre Un premier prototype de la Simca-Grégoire, présentant des traits communs avec la future Panhard Dyna X est réalisé en Un second, plus proche esthétiquement de la future 203 Peugeot et que Simca devait produire, suivant ainsi les directives du plan Pons, est présenté en Malheureusement pour Grégoire, Pigozzi, qui s'était fait discret suite à ses accointances avec les occupants allemands, réussit à faire capoter ce projet et reprend la direction de l'entreprise, Simca échappant alors à la nationalisation et aux contraintes du gouvernement. La production redémarre avec la Simca Cinq et la Simca 8. La Simca Six, évolution de la Cinq, est lancée en 1947 mais ne rencontre que peu de succès face à la vive concurrence de la 4 CV Renault
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Fiat et Simca - grâce à l'aide américaine de reconstruction de l'Europe de l'Ouest du Plan Marshall - étudient en commun le projet d'une nouvelle voiture moderne de classe moyenne qui se concrétisera au printemps 1950 par le lancement de la Fiat 1400 et au printemps 1951 par celui de sa demi-sœur la Simca 9 Aronde, qui sera présentée abusivement par Fighiéra et Pigozzi comme la première « véritable » Simca puisque sa carrosserie et son moteur sont légèrement différents de la Fiat L'Aronde est un franc succès qui permet à Simca de dégager d'importants bénéfices. En 1954, Fighiéra part à la retraite (il a 79 ans !). Il est nommé président d'honneur et Pigozzi est nommé PDG de l'entreprise tandis que Simca, en mal d'agrandissement (son usine de Nanterre étant saturée par le succès de l'Aronde) commence à convoiter la filiale française de Ford : Ford SAF (Société Anonyme Française).
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Les modèles Vedette et Comète de Ford SAF se vendent mal car, avec leur V8 très gourmand, elles sont peu adaptées au marché français lourdement taxé. Dès 1952, Henry Ford II songeait à se débarrasser de cette filiale qui avait du mal à écouler sa production et qui, de plus, était sujette à des grèves récurrentes qu'il ne comprenait pas. Simca se porte acquéreur de Ford SAF, accroissant considérablement sa capacité de production grâce à l'usine de Poissy de ce dernier et héritant de la Vedette, entre-temps remise au goût du jour. En 1955, Simca acquiert également la société Unic qui construit des poids lourds. Puis, toujours avec l'aide de Fiat, Pigozzi crée la Someca pour la fabrication de matériel agricole, tracteurs notamment. Unic et Someca feront partie de Simca Industries. Ainsi, Simca devient - un temps - le premier constructeur français privé derrière l'entreprise d'État qu'est la Régie Renault.
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La vente à Chrysler En 1958, le constructeur américain Chrysler devient actionnaire à 25 % de Simca en rachetant les 15 % du capital appartenant encore à la Ford Motor Company et en prenant 10 % supplémentaires. Simca fabrique alors voitures par an et, toujours en manque de place rachète le constructeur Talbot pour son usine de Suresnes. En 1961, les dollars américains permettent à Pigozzi de lancer un nouveau projet - étudié chez Fiat - la Simca Les solutions techniques, dérivées de la Fiat 850, sont similaires à celles de la Renault R8 avec un petit 4 cylindres placé en porte-à-faux arrière dans une carrosserie cubique à trois volumes. Les modèles de pré-série de la 1000 sortent des chaînes de Poissy en juillet 1961 et elle est présentée au salon de l'auto de Paris en automne. La Simca 1000 rencontre un long succès qui durera jusqu'en 1978, tandis que la gamme Vedette est arrêtée. La participation de Chrysler passe à 63 % en décembre 1962 avec la vente de la majorité des actions détenues par Fiat qui, avec les facilités du Marché commun, souhaite maintenant se séparer de Simca pour créer sa propre filiale française. Pigozzi est limogé quelques mois plus tard lorsque les Américains s'aperçoivent que la transaction ne comprend pas Simca Industries qui regroupe diverses infrastructures et marques indispensables à la bonne marche de Simca Automobiles.
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Pigozzi se replie avec amertume chez Simca-Industries, dont il est également le PDG, et à son décès prématuré un peu plus d'un an plus tard (il ne se remettra jamais de son limogeage de Simca Automobiles), Umberto Agnelli le remplacera et rebaptisera Simca Industries en Fiat France Société Anonyme (FFSA). Il en fera, à nouveau, la filiale française de Fiat. Ainsi, de la SAFAF de 1928 à la FFSA de 1964, Fiat a bouclé la boucle autour du protectionnisme français avec Simca. En 1963, Georges Héreil, ex-patron de Sud-Aviation (le constructeur des avions Caravelle) devient le nouveau PDG de Simca et doit batailler ferme face à sa direction américaine pour défendre le projet de la nouvelle Simca 1100 (projet ébauché par Pigozzi à partir d'une étude Fiat qui sera commercialisée par sa filiale Autobianchi sous le nom de Primula). Les dirigeants ne veulent en effet pas engager d'argent pour étudier un nouveau véhicule alors que certains modèles de la gamme Chrysler pourraient être mis sur le marché français. Finalement Héreil obtient gain de cause et la Simca 1100 (hayon arrière et traction avant à moteur transversal) est lancée en 1967 : nouveau succès avec plus de 2 millions d'exemplaires vendus jusqu'en 1981.
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En juillet 1970, Simca est renommée Chrysler France, suite au rachat total du solde des actions encore détenues par Fiat par le constructeur américain. La marque Simca est cependant conservée sur les modèles jusqu'en Durant les années qui vont suivre, Chrysler Europe va négliger d'investir dans l'évolution de ses mécaniques et va rapidement se retrouver à bout de souffle. En août 1978, Chrysler est contraint, pour survivre, de se replier aux Etats-Unis et donc de revendre l'ensemble de ses filiales européennes : Chrysler France (ex-Simca), Chrysler United Kingdom (ex-Rootes) et Chrysler España (ex-Barreiros). Elles sont reprises par Peugeot SA sous l'œil bienveillant - et avec l'aide - du gouvernement français. Pour la première fois de son histoire, Simca devient enfin 100 % française ! Mais, coup de théâtre : Peugeot SA décide de faire disparaître la marque Simca un an plus tard, en juillet 1979 (pour les modèles 1980), et de la remplacer par Talbot. Ce changement de nom de marque sera un très grand échec et la marque Talbot disparaîtra seulement six ans plus tard ! Aujourd'hui l'usine de Poissy - ex-Ford SAF, ex-Simca, ex-Chrysler France, ex-Talbot - dont Henri Pigozzi était si fier, est toujours en activité, elle produit des Peugeot et des Citroën. Retour menu Histoire de la marque
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Chronologie des modèles SIMCA
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Les modèles SIMCA (Caractéristiques)
Simca-Fiat 6 CV (1935), version française de la Fiat 508 Balilla. Simca-Fiat 11 CV (1935), version française de la Fiat 518 Ardita. Simca Cinq (1936), version française de la Fiat 500 Topolino. Simca Six (1947) - Modernisation de la Simca Cinq : ligne « ponton » et moteur culbuté. Simca 8 (1938), version française de la Fiat 508C ou Fiat 1100 Nuova Balilla. Simca 9 Aronde (1951 à 1963) à moteur 1221 cm³, puis Flash, puis Rush... Simca Sport/Week-End/Plein-Ciel/Océane ( ). Carrossées par Facel-Métallon (devenu Facel SA en janvier 1953). Simca Vedette (1955) Simca Vedette Trianon Simca Vedette Versailles Simca Vedette Régence Simca Vedette Marly (break) Simca Vedette Ariane ( ) Simca Vedette Beaulieu Simca Vedette Chambord Simca Vedette Présidence Simca 1000 ( ) Simca 1300 / 1500 ( ) Simca 1301 / 1501 ( ) Simca 1100 ( ) Simca coupé 1200 S ( ) Simca-Chrysler 160 / 180 / 2 litres ( ) Matra-Simca Bagheera ( ) Simca-Chrysler 1307 / 1308 / 1309 ( ), élue voiture de l'année 1976. Matra-Simca Rancho ( ), SUV sur base de Simca 1100. Simca-Chrysler Horizon ( ), élue voiture de l'année 1979, fabriquée également aux États-Unis sous le nom de Dodge Omni et Plymouth Horizon jusqu'en 1990 (version américanisée à propulsion et non plus à traction avant). Simca-Chrysler 1510 ( )
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Simca-Fiat 6cv Simca 9 – Aronde – P60 Simca-Fiat 11cv
Simca Vedette – 1954 / 57 Simca 5 Simca Vedette – 1957 / 62 Simca 6 Simca Ariane Simca 8 Simca 1000 Retour menu Histoire de la marque
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Simca 1300-1500 Matra-Simca Bagheera Simca 1301-1501 Simca-Chrysler
Simca 1100 Matra-Simca Rancho Simca coupé - 1200S Simca-Chrysler Horizon Simca-Chrysler Litres Talbot Simca 1510 Retour menu Histoire de la marque
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(copie de la Fiat 508 Batilla)
SIMCA-FIAT 6cv (copie de la Fiat 508 Batilla) Retour menu Modèles
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(Copie de la Fiat 518 Ardita)
SIMCA-FIAT 11cv (Copie de la Fiat 518 Ardita) Retour menu Modèles
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(copie de la Fiat 500 Topolino)
SIMCA 5 (copie de la Fiat 500 Topolino) Retour menu Modèles
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SIMCA 6 Retour menu Modèles Détails
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Généralités SIMCA 6 le bureau d'étude Simca de Nanterre affirme pour la première fois de son histoire son indépendance vis-à-vis sa maison mère Fiat de Turin en produisant cette Simca 6, présentée au Mondial de l'automobile de Paris Le modèle Simca 6 est directement dérivé du modèle Simca 5 avec un avant sensiblement modifié « américanisé » avec une calandre élargie et plus basse, et des phares intégrés dans des ailes de type Peugeot 203 ou Renault 4CV. Un arrière allongé et un petit coffre uniquement accessible de l'intérieur et presque entièrement occupé par la roue de secours. Un moteur gonflé de 12 à 16,5 chevaux à cylindrée de 570 cm³ égale, culbuté, soupapes en tête, commandées par un arbre à cames latéral. Deux versions de carrosseries : coupé découvrable biplace ou petite fourgonnette capable de transporter 250 kg. Test des 5L Avec 5L d'essence, la Simca 6 se distingue tout particulièrement en effectuant 108,052 km, soit 4,62 litres aux 100 km. Retour menu Modèles
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(Copie de la Fiat 508C ou 1000 Nuavo Balilla)
SIMCA 8 (Copie de la Fiat 508C ou 1000 Nuavo Balilla) Retour menu Modèles
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SIMCA 9 – Aronde Aronde 1300 - Aronde P60
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Simca 9 -Aronde SIMCA 9 – Aronde Aronde 1300 - Aronde P60
La Simca Aronde a été construite de 1951 à 1955. La première série (9 Aronde) a été produite pour les modèles 1951 à 1953 (calandre en podium) et la seconde (Aronde) pour les modèles de 1954 à 1955 (calandre en arc de cercle). La 9 Aronde est présentée le 31 mai 1951, c'est la première Simca à carrosserie monocoque. Contrairement aux Simca précédentes sous licence Fiat, elle n'a presque plus rien en commun avec un modèle Fiat existant. Cependant, la Fiat 1400 sortie un an plus tôt possède une structure identique. En fait, la Simca 9 Aronde et la Fiat 1400 ont été élaborées conjointement chez le grand emboutisseur américain Budd, spécialiste des carrosseries tout acier. La Simca parait résolument moderne face à la Citroën Traction Avant ou à la Peugeot 203 de l'époque. La carrosserie a été finalisée par René Dumas. Son style ressent de la forte influence italienne avec une ligne du style ponton, c'est-à-dire avec les ailes intégrées dans le reste de la carrosserie. C'est l'une des premières voitures françaises à être ainsi. Pour son époque, elle disposait d'une grande surface vitrée.
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SIMCA 9 – Aronde Aronde 1300 - Aronde P60
Malgré sa modernité apparente, la 9 Aronde est techniquement très classique et reste fidèle à la propulsion. Elle est mue par le même moteur Fiat de cm³, identique à celui qui équipait les Simca qu'elle remplace, mais dispose de 45 ch SAE. Ses qualités : direction précise et légère, nervosité, bon freinage entraînant une conduite très agréable par rapport à ses rivales. Ses défauts : essieu arrière sautillant et inconfortable, commande de boîte de vitesses très imprécise et première non synchronisée. L'intérieur des Simca 9 Aronde modèles 1951 est tapissé d'un tissu rayé vite surnommé « drap de déporté » car la guerre était encore dans tous les esprits, ces premières versions ont la particularité d'avoir leur batterie de 12 V sous la banquette avant. La 9 Aronde 1951 se reconnaît par le monogramme de calandre à fond noir et le pare-chocs arrière en une seule pièce, contre trois à partir de 1952.
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Aronde 1300 type Océane SIMCA 9 – Aronde Aronde 1300 - Aronde P60
L'Aronde 1300 a été construite pour les modèles 1956 à 1958. Les lignes de la carrosserie dite « type Océane », qui intègre une partie arrière allongée, étaient inspirées d'une voiture américaine : la Kaiser 1953, la ressemblance la plus frappante se situant au niveau de la calandre. L'Aronde 1300 reçoit le moteur « Flash » de cm³ et un tableau de bord circulaire tandis que la direction est revue. C'est en 1957 que Simca, faisant preuve de sa grande maîtrise des moyens de relations publiques a su redonner un retentissement à l'opération des records du monde qui faisaient rage entre les grands constructeurs de cette époque. En effet, une Aronde strictement de série fut prélevée le 20 mars sur la chaîne de production et était la e produite depuis Le départ fut donné sur l'autodrome de Montlhéry le 9 avril à 6h 01 et la voiture tourna pendant 38 jours et 37 nuits pour arriver le 16 mai à 14h après km parcourus à une moyenne de 113 km/h. Simca utilisera la performance pour lancer la berline Montlhéry pour les modèles 1958 avec le moteur « Flash Spécial ».
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Aronde P 60 SIMCA 9 – Aronde Aronde 1300 - Aronde P60
La Simca Aronde P 60, P pour personnalisation (certains dises aussi, pour Pigozzi) et 60 pour la décennie à venir (sous entendu "en avance sur son temps")(certains dises également, pour les 60 ans de Pigozzi) a été construite pour les modèles 1959 à 1963. Une première série de P60 a été refusée par Théodore Pigozzi, alors qu'il en avait déjà été produit 700 exemplaires (noirs). Ceux-ci furent stockées à Bordeaux, quai de Bacalan, puis vendus dans les pays de l'Est comme taxi. Elle connut deux motorisations : le moteur « Flash », puis le moteur « Rush » à cinq paliers pour 1961. Le 22 mai 1963, elle a été remplacée par la Simca 1300. Au total, ce sont Aronde qui ont été construites. C'est principalement grâce à ce modèle que Simca a été le second plus important constructeur automobile français à la fin des années Il faut aussi souligner que Simca avait le don de communiquer sur son cheval de bataille, et ce durant toute sa carrière. Ainsi, l'Aronde bénéficia d'intenses et très efficaces campagnes de presse, recevant même "L'Oscar de la publicité" pour le lancement de la gamme P 60.
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Modèles (1/2) SIMCA 9 – Aronde Aronde 1300 - Aronde P60
Berline 4 portes : De Luxe, Étoile 6 (6 cv) P60, Étoile 7 (7 cv) P60 (versions économiques) Étoile Super 6, Élysée (intermédiaires) Montlhéry (« sport »), Montlhéry Spéciale P60 (« sport » 70 ch SAE) Break 3 portes : Châtelaine Ranch P60 Coach 2 portes (sans pied milieu) : Grand Large Monaco P60 (« sport ») Monaco Spéciale P60 (« sport » 70 ch) Coupé Facel-Métallon : 9 Sport/De Ville Plein-Ciel/Plein-Ciel Grand-Carrossier (avec pare-brise panoramique2) Plein-Ciel S (« simplifié », avec pare-brise panoramique)
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Modèles (2/2) SIMCA 9 – Aronde Aronde 1300 - Aronde P60
Cabriolet Facel-Métallon : Week-end Océane/Océane Grand-Carrossier (avec pare-brise panoramique) Océane S (« simplifié », avec pare-brise panoramique) Fourgonnette : Messagère Camionnette bâchée : Intendante Retour menu Modèles
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Trianon – Versailles – Régence - Marly
SIMCA Vedette -1954/57 Trianon – Versailles – Régence - Marly Retour menu Modèles Détails
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Trianon – Versailles – Régence - Marly
SIMCA Vedette -1954/57 Trianon – Versailles – Régence - Marly Contexte historique En septembre 1954, Simca rachète Ford France et s’approprie ainsi son usine de Poissy. Tandis que le groupe Ford se recentre sur ses filiales en Allemagne de l'Ouest et en Grande-Bretagne, Simca récupère la gamme Vedette millésime 1955 conçue par Ford dans son siège de Dearborn, pour remplacer la première Vedette, lancée en 1948. La nouvelle gamme Vedette est présentée sur le stand Ford au Salon de Paris, en octobre Produite dès novembre sous la marque Simca, suite au rachat de l'usine de Poissy par Henri Théodore Pigozzi. La structure de la voiture innove avec une carrosserie monocoque supprimant le châssis séparé. En revanche, les trains roulants et la mécanique restent classiques avec une boîte de vitesses mécanique à trois rapports, la transmission arrière avec un pont arrière rigide à ressorts semi-elliptiques, une direction à vis globique et galet type Gemmer et un freinage sans assistance. Toutefois, la suspension avant passe au moderne système Mac Pherson.
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Trianon – Versailles – Régence - Marly
SIMCA Vedette -1954/57 Trianon – Versailles – Régence - Marly Modèles Dès sa sortie, la gamme Vedette est divisée en quatre modèles bien distincts : La Trianon, modèle d’entrée de gamme, nettement dépouillé ; La Régence, luxueusement présentée et remplaçant la Ford Vendôme, elle est reconnaissable à sa peinture bicolore et à ses roues à rayons ; La Versailles, à mi-chemin entre la simplicité de la première et le faste de la seconde, elle se distingue par son toit de couleur différente, ses projecteurs antibrouillard et ses encadrements de pare-brise et de lunette arrière chromés ; La Marly, une version break de grand luxe, équipée d’un hayon arrière en deux parties et disponible à partir de janvier 1956. Retour menu Modèles
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Beaulieu – Chambord - Présidence - Marly
SIMCA Vedette -1957/61 Beaulieu – Chambord - Présidence - Marly Retour menu Modèles Détails
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Beaulieu – Chambord - Présidence - Marly
SIMCA Vedette -1957/61 Beaulieu – Chambord - Présidence - Marly Évolutions Au salon de 1957, la carrosserie de la gamme Vedette est redessinée. Elle reçoit une nouvelle calandre, un pare-brise panoramique (avec retour sur les côtés, un artifice esthétique alors très apprécié aux États-Unis), des petits ailerons à l'arrière et des roues plus grandes pour améliorer le freinage. Cette série est la dernière à être équipée d'un moteur V8 à soupapes latérales. Comme sur la Versailles, la cylindrée est de cm³ mais avec une puissance de 84 ch SAE. La Trianon disparaît et devient l'Ariane 8, la Beaulieu remplace la Versailles ; et la Chambord, la Régence. Le break Marly conserve son nom et adopte seulement la nouvelle face avant des berlines. Tout en haut de la gamme, la très élitiste Présidence fait son apparition. Même si la gamme Vedette s’est désormais affranchie de Ford, sa nouvelle carrosserie évoque largement les extravagantes productions d’outre-Atlantique, dont les lignes inspirent de nombreux constructeurs européens. Retour menu Modèles
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SIMCA - Ariane Retour menu Modèles Détails
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Généralités SIMCA - Ariane
En 1954, Simca rachète à la filiale française de Ford, Ford SAF, l'usine de Poissy qui avait produit plusieurs véhicules équipés du moteur V8 dont la Ford Vedette inspirée d'un modèle américain. Mais dans une France rationnée qui se relève à peine de la guerre, ces voitures trop cossues se vendent médiocrement et Ford cherche un repreneur pour cette usine qui s'apprête à fabriquer une nouvelle Vedette. Ce sera donc Simca. Continuées par Simca, les Vedette sont des modèles haut de gamme de design très américain mais « francisés ». Dessinées par le styliste italien Rapi. La crise de Suez va perturber cette stratégie. Simca réagit alors très vite à la crise en mariant le moteur « Flash » de l'Aronde avec la carrosserie de la Trianon et va ainsi créer l'Ariane. Celle-ci va être proposée en plusieurs versions. Pour les modèles 1958, la Trianon est remplacée par une Ariane à moteur V8 de 84 ch SAE : l'Ariane 8. Celle-ci sera supprimée en 1961.
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Généralités SIMCA - Ariane
Pour 1959, l'Ariane Super Luxe possède une finition améliorée : baguette latérale chromée, encadrements de pare-brise et de lunette arrière chromés, lave-glace, miroir de courtoisie et cendrier arrière. Comme toutes les Ariane, elle reçoit des nouveaux feux arrière avec catadioptre intégré. Pour 1961, l'Ariane Miramas Super Confort bénéficie de l'intérieur de la Beaulieu. Comme les autres Ariane, elle s'appelle Miramas en adoptant le moteur « Rush Super » à cinq paliers. L'Ariane sera produite jusqu'en avril 1963. En 1965 et 1967 en Argentine, la société Metalmecánica SAIC fabrique la Simca Ariane Miramas, dans les versions luxe et std, certains d'entre eux seront utilisés comme taxi. Retour menu Modèles
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SIMCA 1000 Retour menu Modèles Détails
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SIMCA 1000 Généralités Mise en chantier en 1957 par Henri Théodore Pigozzi, patron de Simca, cette petite voiture économique est issue des suites de la crise de l'énergie consécutive à la nationalisation du canal de Suez en 1956. Elle a une carrosserie carrée et classique à trois volumes, est une « tout à l'arrière » dotée d'une suspension à quatre roues indépendantes (ressorts hélicoïdaux à l'arrière et à lames à l'avant) et d'un moteur quatre cylindres longitudinal en porte-à-faux arrière avec une boîte à quatre vitesses synchronisées (licence Porsche). Ce fut la dernière voiture à recevoir la contribution du bureau d'études Fiat pour sa conception. Lors de sa présentation au salon de Paris du 4 octobre 1961, la Simca 1000 obtint le Grand Prix de l’Art et de l’Industrie pour sa ligne élégante due au styliste turinois Mario Revelli de Beaumont. En mars 1962, un joli coupé 1000 dessiné par Bertone en sera dérivé, il prendra une allure nettement plus sportive à partir de juin 1967 en devenant 1200 S. En septembre 1962, la puissance du moteur passe de 36 à 39 ch. DIN, tandis que l'ancien groupe est récupéré par la 900, nouvelle version bas de gamme de la 1000, et qu'apparaît en brièvement une 900 C de 39 ch.
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SIMCA 1000 Généralités Pour les modèles 1963, une 1000 Luxe est lancée, remplacée un an plus tard par la 1000 GL équipée du moteur 42 ch. DIN du coupé. Pour 1965, la 1000 GLS bénéficie de sièges couchette tandis qu'apparaît une 1000 GLA à boîte semi-automatique trois rapports Ferodo, qui cède la place une année plus tard à l'option semi-auto sur les GL et GLS. Pour 1966, la 900 devient 1000 L et la 1000, 1000 LS. La nouvelle planche de bord adopte un compteur de vitesses horizontal et les vitres de portière avant s'équipent d'un déflecteur (GL et GLS) puis une 1000 Commerciale dépouillée apparait brièvement pour 1967. Pour 1968, un moteur dérivé de la Simca 1100 fait son apparition en 39 ch. pour la L/LS et 42 ch. pour la GL/GLS. La Simca 1000 est profondément modifiée pour 1969 : la direction à vis et galet longtemps critiquée devient à crémaillère, ensuite l'avant est revu avec des phares plus gros, une nouvelle calandre et des clignotants débordants, enfin à l'arrière des feux agrandis et carrés remplacent les précédents de forme ronde. La nouvelle gamme se constitue alors de l'économique Sim'4 (pour 4 CV), la 1000 (5 CV) et la 1000 Spécial (1 118 cm³ et 6 CV) qui remplace les 1000 GL et GLS. Un an plus tard, 2 ch. s'ajoutent aux Sim'4 et 1000, 4 ch. à la Spécial.
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SIMCA 1000 Généralités À partir de 1970, la marque développera les versions sportives 1000 Rallye, Rallye 1, Rallye 2 et Rallye 3 à partir de la 1000 Spécial puis la 1000 sera rescindée en versions LS et GL. Pour 1972, la GLS réapparaît avec une boîte de vitesses manuelle (6 CV) ou avec la boîte de vitesses semi-automatique (5 CV). Toutes les Simca 1000 héritent des d'un carrossage négatif des roues arrière de type 1000 Rallye 1 (roues en V inversé) pour 1973 et d'un tableau de bord à cadrans ronds pour 1975. Pour 1976, La GLS 6 CV et Spécial 7 CV deviennent des SR. Un an plus tard, la 1000 adopte des phares rectangulaires avec grande calandre noire sous un capot plat tandis que la gamme se simplifie autour de la 1005 LS (944 cm³), la 1006 GLS (1 118 cm³), la Rallye 1 et la Rallye 2 bientôt suivie par la Rallye 3. En mai 1978, la production s'arrête au compteur Retour menu Modèles
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SIMCA 1300/1500 Retour menu Modèles Détails
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SIMCA 1300/1500 Généralités La Simca 1300, une voiture au dessin équilibré et racé qui correspond tout à fait aux orientations esthétiques de la nouvelle décennie : lignes tendues, surface vitrée généreuse, habitabilité en net progrès, elle bénéficie d'un style de carrosserie très italien, auquel on peut cependant reprocher une certaine "timidité" esthétique : la voiture connaîtra une importante refonte esthétique après à peine trois ans de carrière (versions 1301 et 1501). Si les choix techniques qui président à sa réalisation sont empreints d’un certain conservatisme (propulsion, pont arrière rigide), son style fait mouche. Son moteur 1300 hérité de la dernière Aronde P60, est très fiable et relativement nerveux. La « 1300 » est bientôt épaulée par la « 1500 » reconnaissable extérieurement à sa calandre légèrement différente et à ses pare-chocs prolongés latéralement. Le moteur 1500 allie nervosité et couple. Retour menu Modèles
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SIMCA 1301/1501 Retour menu Modèles Détails
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Généralités SIMCA 1301/1501 Technique
Les Simca 1301/1501 ont succédé aux Simca 1300 / 1500 pour l'année-modèle Il s'agît en fait plus d'un restylage du modèle précédent que d'une véritable nouvelle voiture : la calandre, les clignotants et le capot avant ont été redessinés, tandis que l'arrière a été rallongé ; en revanche la cellule centrale n'a pas évolué (sur le break, les seules modifications portent sur l'avant). Technique Moteur longitudinal (1 290 cm³ ou cm³), pont arrière rigide, et boîte de vitesses 4 rapports ou automatique. Fin 1969, la 1301 échange son moteur type Simca Aronde pour un moteur dérivé de celui de 1501.
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SIMCA 1301/1501 Modèles 1301 LS, GL et GLS et break GLS 1290cm3 57ch 138km/h. 1501 LS, GL et GLS et break GLS 1475cm3 73ch 151km/h. Décembre 1969 suppression des GLS berline et break. Remplacement des 1301 GL par les Spécial : 70ch 149km/h boîte manuelle ou automatique (berline et break). La 1301 LS reste au catalogue avec 60ch. les 1501 existent désormais en GL et Spécial (berline et break) 1475cm3 81ch 160km/h. Au millésime 1972, suppression des 1501 en France, jugées trop proches des nouvelles Chrysler 160 et 180. Les 1301 spécial reçoivent les phares longue-portée qui équipaient les 1501 Spécial. Millésime 1973, suppression de la 1301 de base (ex LS). Au millésime 1974, retour des versions 1501 Spécial (berline et break) avec moteur dépollué 73ch 154km/h. La 1301 ne fera plus que 67ch 146km/h. Retour menu Modèles
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SIMCA 1100 Retour menu Modèles Détails
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Caractéristiques SIMCA 1100
La 1100 est l'ancêtre des voitures compactes françaises actuelles. En effet, dès septembre 1967, elle propose la traction avant, le moteur transversal et une suspension à quatre roues indépendantes par barres de torsion. De plus, à une époque où le client n'a souvent le choix qu'entre une berline quatre portes et un break, la 1100 est livrable en cinq portes (berline à hayon), en trois portes, en break cinq portes (pour les modèles 1969) et en break trois portes. À sa sortie, deux moteurs sont disponibles, un 944 cm3 de 48 ch (5 chevaux fiscaux) et un 1118 cm3 de 60 ch (6 chevaux fiscaux). Ces moteurs non chemisés peuvent fonctionner à l'essence sans plomb 98 RON à partir de juillet 1973. La 1100 a été aussi produite en Espagne sous l'appellation 1200 avec des roues spécifiques. En mai 1973, Chrysler España présente sur la base de la 1200 le véhicule tout chemin Campero à la carrosserie en matière plastique. Il est produit jusqu'à la fin des années 1970.
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SIMCA 1100 Modèles LS : 48, 54 ou 60 ch. LE (03/1974) /LX (07/1974) : 48 ou 54 ch, bandes latérales de décoration sur LX 3 ou 5 portes. GL : 60 ch, baguettes latérales, joncs de gouttière, entourages de pare-brise et de lunette arrière chromés, version qui disparaît en 1971 au profit de la LS 6 CV. GLS/GLX : 60 ch, sièges à dossier inclinables, montre, allume-cigarettes, faux déflecteur arrière chromé, enjoliveurs larges de bas de caisse, joncs de passage de roues et couvre-jantes chromés. ES (03/1974) : 60 ch et présentation de type Spécial. Spécial (06/1970) : 75 ch, 3 ou 5 portes, appuie-têtes, projecteurs à iode encastrés dans la calandre et jantes à voile ajouré. Proposée initialement équipée de deux carburateurs Weber double corps (délicats à régler, notamment pour la synchronisation des ouvertures), elle fut remplacée après une légère augmentation de la cylindrée par une deuxième version a un seul carburateur. TI (07/1973) : 82 ch, 3 ou 5 portes, nouveaux sièges, volant sport, jantes en alliage léger, 6 projecteurs à iode, déflecteur aérodynamique avant et calandre noir mat. Commerciale tôlée (09/1967) puis Fourgonnette et Fourgonnette VF1. Fourgonnette surélevée VF2 (02/1973) et pick-up bâché VF2 (12/1975). Fourgonnette VF3 (07/1977) à toit rehaussé sur base VF2. Retour menu Modèles
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SIMCA 1000 Coupé / 1200S Retour menu Modèles Détails
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SIMCA 1000 Coupé / 1200S 1000 coupé La nouvelle voiture fut dévoilée en avant première en octobre 1961 et lancée au Salon de Genève 1962 : c'était la Simca 1000 Coupé by Bertone, une petite voiture aux allures sportives, basse et filante, avec un pavillon très incliné et la partie arrière qui se terminait avec deux petits feux ronds. Ses lignes étaient assez semblables à celle de sa concurrente. La Simca 1000 Coupé partageait le châssis et la mécanique de la berline, mais ses caractéristiques de tenue de route étaient meilleures en raison de sa moindre hauteur et bénéficiait d'une vitesse maximale plus élevée du fait de son aérodynamisme. Son moteur n'était que le 4 cylindres de 944 cm3, dans une de ses très nombreuses variantes de puissance portée à 52 CV. Sa vitesse atteignait 140 km/h. Son freinage avait été nettement amélioré par rapport à celui de la berline par le remplacement des freins à tambours par des disques sur les quatre roues.
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SIMCA 1000 Coupé / 1200S 1200S Pénalisé par un renouvellement de gamme plus que laborieux et surtout par une image de marque très chahutée depuis la reprise en mains par les hommes de Chrysler, qui ont remplacé ceux de Fiat, Simca décide alors de redorer son blason et de miser plus sur la carte sportive. Pour bien marquer cette évolution, il est envisagé de relancer le coupé et de le viriliser en juin Une mise à jour esthétique est alors demandée à Bertone, déjà auteur de la première série. La calandre est redessinée, des grilles d'aération plagiant celles de la Lamborghini Miura apparaissent sur le capot, mais la chausse pneumatique reste désespérément la même. La direction de Simca veut une motorisation plus vitaminée et équipe la voiture du moteur qui équipera la future Simca 1100, un 1204 cm3 développant 82 ch grâce à ses deux carburateurs double corps et autorise une vitesse de 170 km/h. Encore plus que la 1000 Coupé, la 1200 S est critiquée pour son freinage trop peu performant, sa direction floue et le manque de souplesse de sa mécanique. En 1970, la puissance augmenta légèrement pour arriver à 85 CV et la vitesse touchait presque les 179 km/h.. La 1200 S sera produite à seulement exemplaires entre 1967 et 1971 sans jamais avoir réussi à séduire la clientèle visée par ses concepteurs. Retour menu Modèles
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SIMCA CHRYSLER 160 – 180 - 2 litres
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SIMCA CHRYSLER 160 – 180 - 2 litres
Généralités C'est en octobre 1970, lors du salon de l'Automobile, que Simca présente les Chrysler 160, 160 GT, et 180. Ce nom Chrysler sèmera le trouble auprès des clients qui se demanderont si oui ou non il s'agit bien d'une vraie Simca ou d'une américaine aux dimensions européennes. Il est vrai que l'esthétique évoque plus les États-Unis que la France profonde favorisant ainsi la confusion dans les esprits. La 160 est le modèle de base. Dès ce niveau, Simca introduit par rapport aux Simca 1301 / 1501 un progrès technique sur les motorisations : course super carrée (alésage supérieur à la course), arbre à cames en tête entrainé par chaîne. Dotée d'un moteur 1 639 cm3 de 80 ch (9 CV km/h). L'équipement est bien sur mesuré. Les freins sont à disques à l'avant et à tambours à l'arrière. La 180, elle, bénéficie d'un traitement nettement plus flatteur. Le moteur est extérieurement identique à celui de la 160, mais c'est sur la cylindrée que Simca a travaillé en la portant à 1 812 cm3. Ainsi modifié, sa puissance passe à 97 ch (10 CV) transformant ainsi la placide Chrysler en dévoreuse de bitume avec une vitesse de pointe de 170 km/h. L'équipement proposé est plus riche : starter automatique, compte-tours, ornements intérieurs en faux bois, dégivrage de la lunette arrière, feux de recul, etc. Et surtout 4 freins à disques. La 160 GT se voit dotée du moteur de la 180 et de l'équipement de la 160. La montre est alors remplacée par un compte-tours.
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SIMCA CHRYSLER 160 – 180 - 2 litres
Généralités En 1973, le moteur subit son premier réalésage pour amener la cylindrée à 1 981cm3. La puissance grimpe alors à 110 ch (11 CV). La particularité de cette mécanique et qu'elle est destinée à n'être accouplée qu'à une transmission automatique Chrysler à 3 rapports et donne donc naissance à la "Chrysler 2 litres automatique". La vitesse de pointe n'évolue pas par rapport à la 180, cela à cause du glissement du convertisseur de couple, mais la boîte automatique offre à ce modèle un grand confort de conduite et toujours une excellente. L'équipement est en hausse : phares longue portée ; pavillon recouvert de vinyle et nouvelles jantes de 14 pouces équipées de nouveaux enjoliveurs. Il faudra attendre le millésime 1979 pour que Simca (qui deviendra Talbot l'année millésime suivante) décide d'associer ce moteur 2 litres à une boîte manuelle sur le modèle La vitesse passe ainsi à 175 km/h. Son architecture très classique (moteur longitudinal et pont arrière rigide) lui confère une robustesse exemplaire faisant d'elle une excellente tractrice. Une version Diesel a été développée en Espagne grâce à la firme Barreiros qui sut ainsi répondre habilement à la fiscalité hispanique démesurée sur les automobiles. Ce modèle ne franchira jamais la frontière. Retour menu Modèles
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MATRA-SIMCA Bagheera Retour menu Modèles Détails
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Généralités MATRA-SIMCA Bagheera
Apparue en 1973, la Matra-Simca Bagheera est le fruit de la première collaboration entre Matra et Simca sous la marque Matra Simca. Il s'agissait d'un coupé à moteur central transversal, le premier à offrir trois places de front. L'objectif était de pouvoir loger confortablement trois adultes. La Bagheera fut présentée officiellement à la presse le 14 avril Les premières livraisons eurent lieu en juillet 1973, suite à la deuxième victoire de Matra Sports au 24 Heures du Mans. Le constructeur proposait des modèles équipés du moteur de la Simca 1100 Ti d'une cylindrée de cm3 (84 ch DIN à tr/min). Cette motorisation lui permettait d'atteindre les 180 km/h grâce à son aérodynamisme bien étudié. Fin 1975, avec l'apparition de la Bagheera S, Matra emprunte le cm3 de la Simca 1308 GT. La puissance atteint alors 90 ch DIN à tr/min. L'alimentation est toujours assurée par deux carburateurs double corps verticaux Weber 36 DCNF. Les modèles de base de seront équipés d'un simple carburateur double corps limitant alors la puissance à 84 ch DIN à tr/min. Sa carrosserie est entièrement réalisée en composite : polyester armé de fibres de verre, soit rivetée, soit collée sur un châssis acier autoportant. Sa répartition des masses (42 % avant / 58 % arrière) et son système de freinage à quatre freins à disque lui confèrent un excellent comportement routier : dynamique et joueur. Retour menu Modèles
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Simca-Chrysler Retour menu Modèles Détails
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Généralités Simca-Chrysler 1307-1308-1309
Apparues en juillet 1975, les Simca-Chrysler 1307, 1308 et 1309 sont des modèles d'automobile fabriqués par Simca-Chrysler à l'usine de Poissy. Destinées à remplacer les Simca 1301 / 1501, elles connurent un certain succès (grâce à leur carrosserie intégrant un hayon) malgré de sérieux problèmes de corrosion, comme beaucoup de voitures de l'époque. Les trois appellations ont une carrosserie commune, seules les motorisations et le niveau d'équipement/finition les différencient ; le dernier chiffre signalait au départ la puissance fiscale. C'est le centre d'études de Chrysler France à Carrières-sous-Poissy qui réalisa la conception de ces véhicules. Vainqueur du Trophée européen de la voiture de l'année en 1976. Il s'agit de la 1ière voiture française conçue par informatique. Elle fut commercialisée en Grande-Bretagne sous le nom Chrysler Alpine et en Espagne sous l'appellation Chrysler 150.
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Versions Simca-Chrysler 1307-1308-1309
1307 GLS : cm3 68 ch (7 CV) 150 km/h 1307 S : cm3 avec 2 carburateurs double corps 82 ch (7 CV), puis 1308 S avec cm3 de la GT (85 ch) 162 à 165 km/h 1308 GT : cm3 85 ch (8 CV) 165 km/h 1309 SX : cm3 carburateur double 88 ch (9 CV) exclusivement en boîte auto, 158 km/h à partir du modèle 79 Retour menu Modèles
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Matra Simca Rancho Retour menu Modèles Détails
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Matra Simca Rancho La Rancho est une voiture polyvalente et originale, conçue et produite par Matra sous la marque Matra Simca. Apparue en mars 1977, la Rancho est le résultat de la deuxième collaboration entre Matra et Simca. Pour Matra, elle résulte d'une réflexion profonde sur l'attente d'une clientèle autre que celle des coupés sportifs. Elle préfigure, avec presque 20 ans d'avance, la catégorie des crossover et ludospaces aujourd'hui largement présents sur le marché qui combinent position de conduite surélevée, habitabilité, confort correct et look baroudeur. Sortant de l'usine de Poissy sous forme d'utilitaire Simca 1100 VF incomplet, les véhicules étaient acheminés à l'usine Matra de Romorantin d'où ils sortirent jusqu'en 1983 et vendus jusqu'en 1984.
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Simca Chrysler Horizon
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Généralités Simca Chrysler Horizon
Remplaçante de la Simca 1100, elle porte le nom de Simca-Chrysler Horizon, Talbot-Simca Horizon puis Talbot Horizon après le rachat de Chrysler Europe par Peugeot en Elle obtient un titre de voiture de l'année en février 1979, mais est victime du contexte économique morose : les ventes diminuent régulièrement, jusqu'à sa condamnation définitive.
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Versions Simca Chrysler Horizon LS 6cv – 1 118 cm3 55 puis 59 cv
LD 6 cv (Version de la LS à moteur diésel) 1900 cm3 65 cv. GL 7cv – 1294 cm3– 68 cv (1978 seulement) GL 7cv – 1442 cm3– 68 puis 65 cv 83 cv en boite auto GLS 7cv – cm3– 69 cv GLS Performance puis Spécial 7cv – 1442 cm3– 83 cv EX 7cv – cm3– 65 cv EXD 7cv – cm3– 68 cv SX (Modèle haut de gamme) – cm3– 83 cv PREMIUM (Modèle haut de gamme) – cm3– 90 cv Retour menu Modèles
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Simca Chrysler 1510 Retour menu Modèles Détails
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Généralités Talbot Simca 1510 Gamme :
En 1979, Talbot décide de faire subir un lifting à la gamme 1307/1308/1309 qui deviendra La principale modification est la face avant qui s’incline vers l’avant mais non plus vers l’arrière. La face arrière et l’habitacle sont également restylées L’appellation devient Talbot Simca, puis Talbot. En 1980 est présentée la Talbot Solara, une version de la 1510 avec un coffre Gamme : 1510 LS remplace la 1307 GLS 1510 GL remplace la 1307 S 1510 GLS remplace la 1308 GT 1510 SX remplace la 1309 SX toujours en boite automatique exclusivement Retour menu Modèles
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