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Publié parAnge Laporte Modifié depuis plus de 9 années
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Annie Josiane Stéphanie Marie-Michelle Équipe 9 406
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Le droit de vote Comment certains groupes politiques ont fait évoluer le droit de vote du peuple canadiens? Les pressions qu’on mis différents mouvements de revendication organisé par les citoyens ont permis une évolution du vote jusqu’à aujourd’hui. De plus, les débuts du droit de vote auront des répercutions sur les Autochtones, les femmes et les immigrants pour en arrivé jusqu’à notre époque d’ou l’on peut entrevoir le futur.
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Les débuts du droit de vote
Lors de la Proclamation Royale, des tendances veulent que l’ont permettre au peuple canadiens de voter pour les députés de la Chambre d’Assemblée. Seulement, il faudra attendre jusqu’à l’Acte Constitutionnel et Protectionniste pour l’accord complet d’un tel droit. Cependant, peu à peu les habitants éligibles au vote, c’est à dire les personnes bien nantis et possédant une terre, excluant les communautés religieuses et ethniques, réalisent peu à peu que le droit de vote ne leur apporte aucun pouvoir parce que le gouvernement, étant non responsable, peu ignorer les députés. Lors de Rebellions de , le partie Patriote réclame l’élection démocratique du Conseil législatif et la responsabilité ministérielle. Il fera parvenir ces intentions à l’aide des 92 résolutions que Durham, espérant assimiler les Canadiens-Français au Anglais, lui refusera avec les 10 résolutions Durham
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Groupes de pression Par contre, c’est seulement à l’Alliance des parties politiques Français et Anglais dirigés respectivement par Louis-Hippolyte LaFontaine, du Bas-Canada (maintenant le Québec), et de Robert Baldwin, du Haut-Canada (maintenant l’Ontario), avec l’aide de la pression à double majorité qu’on exercé ces Réformistes que le gouvernement responsable sera accepté par l’Angleterre. Les changements apportés pour donner plus de pouvoir au peuple sont concrétisés par l’adoption de l’Acte des élections fédérales en 1920 qui ne permet pas l’élection démocratique des députés du conseil législatif. Louis-Hippolyte LaFontaine Robert Baldwin
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Le droit de vote des immigrants
Le droit de vote des immigrants est une affaire qui a évolué lentement avec le temps. Tout d’abord, en 1920, au Canada, seule la Colombie-Britannique refusait le vote à des personnes aptes à voter à cause de leur race ou encore à cause de leur religion. On refusait le vote aux personnes d’origines japonaises, chinoises et aux hindous. De plus, la Saskatchewan éliminait aussi des votes les chinois, mais la discrimination y était moins importante qu’en Colombie-Britannique. Suite à l’attaque de Pearl Harbor, durant la guerre, les japonais ont été perçus comme une menace et ils ont été expulsés. Au Canada, on excluait des votes les immigrants à cause de la guerre et de la méfiance envers les étrangers que cet évènement suscitait.
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Le droit de vote des immigrant
En 1944, le Canada était dirigé par le premier ministre Mackenzie King. Cet homme affirmait qu’il ne pratiquait pas une politique raciste, mais ce n’était pas l’opinion de tous. Cette politique consistait qu’une personne d’origine japonaise qui vivait en Alberta avant 1938 ne perdait pas son droit de vote, par contre ceux qui ont quitté la Colombie-Britannique pour venir s’installer en Alberta après 1938 perdaient leur droit de vote. Il se justifiait en expliquant que les immigrants ayant été expulsés de la Colombie-Britannique étaient encore des citoyens de cette province et, donc, ils devaient suivre les lois de cette province. En 1948, suite à un changement de mentalité et d’un débat plutôt court à la Chambre des communes, la discrimination raciale est abolie partiellement. Sept ans plus tard, en 1955, s’est au tour de la discrimination religieuse de disparaître de la loi. Finalement, en 1960, la discrimination raciale est totalement bannie de la loi. Le premier vote universel a eu lieu en 1963. Mackenzie King
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Le droit de vote des Autochtones
Depuis1960, la participation des Autochtones aux élections est un enjeu pour notre société, car les Autochtones votent en moins grande parti que toute la population canadienne. La population des Autochtones est encore plus jeune que celle des canadiens et devient de plus en plus urbaine. En 2001, il y a eu un recensement où 50% des Autochtones du Canada sont âgés de 24 ans et moins, si nous comparons à 31% de la population générale. De plus, les Autochtones 49% vient dans des régions urbaines. Finalement, élection Cananda ont mis sur pied d'autres solutions qui permettraient à mieux informer les Autochtones quand à leurs droits de vote et aussi d'avoir un processus électoral plus accessible pour eux. Signe des Autochtones
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Le droit de vote des Femmes
Le droit de vote des femmes à travers le Canada et le Québec fut un résultat acquis progressivement et atteint grâce à des femmes déterminées qui croyaient au suffrage universelle de leur sexe.En 1791, l’acte constitutionnel accorde le droit de vote aux propriétaires de résidences, mais ne spécifie pas le sexe. Certaines femmes dans le Bas Canada correspondent à ce critère et même si elle considèrent qu’il s’agit en quelque sorte d’un ”oubli ” constitutionnel elles pratiquent leur droit. D’autres femmes refusent d’aller voter puisqu’à cette époque la mentalité était peu ouverte et c’était très mal perçu au point de vue social. Certains politiciens étaient très offusqués en voyant des jeunes filles traînées presque par force au bureau de vote par leur père ou leur mari. Ainsi en 1832, au provincial, ce droit leur est retiré et au fédéral, après la confédération, soit en 1867, ce privilège fut également aboli.
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Les groupes de pression
C’est à ce moment que des groupes de revendicatrices se sont formés au Québec et au Canada. Des Québécoises se sont ralliées et ont mis sur pieds Montréal Suffrage Association. Les suffragettes, ainsi nommées, se sont battues de 1912 à 1919 pour l’égalité de la femme aux élections. Elles luttent du mieux qu’elles peuvent en organisant des pétitions, manifestations et conférences.
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Élection Fédérale Après une dure bataille, elles obtiennent en 1917 un début de raison au fédéral. Durant cette période de guerre, le gouvernement adoptait la loi des élections en temps de guerre et la loi des électeurs militaires. Ces lois permettent le vote à toutes femmes qui sont sujet Britannique et qui ont un proche parent dans l’armée ou qui en a déjà fait parti, ou encore membre active ou retirée des forces armées Canadienne y compris les autochtones et celles âgées de moins de 21 ans (à l’époque on était majeur qu’à cet âge). Les infirmières de guerre en sont un bon exemple. Le 24 mai 1918, les femmes sans aucune exception ont acquis l’éligibilité aux élections fédérales.
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Élection Provinciale Malheureusement, au provincial, c’était loin d’être gagné. Au Manitoba, les femmes votaient depuis 1916 et ce fut la première province à accorder ce droit. Pour sa part, le clergé québécois s’opposaient fortement à l’éligibilité des femmes dans le processus électoral, mais malgré tout une militante pour la cause Marie Guérin Lavoie a crée le comité provincial pour le suffrage féminin (CPSF). Elle a tenue tête au conservateur québécois et un peu grâce à elle et son mouvement, les femmes ont obtenu le statut de Québec le 1er janvier 1941 qui rend officiel le droit de vote des femmes. Notre province fut la dernière à instaurer cette loi. Enfin, le sexisme fut éliminé et une victoire féminine venait de marquer l’histoire. Marie Gérin-Lajoie
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Pourquoi voter ? Les citoyens ont le devoir de voter pour élire le député de leur choix à la chambre d’assemblée lequel prendra des décisions et appliquera des lois en notre nom. Chaque député fait parti d’un parti politique à moins d’être indépendant et représente une circonscription. Le parti majoritaire (qui obtient le plus de voies) forme alors le gouvernement. Leur chef devient premier ministre. Cinq ans s’écoulent entre chaque élection. Il y a également les référendums, qui sont des questions portant sur la constitution. Dans les deux cas, les procédures sont identiques.
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Le Registre National Tout adulte de 18 ans et plus ont le droit de vote, indépendamment de leur race. Chaque électeur est inscrit dans le Registre National. Ce registre contient le nom, l’adresse postale, l’adresse résidentiel, la circonscription, la section de vote, le sexe et la date de naissance de tous ceux qui sont éligibles au vote. Une mise à jour est fait entre chaque scrutin étant donné que les renseignements sur les électeurs changent fréquemment. Avec ce procédé, on ne peut voter plus d’une fois même si le système inclus quelques failles.
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Préparatif La préparation d’une élection nécessite temps et investissement. On doit poursuivre une longue démarche qui commence par la nomination et la formation des directeurs de scrutin qui s’occupent de chaque circonscription. Par la suite, on divise chaque circonscription en section de vote d’environs 350 électeurs auxquelles ont a attribué un emplacement ou l’on installera les bureaux de vote, habituellement établi dans les écoles ou dans les centres communautaires. Finalement, des préposés fabriquent des formulaires, des documents d’informations, des bulletins de vote, des urnes et autres matériels nécessaires.
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Déroulement de l’élection
1. Le gouvernement général déclenche l’élection. 2. Le directeur général des élections avise les directeurs de scrutin et émet les brefs d’élection qui informent de la date du vote et de la date où les candidatures ne seront plus acceptées. 3. Les directeurs de scrutins ouvrent leur bureau de vote. 4. Le vote par bulletin spécial commence. 5. Élection Canada fait la liste électorale à partir du Registre National, les envoie au directeur de scrutin puis, on les révise. Réviser consiste à la modification des informations sur les électeurs.
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6. Les candidats aux élections remettrent leur candidature.
7. Les votes par anticipations débutent. 8. La journée du scrutin, les citoyens vont voter. Ils vont derrière l’isoloir et marque dans le cercle le candidat choisi ou la décision prise et le remettre au scrutateur qui vérifie le tout sans regarder le vote, puis l’électeur le dépose dans la urne. 9. Les résultats préliminaires sont annoncés au publique et dans les jours qui suivent le directeur de scrutin recalcule pour s’assurer qu’aucune erreur n’a été commise. Si le résultat entre deux candidats est trop serré, il y a dépouillement judiciaire (recomptage) effectué par un juge.
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Le vote Au Québec, il existe plusieurs façons de voter qui ont été mises sur pieds afin d’aider les lecteurs. La manière la plus courante est de se rendre au bureau ordinaire la journée de l’élection venue. Les électeurs qui sont dans l’impossibilité de voter le jour prévu peuvent voter par anticipation. Les personnes âgées ou handicapées habitant dans des foyers accomplissent leur tâche dans un bureau de vote itinérant établit spécialement pour eux.
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Le bulletin de vote spécial est également disponible dans quatre cas majeurs pour les personnes qui : 1. demeurent temporairement à l’étranger ou sont en voyage 2. résidents au Canada mais sont absents de leur circonscription la journée de l’élection 3. ne désirent pas se rendre au bureau de scrutin 4. sont dans les fores armées canadiennes et les prisonniers Les électeurs utilisant se moyen, reçoivent un bulletin et doivent le poster une fois rempli. Les élections doivent toujours se dérouler un lundi sauf si cela tombe un jour férié.
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Le vote futur On envisage la possibilité de permettre le vote dès l’âge de 16 ans. Ce changement aurait comme but majeur de renforcer la participation des jeunes dans la société, autant sous un aspect social que politique. Par contre, aux élections fédérales en 2000, il y a eu une baisse de vote du groupe des 18 à 24 ans, le tier de ces personnes ne s’ayant pas présentées pour voter ont affirmé qu’ils n’y étaient pas intéressés. De plus, ce groupe d’âge a été celui qui s’est le moins présenté au vote. Cette réalité rend la possibilité de changement encore plus dure à juger. Il reste tout de même encore plusieurs réponses à soulever avant de rendre une véritable conclusion à cette éventualité.
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Le droit de vote En conclusion, le droit de vote est un pouvoir du peuple qui a évolué avec le temps. Plusieurs groupes de pressions politiques ont permis des changements positifs ou bien négatifs. Bien sûr, les immigrants, les femmes et les Autochtones ont été les premiers touchés. Par contre, l ’évolution continuelle de la démocratie nous amène à regarder vers l ’avant et se poser des questions sur les prochains changements et si les jeunes seront vraiment impliqués.
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