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Publié parBlanchefleur Texier Modifié depuis plus de 9 années
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URGENTURIE - INCONTINENCE - POLLAKIURIE
L’HYPERACTIVITE VESICALE URGENTURIE - INCONTINENCE - POLLAKIURIE
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MECANISMES DE L’INCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URETRALE - L’INSUFFISANCE SPHINCTERIENNE TTT : BSU/SPHINCTER ARTIFICIEL/ COMPRESSION URETRALE - I.U.E: DETERIORATION DU HAMAC DE SOUTIEN URETRAL TTT : REEDUCATION BSU INCONTINENCE VESICALE: ELLE FAIT PARTIE DE L’HYPERACTIVITÉ VÉSICALE: URGENTURIE + POLLAKIURIE
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INCONTINENCE FEMININE : Quelques chiffres ! En France :
30% des femmes ont eu au moins un épisode d’incontinence 17% portent des protections Parmi les 30%d’incontinentes : 45% présentent une IUE (urétrale) 6% présentent une incontinence vésicale 49% présentent une incontinence mixte
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L’HYPERACTIVITE VESICALE (HV)
CLINIQUE: Pollakiurie Impériosité +/- Fuites par impériosités 30% des incontinentes ont une HV le plus souvent associée à l’IUE ou IS = I.MIXTE
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L’HYPERACTIVITE VESICALE
ETIOLOGIES: Vessies neurologiques, causes locales et médicamenteuses - Vessies neurologique: 1er signe de bon nombre de neuropathies: 5% des SEP Syndromes Parkinsoniens 22% des Diabète
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L’HYPERACTIVITE VESICALE
ETIOLOGIES: - Causes locales: Infections urinaires et Infections à microorganismes (ureaplasma, Mycoplasme, Clamidiae, soit 26% des urgenturies des femmes jeunes) Syndromes de masse: tumeurs pelviennes, fibromes (50% des UR/PK améliorées par hysterectomie) Prolapsus : test au pessaire L’obstruction uretrale: Prolapsus, BSU, hypertonie urétrale (alphabloquant) Pathologies intravésicales lithiase, tumeur - Médicamenteuses: Betabloquants/ certaines chimiothérapies
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L’HYPERACTIVITE VESICALE
ETIOLOGIES: - IDIOPATHIQUES: DIAGNOSTIC D’ELIMINATION APRES UN BILAN COMPLET BILAN DEVANT UNE URGENTURIE Examen neurologique Recherche cause infectieuse: CBU +/- prélèvement urétral Examen pelvien: masse pelvienne Fibroscopie uretrovésicale Débimétrie mictionnelle avec mesure du résidu post-mictionnel
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TRAITEMENT DE L’HYPERACTIVITE VESICALE
1 - THERAPEUTIQUES COMPORTEMENTALES 2 - MEDICAMENTS 3 - ELECTROSTIMILATION 4 - TOXINE BOTULIQUE
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TRAITEMENT DE L’HYPERACTIVITE VESICALE
1 - THERAPEUTIQUES COMPORTEMENTALES Alimentation Boisson 1L à 1,5 litre/ jour Arrêt de la boisson deux heures avant le coucher Suppression: Thé, Café, Caféine (> 400 mgde C/J => X 2,4 HV) Eviter l’Aspartane Arrêt du Tabac Calendrier mictionnel commandé Rééducation périnéale: créer un reflexe d’inhibition vésicale par la contractio périnéale Traitement de la constipation
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TRAITEMENT DE L’HYPERACTIVITE VESICALE
2 - MEDICAMENTS = Les anticholinergiques OXYBUTININE (DITROPAN) max d’effets secondaires dans sa forme orale SOLIFENACINE (VESICARE 5 & 10 mg) Meilleurs tolérance que l’oxybutinine / tolérance dose dépendante CHLORURE DE TROSPIUM (CERIS) Ne franchit pas la barrière hématoencéphalique => indication en cas de troubles cognitifs Doit être pris loin des repas AUTRES (non disponible en France): TOLTERODINE / DARIFENACINE/ FUTUR: MIRAGREBON beta3 agoniste INH. 5 PHOSPHODIESTERASE SILDENAFIL, etc… ACTION CENTRALE: TRAMADOL GABAPENTINE
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4 - TOXINE BOTULIQUE Pas d’AMM pour le moment
TRAITEMENT DE L’HYPERACTIVITE VESICALE 3 - ELECTROSTIMILATION E.INTRAVAGINALE Peu de validation scinetifique E. DU NERF TIBIAL POSTERIEUR Efficacité prouvée sur la pollakiurie et incontinence par urgenturie NEUROMODULATION SACRÉE Efficacité pouvée (amélioration de plus de 50% de la symptomatologie) 4 - TOXINE BOTULIQUE Pas d’AMM pour le moment Difficulté: induction de résidus post-mictionnels qui imposent les autosondages
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L’hyperactivité vésicale impose: Un diagnostic étiologique complet
CONCLUSION L’hyperactivité vésicale impose: Un diagnostic étiologique complet Une évaluation fonctionnelle Evaluation du retentissement sur la qualité de vie Un prise en charge thérapeutique adaptée et graduée Des reevaluations régulières. Et non pas…
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